Depuis quand la Russie est-elle une menace pour la France ?

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Xavier Azalbert, France-Soir
Publié le 26 février 2025 - 19:00
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Depuis quand la Russie est-elle une ennemie pour la France ?
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Depuis quand la Russie est-elle une menace pour la France ?
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Comme « Le Professeur Rollin »  Emmanuel Macron « a toujours quelque chose à dire ! » Malheureusement pour la France et pour les Français, premièrement, Emmanuel Macron, lui, il n'est jamais drôle, et ensuite ce n'est pas en tant qu'humoriste officiant avec talent dans l'émission télévisée culte « Palace » qu'il nous impose ses élucubrations propagandistes nauséeuses et qui plus est très mal interprétées, mais dans l'exercice de ses fonctions de président de la République. C'est grave. Très grave. Et, je pense d'ailleurs pouvoir valablement affirmer que c'est même devenu carrément gravissime au possible ces derniers jours. Pourquoi ? Parce que tant qu'il s'agissait, pour lui, de nous faire avaler des couleuvres certes particulièrement indigestes, mais dont l'ingestion n'est toutefois pas obligatoirement mortelle, ça allait. Par exemple, les 1.300 milliards de dettes publiques supplémentaires de son « Quoi qu'il en coûte » de crise covid, de déficit & Cie, « Quoi qu'il en coûte » pour lequel lui n'a absolument rien eu à sortir de sa poche, ok ! Ça torture copieusement les intestins, notamment l'extrémité basse du gros côlon, mais ça va : on devrait pouvoir y survivre. Et de même pour les 71 milliards d'argent public donnés à l'Ukraine, plutôt que de les utiliser, en autres priorités qui préoccupent les Français, pour sauver l'hôpital public, aider nos agriculteurs, et sortir l'éducation nationale du chaos dans lequel l'ont fait sombrer 40 ans de réduction de budget et de laxisme, associés à un wokisme institutionnalisé depuis 2017 : ça aussi, on devrait pouvoir y survivre. Du moins pendant au moins une génération, voire deux.

Alors que, à l'inverse, la couleuvre qu'Emmanuel Macron s'emploie à nous faire avaler cette fois-ci, avec ses sempiternelles séances de "menteries médiatiques", ce n'est pas comme la covid. Sa létalité n'est pas de 0,00073 %. Non. Elle est de 100 %. Tous autant que nous sommes, nous allons y laisser notre peau, et tout notre argent, si suffisamment de Français tombent dans le panneau. Le piège.

En effet, ce à quoi Emmanuel Macron s'emploie à préparer les esprits de la sorte, c'est la guerre militaire contre la Russie. (Et il aura fallu un Donald Trump aux manettes pour qu'il enfin tente de changer d'avis !)

Oui ! C'est pour cela que lui et toute son équipe (Gouvernement au complet, parlementaires tous partis confondus, et médias aux ordres) se sont efforcés par tous les moyens qu'ils ont à leur disposition, de nous présenter fallacieusement la Russie comme étant l'ennemi de la France, et Vladimir Poutine comme le diable absolu. Un dictateur assoiffé de conquêtes territoriales, belliqueux à l'infini, dix fois pire qu'Adolf Hitler et Joseph Staline réunis. Une sorte de Gengis Khan sous crack puissance 666 milliards, sanguinaire et mangeur d'enfants.

J'exagère à peine. En attestent les dernières interventions publiques du chef d'orchestre de cette folie et de son lieutenant dans cette ingénierie sociale, Jean-Noël Barrot. Je pense notamment au tweet que le second a posté lundi, dans lequel il reprend le leitmotiv horriblement funeste du premier :

« Nous ferons tout ce qu'il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre. »

C’est une guerre européenne. Nous sommes résolus à faire tout ce qui est nécessaire, aussi longtemps que nécessaire. Rien ne doit être exclu pour faire échec à la guerre d'agression menée par la Russie en #Ukraine. C'est la sécurité de l'Europe qui est en jeu :

Conférence soutien ukraine

Leitmotiv qu'Emmanuel Macron a repris le lendemain :

« Et donc c'est un sursaut stratégique auquel j'ai appelé, et que j'assume pleinement. Il nous faut être lucide sur la réalité de la situation qui se joue en Europe, les risques qui sont à l’œuvre et ce que nous devons assumer. Je suis convaincu que, justement, la clarté assumée de ces propos est ce dont l'Europe avait besoin. Mais allez plutôt demander au Président Poutine ce qu'il est prêt à ne pas faire. Qui a lancé la guerre en Ukraine ? Vladimir Poutine. Qui menace, quoi que nous fassions, quoi que nous disions, avec l'arme nucléaire ? Le Président Poutine. Tournez-vous tous vers lui, pour savoir, lui, quelles sont ses limites stratégiques. Mais si chaque jour nous expliquons quelles sont nos limites, face à quelqu'un qui n'en a aucune et a lancé cette guerre, je peux vous déjà vous dire que l'esprit de défaite est là qui rode. Pas chez nous. »

