La planète des cinglés (partie 2)

Auteur(s)
Xavier Azalbert, France-Soir
Publié le 01 septembre 2024 - 18:00
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La planète des cinglés (partie 2) - Ah ah ! Affreuse variole du singe !
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France-Soir, Pixabay
La planète des cinglés (partie 2)
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Edito satirique. Ah ah ! Affreuse variole du singe !

Qui se cache 

Mais revenons sur « Cheeta ». Cette planète très éloignée où les choses sont allées réellement plus loin dans la perte de repères, la capture des droits fondamentaux, la consécration du mensonge comme vérité contrôlée par les médias sous peine de procès en anti-tout.  Les nantis y sont les « antis »  libertés fondamentales. Concernant l'usage des pandémies inventées pour l’occasion (première partie), sachez qu'il a été procédé pareillement de l'autre côté, celui qui, officiellement, est opposé à la dictature des humains « augmentés. »

Diable !

Sur « Cheeta », le côté pro-dictature et le côté anti-dictature sont en réalité les deux faces d'une même pièce. Une entité unique collusoire qui fonctionne comme suit :

La nature humaine est ainsi faite. Si les peuples comprennent qu'ils sont sous le joug d'une entité sans une alternative crédible et une échappatoire putative, ils se révoltent. Quitte à mourir en masse. À plus forte raison lorsque cette entité, minoritaire en nombre, mais dirigeante, est malveillante. Sachant cela, l'entité dirigeante qui sévit sur « Cheeta » a fait ceci pour maintenir les peuples sous son emprise, tout en évitant cette certitude, sinon, de révolte. Elle a divisé en deux blocs distincts la mainmise qu'elle exerce. Deux blocs qui donc, officiellement, s'opposent, et qui, pour donner le change auprès des peuples, se chamaillent sans cesse, et même guerroient épisodiquement sur des points « fondamentaux », mais qui, en réalité, sont pour eux de nulle importance. Des leurres sans aucune importance véritable, perpétuellement mis en lumière autant que faire se peut, afin que ceux qui sévissent dans l'ombre, puissent continuer à le faire en toute impunité. Et, qui plus est, en passant pour des « bienfaiteurs » auprès des peuples au sein desquel ils exécutent leurs basses besognes. Les peuples de l'un comme de l'autre de ces deux côtés étant tous similairement grugés par cette mascarade perfide. Tout est dans l’image et son contrôle afin de permettre de garder le pouvoir.

Sur « Cheeta » aussi, il y a des humains qui, comme sur Terre, que ceux qui servent le pouvoir en place appellent des « complotistes » ; à savoir des personnes qui font état de constats qui démontrent la fausseté de la version officielle des faits, donnée par le Gouvernement et les médias de propagande instrumentalisant la science, et réduisant les droits fondamentaux avec moultes inversions accusatoires.

Au nombre de ces faits que le pouvoir s'emploie ainsi à écarter de la connaissance collective, figure bien entendu l'ingénierie sociale. Des opérations psychologiques permanentes, auxquelles il est procédé, par les médias, l'école, la culture étatique et le divertissement de masse. Tout cela dans l'optique de cacher aux peuples cette entente despotique collusoire et les maintenir dans une perception que le pouvoir agit dans leur intérêt. Et, comme elles s'opèrent au niveau de la planète, il est un espoir vain d'espérer que les dirigeants de tel camp seront les sauveurs des peuples opprimés par l'autre camp, et inversement.

Comme sur Terre, sur « Cheeta » les complotistes sont pareillement combattus sans relâche, raillés et diffamés par les politiciens et les médias, et durement punis par les organes de coercition étatiques. Mais sur « Cheeta », ceux-ci y ajoutent cela. Ils se montrent les zélés kapos de la cabale en marche avec l’un d’entre eux qui cherche à « emmerder » ceux qui n’auraient pas succombé à ses ordres établis sur des déclarations fallacieuses scientifiques. « La solution finale » décidée pour éliminer « les inutiles » ; termes employés par Jackata Lee.

