Etats-Unis - L’audition de confirmation du Dr. Jay Bhattacharya pour diriger le NIH – Analyse, engagements et évaluation

Auteur(s)
Xavier Azalbert, France-Soir
Publié le 05 mars 2025 - 20:25
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Dr Jay Bhattacharya
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France-Soir, Forbes
L’audition de confirmation du Dr. Jay Bhattacharya pour diriger le NIH – Analyse, engagements et évaluation
France-Soir, Forbes

Ce 5 mars 2025, le Dr. Jay Bhattacharya, nommé par le président Donald Trump pour diriger les National Institutes of Health (NIH), a témoigné lors d’une audition de confirmation devant le comité de la Santé, de l’Éducation, du Travail et des Pensions (HELP) du Sénat des États-Unis. Cette audition a été très suivie en raison des positions controversées de Bhattacharya sur des questions de santé publique, notamment sa critique des mesures de confinement et des mandats vaccinaux pendant la pandémie de COVID-19. Cet article résume les sujets abordés lors de l’audition, les réponses du Dr. Bhattacharya, ses engagements pour le NIH, une évaluation de la qualité de ses réponses, une analyse basée sur ses déclarations précédentes, ainsi qu’un aperçu des réactions suscitées.

Qu’est-ce que le NIH ? Les National Institutes of Health (NIH) sont la principale agence fédérale américaine responsable de la recherche biomédicale et en santé publique. Fondés en 1887 sous le nom de Hygienic Laboratory, les NIH sont aujourd’hui une composante du Département de la Santé et des Services Humains (HHS) des États-Unis. Avec un budget annuel de près de 48 milliards de dollars, les NIH financent environ 50 000 subventions de recherche distribuées à plus de 300 000 chercheurs dans plus de 2 500 institutions, notamment des universités et des écoles de médecine. Basés principalement à Bethesda, Maryland, les NIH abritent 27 instituts et centres spécialisés, comme le National Cancer Institute et le National Institute of Allergy and Infectious Diseases, et emploient environ 20 000 personnes. Leur mission est de promouvoir la recherche scientifique pour améliorer la santé humaine et prévenir les maladies, jouant un rôle clé dans la réponse aux crises sanitaires mondiales, comme la pandémie de COVID-19.

Qui est Jay Bhattacharya, le candidat sélectionné pour ce poste par le président Trump ?

Jayanta Bhattacharya, né en 1968 à Calcutta (aujourd’hui Kolkata), en Inde, est un médecin, économiste et épidémiologiste américain, actuellement professeur de médecine, d’économie et de politique de recherche en santé à l’Université Stanford. Fils d’immigrants indiens, il a grandi aux États-Unis, où il a obtenu un doctorat en économie de l’Université de Stanford en 1997, après avoir achevé une formation en médecine à l’Université de Californie, San Francisco (UCSF). Ses recherches interdisciplinaires combinent l’économie de la santé, l’épidémiologie et la politique publique, avec des publications sur des sujets tels que l’impact de l’assurance maladie, les inégalités de santé et les réponses aux pandémies.

Vidéo de l'audition sous-titrée en français par IA. Certaines imprécisions de traduction peuvent subsister.

Bhattacharya est également connu pour son rôle dans la Great Barrington Declaration de 2020, un manifeste controversé co-rédigé avec Martin Kulldorff et Sunetra Gupta, plaidant pour une stratégie d’immunité collective ciblée plutôt que des confinements généralisés face à la pandémie de COVID-19. Cette position, qui a suscité des débats intenses, lui a valu à la fois des louanges de certains cercles conservateurs et des critiques acerbes de la communauté scientifique traditionnelle, certains le surnommant « scientifique marginal » ou « fringe scientist ». Malgré cela, il était déjà un chercheur respecté avant la pandémie, occupant des postes prestigieux à Stanford, notamment en tant que fellow au Stanford Institute for Economic Policy Research (SIEPR), au Freeman Spogli Institute et à la Hoover Institution.

Son profil international s’est renforcé grâce à ses interventions dans les médias, notamment en France, où il a été interviewé à plusieurs reprises par FranceSoir.fr. Il avait d’ailleurs évoqué dans une interview l’importance de la liberté d’expression scientifique, déclarant : « La liberté d’expression n’a jamais été aussi importante et menacée. C’est le devoir de chacun de la défendre. » Ces apparitions ont consolidé son image de défenseur d’une science débattue et transparente, tout en alimentant les critiques sur ses positions perçues comme idéologiques.

