Le virus de la peur est-il parmi nous ?
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Dans une approche prédictive, Mike Adams, « garde forestier de la santé », affirme que la prochaine pandémie sera une opération psychologique basée sur la peur, conçue pour manipuler le public afin qu'il se conforme à l'agenda mondialiste, et pour imposer une diminution de la population sous couvert de santé publique. Qualifiée de théorie du complot par les médias mainstream subventionnés, il va même jusqu’à suggérer que les symptômes seront provoqués par la libération de poisons de contact en aérosol pour créer la panique, et non pas par de véritables infections virales :
« Ce que le système va faire pour essayer d'effrayer les gens avec la prochaine soi-disant pandémie, c'est qu'ils libéreront ou aérosoliseront un poison de contact qui provoquera des symptômes. Cela rendra les gens très malades, cela en tuera certains. Ils diront que c'est un virus, et ils diront que c'est infectieux, alors que cela ne proviendra pas d'un virus. »
Puis, d'ajouter ceci à ce sujet :
« Les prétendues pandémies virales sont en réalité des crises inventées de toutes pièces, basées sur une virologie frauduleuse. Il n'existe pas de pandémie virale. L'ensemble du domaine de la virologie est enraciné dans tellement de fraudes, que c'est tout simplement stupéfiant. Les gens ne devraient pas accepter ce faux récit, faire la queue pour se faire « vacciner » et se soumettre au contrôle de l’État policier médical. »
Et, malheureusement, l'actualité géopolitique 2000-2024 semble lui avoir donné pleinement raison, notamment concernant ce qui s’apparente à une autocratie sanitaire mondialisée que l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) veut instaurer. Institutionnaliser, même, puisque les pays membres de cette cabale ont accordé carte blanche à l'OMS dans ce domaine. À savoir une préséance juridique des décisions de l'OMS en droit interne. C'est-à-dire que les décisions de l'OMS s'imposent dans ces pays, avec obligation pour leurs Gouvernements de les faire appliquer : confinement, ségrégation, internement, abonnement à la « loterie vaccinale » qui s'apparente à un neuro marketing gouvernemental et Cie.
La réélection de Donald Trump a mis le holà à cette folie. En effet, l'annonce qu'il a faite, que les États-Unis quittent l'OMS, sonne le glas de cette folie bureaucrate normative.
En effet, d'abord parce que, pour sa plus grande part, l'OMS est financée par les États-Unis, et ensuite comme l'entièreté du potentiel coercitif de l'OMS, repose sur le pouvoir géopolitique des États-Unis. Sans les États-Unis pour financer l'OMS et appuyer ses décisions, l'OMS n'est rien. Rien si ce n'est une pompe à fric à la solde de Big Pharma, qui désormais fonctionnera uniquement avec l'argent du contribuable européen. Exceptée l'Italie, qui par la voix du Président de son Conseil des ministres, Giorgia Meloni, a annoncé, elle aussi, qu'elle quitte l'OMS. C'était la semaine passée.
Quoi qu'il en soit, les faits sont là : la gouvernance par la peur est bel et bien la stratégie utilisée par tous les Gouvernements. On en avait déjà eu l'illustration, un avant-goût persistant depuis 1962, avec la menace permanente d'une guerre nucléaire initiée avec « la crise des missiles de Cuba », menace relancée en 1981 par Ronald Reagan et son programme spatial « La Guerre des étoiles » avancé comme indispensable à assurer la paix. On en a eu la confirmation, on ne peut plus manifeste avec la covid, et rebelote tous les jours, depuis le 22 février 2022, avec la guerre en Ukraine.