Et dans cet exercice propagandiste de mensonges étatiques létaux, il s'est investi complètement, Jean-Noël Barrot. Notre « psychédélique » ministre des affaires étrangères, affirme-t-on en off, parce que, effectivement, il semble plausible que, le concernant, « le crack » autre que boursier, Monsieur connaît. En effet, bizarrement belliqueux, étrangement surexcité et les yeux écarquillés, c'est bel et bien visiblement tel un possédé qu'il s'est employé, justement « comme un beau diable » (dixit l'expression consacrée) « à préparer les esprits », a-t-il dit, et d'ajouter que c'est là sa « mission. »

Traduction: « ça y est ! C'est reparti pour un tour. Le grand cirque de la manipulation des masses, du lavage de cerveau médiatique. Un copier/coller de la propagande étatique façon Joseph Goebbels que nous avons eu à subir durant la crise covid, mais en pire. En très nettement pire pour ce qui est des conséquences que cela va avoir pour nous, les Français de base.

Je m'explique.

Exactement comme concernant le covid, il s'agit d'une fausse crise. D'une crise inventée. Créée de toutes pièces.

Si ! Pour le covid, ce n'est pas le vaccin qui a été créé pour prétendument protéger les habitants contre le virus, c'est le virus qui a été créé pour pouvoir imposer le soi-disant « vaccin » anti-covid au maximum d'habitants possible. Le virus lui-même, et surtout cette crise covid 100 % inventée, faussement présentée par les politiciens et les médias comme un danger éminemment mortel pour la sécurité du pays. La sécurité sanitaire en l'occurrence. Et bien bis repetita aujourd'hui avec la Russie qui nous est pareillement faussement présentée comme un danger éminemment mortel pour la sécurité du pays, cette fois-ci non pas sanitaire, mais militaire. L'intégrité du territoire national et la vie des habitants. Comment ? En agitant la fausse menace de la Russie. La menace 100 % inventée par Emmanuel Macron et ses sbires, d'une attaque militaire par les troupes de Vladimir Poutine. L'envahissement programmé et imminent de la France par l'armée russe.

Et que veulent-ils nous imposer, cette fois-ci, ces traîtres à la confiance du peuple français, par l'entremise de cette manœuvre politico-médiatique scélérate, similaire à la crise covid ?

  • Premièrement, augmenter encore les impôts. D'où le martellement hystérique par Jean-Noël Barrot, de « Les Français doivent faire des sacrifices. » En pécuniaire, donc, s'agissant de ce premier point.
  • Deuxièmement, voler l'épargne des Français, à savoir ce qu'Emmanuel Macron et consorts désignent par l'expression « solliciter l'épargne privée » pour « financer l'effort de guerre. »
  • Et, troisièmement (c'est en cela que cette fois-ci la manœuvre est très nettement pire pour la France et les Français que concernant le covid), faire accepter à un maximum de personnes, l'idée pourtant totalement fausse, 100% inventée, que la Russie de Vladimir Poutine représente une menace pour notre sécurité. La faire accepter à suffisamment de Français (au besoin par des sondages falsifiés) pour pouvoir imposer, à tous les Français, les autres « sacrifices » dont Jean-Noël Barrot a parlé. Ces sacrifices en sang, cette fois, que tous autant que nous sommes nous allons devoir faire, contraints et forcés en application de la loi de programmation militaire qui a été votée en août 2024 quasiment à l'unanimité. À savoir, outre le sacrifice susdit d'absolument tout ce que nous possédons (biens mobiliers immobiliers qui seront réquisitionnés ou détruits), le sacrifice de nos vies.

Car c'est précisément cela qui va arriver, si elle intervient cette guerre militaire contre la Russie dans laquelle Emmanuel Macron s'emploie à nous entraîner sans relâche depuis plusieurs mois.

Pourquoi ?

Parce que cette guerre militaire qui réduirait la France à un champ de ruines, finaliserait in concreto le « Parce que c'est notre projet ! » pour lequel Emmanuel Macron a été porté au pouvoir. À savoir l'application du principe « tout détruire pour mieux reconstruire » qui habite la République depuis 1789. Les 235 années de conflits durant lesquels des dizaines de millions de Français sont morts. Hélas conformément à cette maxime qu'Anatole France a couchée dans sa lettre au citoyen Cochin :

« On croit mourir pour la patrie, on meurt pour des industriels»  (1)

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*Et comme je vous l'ai dit plus haut, Jean-Noël Barrot, notre « psychédélique » ministre des Affaires étrangères, se montre un zélé relais de la propagande de mort d'Emmanuel Macron. Ceci comme lui sans crainte d'un ridicule qui ne tue pas, c'est vrai, malheureusement pour l'avenir de nos enfants.