Le 26 novembre 2024, Donald Trump l’a nommé directeur des NIH, une décision qui reflète son alignement avec l’agenda « America First » et les priorités de Robert F. Kennedy Jr., nommé à la tête du HHS. Sa nomination, devant être approuvée par le Sénat, a suscité des débats sur son aptitude à diriger une institution aussi cruciale, en raison de ses positions controversées sur les politiques de santé publique.

Les sujets abordés lors de l’audition

L’audition du Dr. Bhattacharya a couvert plusieurs thèmes majeurs, reflétant les priorités de santé publique, les préoccupations des sénateurs, et ses positions passées. Les principaux sujets discutés ont été enrichis d’éléments contextuels afin d’en faciliter la compréhension :

  • La crise des maladies chroniques aux États-Unis : Bhattacharya a souligné l’urgence de s’attaquer à la montée des maladies chroniques, telles que l’obésité, les maladies cardiaques, le diabète et le cancer, qui touchent des centaines de millions d’Américains. Il a noté que l’espérance de vie aux États-Unis a stagné entre 2012 et 2019, chuté pendant la pandémie, et n’a pas encore récupéré, citant des statistiques alarmantes du Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Il a également lié cette crise à des facteurs environnementaux, alimentaires et socio-économiques, promettant une approche multidisciplinaire.
  • La fiabilité et la reproductibilité de la recherche scientifique : il a critiqué la qualité de certaines recherches biomédicales financées par les NIH, faisant référence à un scandale d’intégrité scientifique impliquant des études sur la maladie d’Alzheimer, révélé en 2024. Bhattacharya a souligné que « beaucoup de la science biomédicale moderne échoue au test de base de la reproductibilité », et a promis de mettre en place des normes rigoureuses pour restaurer la confiance.
  • La liberté d’expression et le dissentiment scientifique : connu pour avoir participé à la genèse de la Déclaration de Great Barrington, Bhattacharya a insisté sur l’importance du dissentiment scientifique, déclarant : « Le dissentiment est l’essence même de la science. » Il a dénoncé une « culture de dissimulation et d’obfuscation » au sein des NIH sous les administrations précédentes, s’engageant à protéger les scientifiques "dissidents" contre la censure, une position qu’il avait déjà défendue dans ses interviews avec FranceSoir.fr.
  • Les vaccins COVID-19 et les effets secondaires associées : interrogé sur les vaccins contre le COVID-19, Bhattacharya a exprimé des préoccupations spécifiques, notamment sur les risques de myocardite chez les jeunes hommes vaccinés en 2021, promettant d’être un « champion » pour les Américains blessés par ces vaccins. Il a nuancé ses propos en insistant sur la nécessité d’une science basée sur les données, pas sur les mandats, un écho à ses déclarations antérieures.
  • La recherche à risque, comme le gain-de-fonction : il s’est opposé au financement par les NIH de recherches à risque, comme les études de gain-de-fonction, qui pourraient potentiellement causer une pandémie, plaidant pour une régulation stricte et transparente. Le sénateur Rand Paul, connu pour ses critiques similaires, a appuyé cette position, renforçant l’alignement politique de Bhattacharya avec certains républicains.
  • Les taux croissants d’autisme : Bhattacharya a promis d’explorer les causes de l’augmentation des cas d’autisme, malgré les objections du sénateur Bill Cassidy, qui a comparé cette recherche à des croyances farfelues, comme « Elvis est encore en vie ». Cette réponse a mis en lumière un point de friction entre Bhattacharya et certains membres du comité, mais il a maintenu : « si je suis confirmé, je donnerai aux gens de bonnes données pour répondre à cette question. »
Quelques citations et proposition d’évaluations des réponses de Bhattacharya

Lors de son audition, le Dr. Bhattacharya fait quelques commentaires très remarqués. Voici une évaluation détaillée de la qualité de ses réponses :