« Vous pouvez le faire dans un régime nazi, socialiste, communiste, dans une monarchie ou une démocratie. La seule chose dont un gouvernement a besoin pour transformer les gens en esclaves est la peur. Si vous pouvez trouver quelque chose pour les effrayer, vous pouvez leur faire faire tout ce que vous voulez. »
Qu'importe si oui ou non Hermann Göring a prononcé cette phrase lors du procès de Nuremberg (comme ce fut soutenu un temps). Il se trouve qu'effectivement, c'est la peur panique générée artificiellement au niveau mondial autour du covid, qui a été autant le vecteur utilisé que le prétexte invoqué par les dirigeants nationaux, pour imposer à la population, dans leurs pays respectifs, des restrictions drastiques des libertés publiques et privées. Ces restrictions furent peu ou prou identiques partout sur la planète (à quelques exceptions près), et des dépenses exorbitantes au possible. Exorbitantes et nocives. Contre-productives. En Europe, on parle désormais de près de mille milliards d'euros pour les achats de « vaccins », de masques et de tests. Des vaccins qui génèrent dix fois plus de problèmes sanitaires que le virus en a causés. Des masques totalement inefficaces contre les virus (c'est indiqué noir sur blanc par les fabricants sur les boites de masques). Et, des tests de dépistage de la covid, maintenant, dont le but a permis de faire monter en flèche les cas de covid, là aussi de manière artificielle. Accompagné du discrédit apporté aux traitements précoces ainsi que de l'invisibilisation des paroles scientifiques contrariantes, cela permit de justifier fallacieusement le recours au vaccin. Avancer en pleines et entières conscience et volonté de mentir éhontément aux peuples, que sans recours au vaccin « on va tous mourir », et que, dès lors, ceux qui s'opposent à la vaccination sont des assassins en puissance. Des terroristes.
Devenu en passe de devenir secrétaire d'État américain à la santé, Robert Kennedy Jr a repris cette citation il y a quelques années, lors d'un rassemblement contre les mesures de restriction contre la Covid. Ce fut sans mentionner cette partie-ci de celle-ci, qui officiellement fut le tout début de la réponse apportée par Hermann Göring, lors du procès de Nuremberg, à la question de savoir comment les Allemands avaient pu accepter toutes les dérives liberticides et criminelles du régime nazi, et y participer » :
« C'est très facile et ça n'a rien à voir avec le nazisme. Cela a à voir avec la nature humaine. »
C'est rigoureusement exact. Et hélas pour les peuples du monde, ceux qui nous dirigent le savent pertinemment. Voilà comment, en appuyant lourdement sur cette composante de la nature humaine (via une propagande similaire à celle de Joseph Goebbels durant l'Allemagne nazie, à la portée augmentée par les moyens technologiques modernes), ils arrivent à conduire la très grande majorité des individus qui constituent « les masses », non seulement à tout accepter, même l'inacceptable, mais aussi à participer aux restrictions des libertés et à la coercition. À savoir avec des citoyens, policiers sans uniforme, qui sévissent comme chiens de garde du système, à l'encontre de ceux qui ne cèdent pas aux mesures qui matérialisent ces restrictions des libertés.
![Image parodique](/sites/default/files/inline-images/Capture%20d%27%C3%A9cran%202025-02-11%20141955.png)
Image parodique
« L'erreur est humaine », nous dit l'adage. À juste titre. Néanmoins, si certes la première fois qu'on commet telle erreur, on est excusable, à l'inverse, la commettre deux fois d'affilée, c'est passer de victime à coupable. Coupable par complicité. Ou alors il faudrait appeler cela de la connerie « pure et dure », et considérer que la connerie pure et dure a entièrement trait à la nature humaine.
Et, face au succès de la téléréalité, des émissions du style « TPMP » et « Quotidien », du rap pareillement « pur et dur », et des chaînes d'information en continu qui elles aussi débitent conneries sur conneries, on peut résolument craindre que - si ! - la connerie pure et dure serait devenue un élément idiosyncrasique des sapiens sapiens modernes qui constituent les masses.
Tout particulièrement en France, la connerie semble institutionnalisée par l'éducation nationale. Oui ! C'est une dégénérescence méthodique des esprits qui est imposée en permanence à « nos jolies petites têtes blondes » (et autres), dès leur plus jeune âge et durant toute leur scolarité. Cette dégénérescence est intervenue à l'initiative de François Mitterrand, en 1981, justement pour faciliter l’institution de normes qui permettent ainsi la manipulation des masses. Et, toujours à cette fin autoritaire, elle a été ensuite intensifiée et conduite à son paroxysme par tous ceux qui lui ont succédé à l’Élysée. Nicolas Sarkozy et François Hollande notamment.
