Je suis malade ! (première partie)

Auteur(s)
Xavier Azalbert, France-Soir
Publié le 21 juin 2024 - 16:00
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macron malade
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Je suis malade !
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Édito - Ce n'est pas moi qui parle, ni Serge Lama qui chante cette chanson sortie en 1973, (sur une musique d' Alice Dona). Et, ce n’est pas non plus le Malade Imaginaire de Molière.

C'est Emmanuel Macron, semble-t-il, qui ferait cet aveu, dressant ce constat, donnant ici raison aux nombreux observateurs en France et à l’étranger qui s’interrogent sur sa santé mentale. L’enquête France-Soir « Avis de recherche du Dr Jean-Christophe Perrochon. Y a-t-il encore un médecin à l’Élysée  ? » l’a longuement établi.

Ils s'en inquiètent également parce que, rappelez-vous, l'intéressé l'a déclaré lui-même jeudi dernier dans Le Parisien : il a travaillé « comme un fou ! »

Or, c'est là une vérité quasiment mathématique : pour être capable de travailler comme un fou, il faut être fou, un peu, beaucoup, passionnément, voire carrément à la folie (en l'occurrence, ça aide), mais nullement pas du tout. Cela fait beaucoup de « et en même temps » me direz-vous. Et vous auriez raison.

 

Plus dérangeant : l’affaire Brigitte Macron

D'autres observateurs, davantage « complosophistes » et taquins, que psychiatres patentés, ajoutent que « Je suis malade » a été chantée aussi par Dalida. Une artiste qui n'est pas la première dame de France à être taxée d'être un tantinet « Jean-Michel Gronœud » sur les bords. Dès lors, peut-être que Brigitte Macron pourrait chanter cette chanson en duo avec Emmanuel Macron. Histoire par exemple, de couper court aux « rumeurs folles » que Candace Owens a révélées Outre-Atlantique, en reprenant, après les avoir analysées, les articles étayés de Faits et Documents. Ces éléments étaient aussi abordés dans l’article sur l’avis de recherche du Dr Perrochon. Notamment sur l’audience qui s’est tenue avant-hier à la 17ᵉ chambre du Tribunal de Paris et qui opposait Brigitte Macron et/ou Jean-Michel Trogneux à deux personnes dans le cadre d’un procès en diffamation.

 

Ainsi, revenons à la chanson

Alors, si effectivement, c'était Emmanuel Macron qui chantait, il se bornerait à répéter en boucle ceci, à savoir sous forme d'écholalies, parfaitement dans le thème : « Comme un gosse idiot. Écoutant ma propre voix. Je suis malade. C'est ça, je suis malade. »  Voilà une version parodique de la chanson.

(chanson et images parodiques)

Hélas, outre le fait que le médecin-chef de la présidence est aux abonnés absents, le Palais Présidentiel souffre d'une autre carence. À l'inverse du Château de Versailles, où jadis le Fou du Roi se risquait à lui dire ses 4 vérités, lorsque celui-ci, manifestement, perdait peu ou prou la boule, l’Élysée est un palace doré aux allures d'asile psychiatrique. Le pouvoir isolant au possible celui qui l'exerce, personne n'ose s'opposer à la parole d'Emmanuel 1ᵉʳ, par crainte de représailles. Parmi les rares personnes à s’y aventurer, le premier ministre... et il en a fait la dure expérience. Lui qui aurait mis sa démission en balance pour éviter la dissolution ce dimanche 9 juin à la vue des résultats catastrophiques pour la liste promue par la majorité présidentielle. Le président ne voulut même pas en entendre parler ! Les rumeurs courent que le premier ministre serait parti en claquant la porte. Un geste pas vraiment au gout du président.

C'est qu'il « est méchant », le bougre. « Très méchant », même, si on en croit certains de ses proches qui en ont fait l’expérience. Avant d’ajouter que, « en plus, il s'emporte rapidement ». Et « de plus en plus fréquemment dernièrement », surtout depuis que certaines affaires personnelles sortent au grand jour.

Eh oui ! Autant il apprécie que l’on parle de lui en tous termes, dans les médias, en tant que président, autant, à l'inverse, dès que l'on touche à ses affaires personnelles, on franchit un cap qui déclenche des réactions ô combien orageuses.

Je pense, entre autres, à ses bonus de banquier, ou à sa fortune qui a disparu comme par enchantement. 

À la différence d’âge importante avec la personne qui figure officiellement sur le livret de famille comme étant son conjoint.

Souvenons-nous que deux chefs d'État, et non des moindres, Vladimir Poutine et Donald Trump, ont parlé publiquement de plusieurs « affaires Macron. » Alors s'il se trouve qu'une personne s'emploie à faire pression sur le Président français en s'appuyant sur ces dossiers ultrasensibles, attention ! Le « loustic » en question a à sa disposition l’arme nucléaire.