  • Sur le dissentiment scientifique : « le dissentiment est l'essence même de la science. Si je suis confirmé en tant que directeur des NIH, j'établirai une culture de respect pour la liberté d'expression dans la science et le dissentiment scientifique au NIH. » Cette réponse est claire, directe et ancrée dans une vision philosophique de la science. Elle démontre une compréhension profonde des principes scientifiques et une capacité à articuler une vision transformative pour le NIH. Cependant, elle pourrait être perçue comme biaisée par ceux qui estiment que le dissentiment doit être équilibré avec des preuves solides, et non simplement encouragé sans garde-fous, surtout compte tenu de son passé controversé.
  • Sur les vaccins COVID-19 : « J’ai été préoccupé par les vaccins Covid, notamment pour les jeunes hommes et la cause des myocardites en 2021. » Cette réponse est factuelle et reflète une préoccupation légitime, bien que controversée, basée sur des données émergentes à l’époque, comme les rapports du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). Elle montre une volonté d’adresser les préoccupations publiques, mais manque de détails sur un plan d’action concret pour les victimes, ce qui pourrait laisser certains sceptiques ou sur leur faim.
  • Sur les maladies chroniques : « La recherche des NIH devrait se concentrer sur la recherche qui cherche à résoudre la crise des maladies chroniques aux États-Unis. La santé américaine est en train de régresser. L'espérance de vie s'est stabilisée entre 2012 et 2019, a chuté pendant la pandémie et n'a toujours pas rebondi. » Cette réponse est bien documentée, convaincante et montre une compréhension des défis de santé publique aux États-Unis, appuyée par des données démographiques et épidémiologiques. Elle est cependant vague sur les stratégies spécifiques qu’il mettrait en œuvre, ce qui pourrait inciter les sénateurs à demander une clarification.

Globalement, les réponses de Bhattacharya sont articulées et cohérentes avec ses positions antérieures. Elles sont solides sur le plan intellectuel, même si parfois, elles seront perçues comme idéologiques par certains, notamment en raison de son opposition passée aux mesures de santé publique pendant la pandémie. Sa capacité à rester calme et factuel face à des questions difficiles est un atout, bien que son ton puisse sembler trop partisan pour certains membres du comité, en particulier les démocrates.

Les mesures clés et les engagements proposées par Jay Bhattacharya à la tête du NIH

Si confirmé, le Dr. Bhattacharya a promis plusieurs mesures clés pour transformer le NIH, enrichies ici d’éléments contextuels pour clarifier leur portée :

  • Focalisation sur la crise des maladies chroniques : il s’engage à rediriger la recherche du NIH vers les maladies chroniques affectant les Américains, avec pour objectif de « Make America Healthy Again » (MAHA), en écho à l’agenda de Trump et de RFK Jr. Il prévoit de collaborer avec des experts en nutrition, environnement et économie pour aborder les causes sous-jacentes, comme l’obésité liée à l’alimentation industrielle.
  • Amélioration de la fiabilité de la recherche scientifique : il promet de garantir que la recherche financée par les NIH soit reproductible, généralisable et exempte de scandales d’intégrité, comme celui sur Alzheimer. Cela inclut la création de comités d’éthique indépendants et l’utilisation de technologies comme l’intelligence artificielle pour détecter les biais dans les études.
  • Promotion de la liberté d’expression scientifique : il s’engage à instaurer une culture où le dissentiment scientifique est respecté et encouragé, mettant fin à ce qu’il perçoit comme une « culture de couverture » au sein des NIH. Cette mesure s’inspire de ses expériences de censure pendant la pandémie, qu’il a dénoncées dans ses interviews avec FranceSoir.fr.
  • Financement de la recherche innovante : Bhattacharya veut que les NIH soutiennent des recherches biomédicales audacieuses pour améliorer la santé publique, tout en évitant les approches risquées comme le gain-de-fonction sans régulation stricte. Il cite des exemples comme la recherche sur les thérapies géniques et les traitements personnalisés.
  • Transparence totale : il promet une transparence complète dans les activités des NIH, afin de restaurer la confiance du public, déclarant : « vous ne pouvez pas avoir confiance si vous n'êtes pas transparent. » Cela inclut la publication en ligne de toutes les subventions, des résultats d’études et des décisions internes, une mesure qui pourrait transformer la gouvernance des NIH.
Analyse basée sur ses autres réponses dans d’autres vidéos

En examinant d’autres vidéos et interviews de Jay Bhattacharya, notamment sur le site de la Hoover Institution, ses apparitions sur des chaînes comme Fox News ou YouTube, et ses interviews avec FranceSoir.fr, plusieurs tendances émergent :

  • Cohérence idéologique : Bhattacharya reste fidèle à ses critiques des confinements et des mandats pendant la pandémie.  Il a déclaré : « les responsables de la santé publique ont mal géré la réponse au COVID, et cela a causé des dommages irréparables à la santé mentale et physique des gens. » Cette constance renforce sa crédibilité auprès de ses supporters, mais alimente les critiques de ceux qui le voient comme idéologique.
  • Focus sur la liberté scientifique : dans une vidéo de 2022 avec le gouverneur Ron DeSantis, Bhattacharya a réaffirmé son engagement envers la liberté scientifique, critiquant les restrictions imposées par les grandes plateformes technologiques sur les discussions scientifiques pendant la pandémie. Cela montre une continuité avec ses engagements lors de l’audition de 2025, et ses propos sur FranceSoir.fr reflètent une vision similaire.
  • Approche nuancée sur les vaccins : bien qu’il ait exprimé des préoccupations sur les vaccins COVID-19, dans plusieurs interviews, il a nuancé ses propos en disant : « je ne suis pas contre les vaccins en général, mais les politiques doivent être basées sur des données, pas sur des mandats universels. » Cela suggère une approche équilibrée, bien que controversée, qui pourrait apaiser certains critiques tout en satisfaisant ses partisans, un point également abordé dans ses échanges sur FranceSoir.fr.