Cet ancien moine Shaolin qu'on appelle « Le Grand Architecte », est aussi le marionnettiste revendiqué des chefs d'État du pays que, sur « Cheeta », on appelle dorénavant « la Trance. » C'est en référence au fait que, pour humilier les humains « normaux », les humains « augmentés » ont fait voter une loi qui oblige tous les autres humains à accepter la théorie du « genre » (et à changer de « type » tous les cinq ans !). À savoir à chaque nouvelle élection présidentielle. Mais, c'est également en référence au fait que ce pays est dirigé par un dénommé M Anus El Makh Ron, qui, à chacune de ses prises de parole, est victime de diarrhées verbales.

Mais bon. Heureusement pour nous, sur Terre, nous n'en sommes pas là.

Certes, l'injustice de la variole du singe est flagrante. Puisque, comme pour le sida, le Professeur Didier Raoult l'a rappelé récemment, l'occurrence inévitable de sa transmission est une relation intime de type coït rectal. Hautement fine et très veineuse est la muqueuse corporelle à cet endroit. Et, alors, il est aisé, pour ceux qui aspirent à finaliser l'instauration d'une dictature du type ou du genre accouplée à un crédit social, d'user à cet effet du biais tordu de la victimisation. Dirigeants actuels en tête.

Si ! Le sida était « l'acte 1 » de ce que j'appelle « la dénormalisation » : l'écartement systématique institutionnalisé de la sphère publique, de ce tout qui est « la Nature », et par le truchement duquel les dirigeants, aidés par les médias, arrivent à enfermer la majorité dans un métaverse complètement à l'opposé du réel, et au bénéfice d'une minorité.

La soi-disant révolution « Mai 68 » et la « libération sexuelle » qu'elle prônait n'étaient qu'un leurre. Une mystification posant les bases d'une évolution des mœurs cette fois dans la mauvaise direction où toutes les perversités s'affichent ouvertement, et revendiquent dès lors le caractère de norme.

Pardi ! Le meilleur outil des dictateurs qui ont pour « Parce que c'est notre projet ! » une réduction éminemment substantielle des libertés de la population mondiale, y compris celle de vivre, est la dégénérescence sexuelle généralisée passant par la théorie du genre. (1)

Et, s'il vous plaît, qu'on ne vienne pas céans affirmer qu'on affabule, lorsqu'on avance plausible, l'hypothèse que l’inoculation est l'arme de destruction massive utilisée par les dirigeants félons, pour diminuer la fertilité et ainsi la population sur Cheeta afin de réduire les émissions de dioxyde de carbone. Un gaz auquel on a déclaré la guerre alors qu’il ne représente qu’une partie infinitésimale de l’atmosphère.  Mais sur Cheeta on s’est mis en tête de réduire à Zéro ces émissions ! C'est Gilles Bates, alias « le Grand Architecte des systèmes d’exploitation DOS(2) » menant à « l’inoculation pour tous » comme antivirus qui a avancé cette hypothèse, et expressément en tant que solution pour laquelle il convient d'opter.

Sur Terre, c’était en 2011. Ces propos, le patron de Microsoft les aurait tenus, lors d'une conférence TED dont le contenu a été en partie retranscrit dans ce journal anglais et qui a fait l’objet de nombreuses tentatives de réfutation dans les médias pour essayer de ne pas lui attribuer des propos sur la réduction de la population ! Voilà ce qu’il a dit en parlant du CO2 et du fait qu’il faudrait ramener ses émissions à zéro : « Cette équation a quatre facteurs, un peu de multiplication. Donc, vous avez une chose sur la gauche, le CO2, que vous voulez ramener à zéro, et cela sera basé sur le nombre de personnes, les services que chaque personne utilise en moyenne, l'énergie, en moyenne, pour chaque service, et le CO2 émis par unité d’énergie. Alors, regardons chacun d’entre eux, et voyons comment nous pouvons ramener cela à zéro. Il est probable que l’un de ces nombres devra se rapprocher de zéro. » « Tout d’abord, nous avons la population. Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards d’habitants. Cela représente environ neuf milliards. Maintenant, si nous faisons un excellent travail sur les nouveaux vaccins, soins de santé, services de santé reproductive, Nous pourrions réduire ce chiffre de 10 ou 15 pour cent peut-être. Mais là, on voit une augmentation d'environ 1,3. »

Sovereign independent

En 2021, les fact checkers ont fait un exercice de sauvetage du soldat Gates, dont la fondation est contributrice à millions dans les médias, en tentant de justifier qu’il n’aurait pas tenu un tel propos.  Mais, il a bien insinué qu’une réduction de la population était souhaitable afin de réduire les émissions de CO2, certaines de ces variables devant aller à 0. La réduction de la croissance de la population consiste donc à en contrôler le nombre et par définition à en diminuer la base effective. Et, il a bien parlé au travers de nouveaux vaccins ou soins de santé ou services de santé reproductive. Ce qui veut ainsi dire, le contrôle des naissances. Les intentions étaient là quoiqu’en disent les médias.