Non, parce que, à l'entendre, à lui tout seul il pourrait réduire à néant l'armée de Vladimir Poutine. Un fou dangereux à ce point, à l'opposé de la réalité des forces militaires en présence, qu'il me fait penser à Mohammed Said al-Sahhaf, ministre irakien de l'information pendant la deuxième guerre du Golfe (du 23 avril 2001 au 9 avril 2003).

Souvenez-vous. En France, ses déclarations surréalistes à propos du déroulement des opérations militaires durant ce conflit, ont souvent été pastichées par les Guignols de l'Info.

Car voici quels furent les mots par lesquels Jean-Noël Barrot nous a mis en garde contre une guerre en Europe :

« Le Premier Ministre l'a dit ce matin, jamais sans doute depuis 1945, le risque d'une guerre en Europe, autour de nous, n'a été aussi élevé qu'aujourd'hui. Comment en sommes-nous arrivés là ? Il y a dix ans, pour mettre fin à la guerre que la Russie avait lancée contre l'Ukraine, sans doute avons-nous fait preuve de faiblesse, en acceptant un cessez-le-feu fragile qui a été violé par la Russie par vingt fois, et qui ne l'a pas empêchée de lancer son invasion de l'Ukraine à grande échelle. Et dans le même temps, les états-Unis, et c'est leur droit, ont décidé de se désengager progressivement, en laissant le soin aux Européens d'assurer leur propre sécurité. Aujourd'hui, la sentinelle de l'Europe, ce sont les Ukrainiens. La première ligne de défense de l'Europe, ce sont les Ukrainiens qui la tiennent, et ils ne s'arrêteront pas de combattre tant qu'ils n'auront pas la garantie de se voir proposer une paix juste, et une paix durable. Et c'est ce que nous voulons aussi. Nous voulons la paix. Non pas une pause transitoire, non pas un cessez-le-feu fragile. Nous voulons la paix. Mais face aux velléités impérialistes, comme vous les avez appelées, pour obtenir cette paix durable, il nous faudra imposer de la résistance, et il nous faudra imposer de la force. C'est pourquoi, lorsque la paix aura été trouvée ; et je rappelle que quoi qu'on entende, les négociations n'ont pas encore commencé ; alors les Européens seront appelés à contribuer à construire cette capacité de dissuasion durable. Et d'ici là, nous allons continuer à amplifier, à accroître la pression sur Vladimir Poutine et sur la Russie, avec un seizième paquet de sanctions qui sera adopté dans les prochains jours. Nous allons continuer à relever notre effort de défense, pour faire doubler nos dépenses militaires à l'horizon 2027, mais la défense nationale ne se joue pas seulement dans les dépenses militaires, elle se joue aussi dans les esprits. Alors ne nous laissons pas intimider par les nouveaux empires. Reprenons notre force morale. Reprenons les forces de l'esprit. »

L'analyse que nous a livrée ici, ce ministre qui joue les va-t-en-guerre parce qu'il sait qu'il n'ira pas la faire, lui, cette guerre, qu'il n'ira pas mourir au front, contrairement aux millions de Français et autres qu'il compte y contraindre ; cette analyse contraste diamétralement avec celle, elle 100 % conforme à la réalité qu'a donnée Alexander Makgonov, porte-parole de l'ambassade de Russie en France :

« Moi qui ai consacré presque toute ma carrière diplomatique aux relations franco-russes, et qui, bon : je m'y connais un tout petit peu. Je me demande : depuis quand la Russie a commencé à être une menace pour la France ? Depuis 1814, lorsque la Russie n'a pas permis le démembrement de la France par les alliés de la coalition anti-napoléonienne ? Ou depuis 1914, lorsque la Russie a commencé l'offensive au front de l'Est, ce qui a permis à la France de gagner la bataille à la Marne ? Depuis 1916, lorsque la Russie a envoyé 20,000 soldats pour défendre la France sur les fronts en Champagne ? Ou depuis 1944, lorsque Charles de Gaulle est venu voir Staline pour signer le pacte d'entraide, ce qui a permis à la France de revenir dans le rang des grandes puissances, vainqueurs contre le nazisme, et ce qui a permis à la France de devenir, après, le membre permanent du Conseil de sécurité des Nations Unies ? Ou depuis 1946, lorsque la France a connu une mauvaise récolte, et l'Union soviétique a envoyé 400 mille tonnes de blé à la France ? L'Union soviétique qui était en ruine à l'époque. » Puis de conclure en ces mots :

« C'est depuis quand que la France a commencé à détester la Russie ? »

On peut donc résolument déduire de tout cela, que s'il existe véritablement une menace mortelle pour la France et pour les Français, ce n'est pas la Russie de Vladimir Poutine. Non. Cette menace mortelle qui pèse également sur l'avenir de nos enfants, celui qui la fait peser, c'est l'ennemi public n° 1 de la France et des Français : Emmanuel Macron.