Bhattacharya se montre bien préparé et est un communicateur persuasif. Cependant, ce que certains percevront comme un biais apparent contre les mesures de santé publique pourrait limiter son acceptation auprès de certains scientifiques et responsables de santé publique traditionnels, un débat souvent mis en lumière dans les médias français comme FranceSoir.fr. C’est bien là tout l'objet du renouveau de personnes à la tête des institutions.

Réactions à l’audition

Comme attendues, les réactions à l’audition de Bhattacharya ont été divisées, reflétant les polarisations politiques et scientifiques aux États-Unis, avec des échos dans les médias internationaux, y compris en France. Sur X, des comptes comme @AVPac_US et @TrumpWarRoom ont salué ses déclarations, le décrivant comme « le meilleur choix » pour diriger les NIH et un champion pour les "dissidents scientifiques". En revanche, des experts en santé publique, comme ceux cités par NPR, The Washington Post et Le Monde, ont exprimé des inquiétudes sur ses positions passées, notamment la Great Barrington Declaration, qualifiée de « scientifiquement irresponsable » par l’ancien directeur des NIH, Francis Collins. Éléments démontrés comme corrects, depuis, par de nombreuses études scientifiques. Les sénateurs démocrates, comme Bernie Sanders, ont souligné la nécessité d’un NIH indépendant des influences politiques, tandis que les républicains, comme Rand Paul, ont loué la transparence et la critique des recherches à risque comme le gain-de-fonction. En France, FranceSoir.fr a publié ses interviews, soulignant son combat pour la liberté d’expression, tandis que des publications comme Libération ont critiqué sa nomination comme politisée.

Les médias sociaux et les articles de presse montrent un débat intense, avec des pétitions circulant pour et contre sa confirmation, reflétant une nation divisée sur les priorités de santé publique, un écho également perceptibles parmi les opposants politiques.

 

En conclusion, l’audition de confirmation du Dr. Jay Bhattacharya a mis en lumière ses ambitions pour transformer les NIH en une institution focalisée sur la transparence, la liberté scientifique et la résolution des crises de santé publique, notamment les maladies chroniques. Ses réponses, bien que convaincantes pour ses partisans, ont soulevé, pour les opposants politisés principalement du camp démocrate, des questions sur son impartialité et sa capacité à diriger une agence aussi vaste et complexe que les NIH sans favoriser une idéologie particulière. Toujours est-il que des questions subsistent sur la réelle indépendance de ces personnes, comme on avait pu le voir lors de l’audition de Robert Kennedy Jr. qui avait mis en avant que la plupart de ses opposants avaient des liens d’intérêts substantiels avec l’industrie pharmaceutique.  

Si confirmé, ses engagements pourraient redéfinir la recherche biomédicale aux États-Unis, mais ils risquent également de polariser davantage les communautés scientifiques et politiques, un débat qui transcende les frontières, comme en témoignent les réactions en France via FranceSoir.fr et d’autres médias. L’avenir de sa nomination dépendra de l’équilibre entre ses visions innovantes et les préoccupations légitimes sur son passé controversé, un enjeu qui continuera d’alimenter les discussions sur la santé publique mondiale. En outre Bhattacharya pourra s'appuyer sur un corpus de scientifique qui l'ont accompagné durant les dernières années afin de réussir sa mission. 

Il est décrit comme étant quelqu'un de pondéré, déterminé avec un calme olympien et surtout une grande capacité d'écoute et d'analyse.  Un plus, son doctorat en économie qui lui donne une position unique sur l'économie de la santé, mais aussi l'usage des modélisations en épidémiologie qui ont été fortement contestés ces dernières années comme base de décision de santé publique. Il sera plus dur de lui faire avaler n'importe quoi ! 

Son approche factuelle de la science et la transparence scientifique indépendante de toutes influences externes et financières devraient permettre de mettre tout le monde d’accord. I

"ll devrait être confirmé. Go Jay, Go Jay, may the science be with you."

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