Au fait ! Voici une photo montrant les cartons de documents saisis par le FBI, en août 2022, chez Donald Trump, à Mar el Lago, en Floride.

Le dossier sur les affaires personnelles Macron y figurait-il ? Si c'est le cas, cela fait partie des documents classifiés du DOJ (departement of justice) dans le procès fédéral en Floride. La juge présidente Aileen Cannon a récemment expurgé plus de 300 pages de preuves dans cette affaire.

Dans la liste des documents, dont certains sont classifiés « top secret », se trouve un classeur « 1A » qui est intitulé « Info re : president of France. »  En l'état, on ne connaît pas son contenu.

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Qu'arriverait-il si ces informations confidentielles se retrouvaient entre des mains mal intentionnées ?

Soyons clairs. Par « mal intentionnées », j'entends à l'endroit du président. Car s'il advient que des documents attestant je ne sais quel crime ou délit, se retrouvent dans les mains d'une personne ayant la volonté de rendre ces documents publics, on devrait obligatoirement considérer qu'il s'agit là de mains bienveillantes, transparence oblige. Parce que seule la vérité fait foi. 

Et qui sait ? Peut-être que dans ces deux tonnes de papiers mystérieux, on retrouvera également un de ces documents ultra-confidentiels « par nature » (à savoir au moins autant difficiles à trouver que la carte d'identité du Yéti), comme par exemple, un polaroid de Brigitte Trogneux adolescente. Une photo qu’elle aurait prise en 1969 lors de son « road trip » américain effectué seule, durant lequel elle a assisté à l’alunissage de Neil Armstrong. Elle aurait eu 17 ans à l’époque.

Cependant, il y a un réel souci avec leur différence d’âge. En effet, que pourraient bien dire et penser les parents d'élèves scolarisés dans les établissements dans lesquels Brigitte Macron a enseigné, alors qu'une union fut consommée tandis qu'il était adolescent et que son professeur avait presque 40 ans ? Que cette personne qui avait la responsabilité d’éduquer leurs enfants, a enfreint les règles morales les plus évidentes.

Ma mère et ma grand-mère ont été enseignantes : je sais ô combien le respect des élèves était au cœur de leurs préoccupations. Et pour cause ! Il y va tout d’abord de l'éducation des enfants, et il y va ensuite et surtout de leur protection. Car, une fois devenus adultes, ils gardent en mémoire ce qu'ils ont subi durant leur enfance, en un traumatisme indélébile.

À 15 ans, Emmanuel Macron était encore un enfant. Sa professeure aurait donc dû passer en conseil disciplinaire. Pourquoi cela n’a-t-il pas été fait ? Un enseignant a bien été condamné pour sa relation avec une lycéenne de 17 ans avec interdiction d’enseigner, appel en cours. Une autre enseignante condamnée à 18 mois de prison.

Et, au-delà de l'incrimination pénale, on peut aussi se poser une question : est-ce moral ? Parce que quand bien même, elle est intervenue sans aucun acte de pédophilie, cette relation « amoureuse » entre un adolescent et un adulte de 39 ans marié et parent de trois enfants au moment des faits, est potentiellement encline à avoir eu des conséquences néfastes, désastreuses, voire catastrophiques dans la construction de la psyché du président.

D’ailleurs, il a lui-même déclaré être passé à travers une phase dépressive et que cette affaire l’avait beaucoup atteint. On peut résolument s’interroger sur son état psychique. À ce titre est-il « apte  » à exercer les plus hautes fonctions dont celle de chef des armées qui plus est en " temps de guerre " ?

Si relation pédophile, il y a eu, cela emporte de surcroît une usurpation de personnalité conduisant à une forme de viol : le viol du consentement. Celui des Français, qui, en croyant voter pour un homme marié à une femme, et non pas pour un homme qui a épousé un professeur qui a commis un acte criminel sur lui quand il était mineur. 

Ce n’est pas du tout la même histoire. Voilà.

C'est certain, l’état de santé du Président et de notre démocratie, est une véritable inquiétude au sein de beaucoup d'observateurs, et à juste titre. Dès lors, « il est urgent que des esprits éclairés contiennent son Verbe haut, celui dont Emmanuel Macron ne « Père-soi » pas les effets, faute de capacité à symboliser » explique un analyste.

Mais, une question m’interpelle quand même vraiment, pourquoi François Hollande avait-il de fréquents bulletins de santé publiés sur le site de l’Elysée, et Emmanuel Macron n’en a eu qu’un seul ? Que fait donc le docteur Perrochon, le docteur de l’Élysée ? Contacté par France-Soir, il n’était pas disponible pour répondre.

Je vais donc y réfléchir encore cette nuit, histoire de finaliser mon propos, et dans mon édito de demain je vous livrerai la suite des conclusions auxquelles j'arrive.

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