Et, Emmanuel Macron a été, c'est notoire, officiel, de 14 ans à sa majorité, la victime d'un professeur de théâtre auteur d'actes destructeurs et répréhensibles, puisque qualifiés a minima délits par la loi (détournement de mineur, incitation à la débauche, attouchements), voire carrément crime (viol sur mineur par personne ayant autorité). C'est triste à dire, mais il en est ainsi : c'est sinon normal, du moins logique, qu'étant aux commandes du pays précisément avec ce professeur de théâtre pour conjoint, Emmanuel Macron a poussé cette dégénérescence méthodique des esprits à son paroxysme, et même au-delà, dans tous les domaines et à tous les niveaux.
Les Français l’ont bien assimilé tel qu’ils l’ont exprimé dans le sondage France-Soir/BonSens.org : 57 % jugent qu’il serait très grave que le président Macron ait menti aux citoyens sur la véritable identité de Brigitte Macron. Et 47 % évaluent qu’un professeur qui a eu des relations intimes avec un élève de plus de vingt-ans son cadet ne doit pas pouvoir continuer d'enseigner ou doit être dénoncé par le Rectorat et les parents aux services judiciaires afin qu’une enquête soit menée.
![Sondage](/sites/default/files/inline-images/image_74.png)
Et il a aussi porté atteinte à la fonction présidentielle évidemment. En atteste la vidéo qu'il a publiée sur le site officiel de l’Élysée :
Dans ce montage effectué par l'intelligence artificielle, et montré au monde entier comme promotion du développement que la France souhaite effectif en Europe pour cette technologie, Emmanuel Macron apparaît travesti en femme transgenre puérile, qui se dandine lascivement, grossière et candide, sur des musiques de séries télévisées des années 80, et qui disserte béatement sur sa coiffure et sur ses vêtements. Comme s'il s'agissait de répondre par le ridicule étatique absolu, à cette occasion pourtant solennelle (1), aux rumeurs qu'il a dit être répandues par « des fadas » : « celles et ceux » qui affirment qu'il est homosexuel et que son épouse serait en réalité un homme. Ainsi qu'à ceux qui s'interrogent quant à savoir s'il n'est pas malade, s'il n'a pas rendu malades ses concitoyens avec la maltraitance institutionnelle de la population, avec en sus une emprise psychédélique présumée de produits stupéfiants. Cela fait beaucoup.
Ah ça, c'est sûr ! Sachant qu'en outre, il est certainement capable de pousser le bouchon, beaucoup plus loin encore pendant les deux années à venir, réparer les dégâts qu'Emmanuel Macron a causés durant ses deux mandats présidentiels s'annonce très long et très difficile.
Si tant est que cela soit possible. Et, impossible cela le sera, si nous persistons à mettre au pouvoir des individus sans scrupules ni morale.
Je vous en reparlerai dans un prochain édito.
D’ici là, on m’indique dans l’oreillette que, ce soir, c'est le grand soir de Candace Owens, avec Xavier Poussard qui vient de sortir un livre « Becoming Brigitte ». (2) Le virus de la peur aurait-il changé de camp ?
1) le sommet européen du lendemain sur l'intelligence artificielle, et l'annonce qu'il a faite concomitamment que la France va investir 109 milliards d'euros dans ce domaine. Sur quel budget ? Nombreux sont ceux qui avancent qu'il s'agit là d'une nouvelle manifestation de la folie qui l'habite. La folie simplement « jupitérienne » qu'on lui prêtait généreusement lors de son premier mandat, mais qu'il conviendrait semble-t-il de porter à folie tout court, au regard ses derniers errements, récurrence, nature et portée.
2) Serait-ce une coïncidence, que Owens et Poussard aient choisi la date d'aujourd'hui pour leur prochaine émission, et ainsi souhaiter un joyeux anniversaire à Jean-Michel Trogneux qui a 80 ans aujourd'hui. Quelle délicate attention. Réponse ce soir vers 22h.
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