Et en cette journée marquée par l'arrestation puis la libération sous conditions de Calin Georgescu en Roumanie, on est en droit de se demander si l'ennemi de la France en sus d'Emmanuel Macron, n'est pas l'Union européenne et ce projet fédéraliste lancé tel un tanker sur un banc de sable en vue. Georgescu, candidat arrivé en tête avec 23% des voix lors de l'élection présidentielle en Roumanie en novembre 2024, a été relaché sous conditions : "il ne peut pas s'exprimer dans les médias, ni créer de comptes sur les réseaux sociaux". Une censure moderne au grand jour que les commentateurs opposés au fédéralisme bruxellois n'hésitent pas à expliquer de la manière suivante : « c'est une tentative désespérée de coopération avec Bruxelles ». 

Rappelons que dans un sondage récent, les Français se sont majoritairement opposés à une Europe fédérale favorisant une Europe des Nations, 58 % voulant une Europe des Nations avec des États souverains dans leurs pays et qui gèrent entre eux uniquement des accords commerciaux. Et 53 % sont contre une Europe fédérale avec un président et des ministres européens qui remplaceraient nos dirigeants nationaux.

Quelle Europe ? - janvier 2025

Les déboires de Georgescu et tous ceux qui se mettent au travers de la route de ce projet fédéral européen se trouvent immédiatement vilipendés, arrêtés tels des opposants politiques. Opposants, ils sont, mais opposants au projet construit par des élites que le peuple ne veut pas. 

L'UE, espace de droit et de liberté, s'avère donc être celui de leurs droits et de leurs libertés contre ceux du peuple, des peuples. Des droits fondamentaux qu'il faut défendre tel que Frédéric Baldan, ou George Simion et Calin Georgescu en Roumanie, ainsi que tant d'autres, font en prenant les coups, en se faisant arrêter par le pouvoir en place qu'ils dérangent. « Résistez, résistez, car ils ont le pouvoir, ils ne le rendent jamais » avait dit Robert Kennedy Jr.  C'est bien ce qu'ils font. 

 

1) Anatole France dit également ceci dans sa lettre au citoyen Cochin à propos de la guerre 14-18 : « La guerre mondiale fut essentiellement l’œuvre des hommes d’argent, que ce sont les hauts industriels des différents États de l’Europe qui, tout d’abord, la voulurent, la rendirent nécessaire, la firent, la prolongèrent. Ils en firent leur état, mirent en jeu leur fortune, en tirèrent d’immenses bénéfices et s’y livrèrent avec tant d’ardeur, qu’ils ruinèrent l’Europe, se ruinèrent eux-mêmes et disloquèrent le monde. »

Et cela, citant Michel Corday (livre « Les Hauts Fourneaux », page 63) :

« Ces hommes-là, ils ressemblent à leurs hauts fourneaux, à ces tours féodales dressées face à face le long des frontières, et dont il faut sans cesse, le jour, la nuit, emplir les entrailles dévorantes de minerai, de charbon, afin que ruisselle au bas la coulée du métal. Eux aussi, leur insatiable appétit exige qu’on jette au feu, sans relâche, dans la paix, dans la guerre, et toutes les richesses du sol, et tous les fruits du travail, et les hommes, oui, les hommes mêmes, par troupeaux, par armées, tous précipités pêle-mêle dans la fournaise béante, afin que s’amassent à leurs pieds les lingots, encore plus de lingots, toujours plus de lingots… Oui, voilà bien leur emblème, leurs armes parlantes, à leur image. Ce sont eux les vrais hauts fourneaux ! »

Ainsi que ceci, en prolongement de ce constat, un constat qui tristement correspond parfaitement à la propagande de guerre actuelle à laquelle Emmanuel Macron et consorts se livrent :

« Ces maîtres de l’heure possédaient les trois choses nécessaires aux grandes entreprises modernes : des usines, des banques, des journaux. Michel Corday nous montre comment ils usèrent de ces trois machines à broyer le monde. Que cette haine a été forgée par les grands journaux, qui restent coupables, encore à cette heure, d’un état d’esprit qui conduit la France, avec l’Europe entière, à sa ruine totale. »

 

 

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