Pour mémoire, si le « Make love not war » a été vulgarisé au possible par les médias américains, ce fut pour faire oublier le fiasco politique, économique et humain de la guerre du Vietnam.

Donc, exactement comme le sida cachait bien une autre crise, la guerre du Golfe, la covid, lui, cachait la perte de pouvoir de l'Occident. Cette perte de pouvoir de l'Occident au bénéfice des BRICS, qui a précipité dans la guerre en Ukraine, ces deux camps soi-disant opposés, et qui prétendument se combattent.

Pourquoi ?

Parce que la menace d'un conflit planétaire nucléaire est la meilleure façon de rétablir l'équilibre entre ces deux camps. Cet équilibre est nécessaire à ce que la farce politique des deux camps, officiellement « différents », continue d'être effective, et continue ainsi de maintenir le monde entier dans une forme de dictature globale et unique.

La menace seulement, et non pas la guerre mondiale elle-même. Car si utilisation de l'arme atomique, il y a, c'est l'humanité toute entière qui sera anéantie : maîtres et esclaves.

Concernant tant le sida que la variole du singe, pardonnez-moi de devoir le répéter, les comploteurs ne pouvaient pas répandre un virus trop contagieux, synonyme d'une transmission à eux potentielle. C'est donc une version édulcorée qui aurait été trafiquée en laboratoire. Or, atténué dans sa virulence qu'il est, le virus ne franchit que très difficilement les barrières naturelles corporelles fortes que sont la peau ou la muqueuse vaginale ; qui elle est épaisse et kératinisée, au contraire de la muqueuse rectale, qui elle est très fine et hypervascularisée. D’où l’efficacité des traitements médicamenteux administrés en suppositoires.

Malheureusement pour nous, les cerveaux lavés par la propagande sont tout aussi perméables, eux, aux suppositoires politiques, culturels et sanitaires, en lesquels consistent les fausses informations inoculées par les médias.

Dans ces trois domaines tout particulièrement, mais pas seulement.

Quel que soit le sujet de ce traitement de choc délivré sans ordonnance, les médias sont le virus. Ceci semble vrai autant sur Cheeta que sur Terre. TF1, France-Télévision, BFMTV, Cnews, C8, Libé, Le Monde et Cie en sont l'illustration récurrente et pernicieuse.

En témoigne la récente rétractation de l’étude des chercheurs de l’université de Lyon (Pradelle, Mainbourg, Lega et al.) promue dans tous les médias par Mathieu Molimard, un professeur de l’université de Bordeaux. Cette étude concluait faussement que 17 000 personnes auraient pu mourir de la prise d’hydroxychloroquine. L’Impertinent Media y a d’ailleurs consacré un excellent article en venant se rajouter aux quelques médias qui ont parlé de la rétractation de cette étude frauduleuse qui n'aura servi qu'à blanchir des fausses informations par médias mainstream interposés.

En effet, les conclusions de l’étude furent reprises par des médias quasiment partout dans le monde, avec le Pr Molimard qui avait tribune libre dans les médias francophones sans contradicteur. Ils ont donc contribué à la désinformation du public entre janvier et aout 2024, sans vérifier l’information lors de sa publication. Alors que de nombreuses lettres de préoccupations sur cette étude avait été envoyées à l’éditeur, Mathieu Molimard continuait à promouvoir une information qu’il ne pouvait ignorer comme étant contestable et contestée, pour ne pas dire fausse.  La répétition de ces conclusions inexactes dans les médias entrainait donc la perception que ce traitement est toxique et contribue à la décrédibilisation des chercheurs de l’IHU méditerranée. 
Cependant, le plus affligeant est la propagande à laquelle se prêtent ces médias, en ne parlant pas de la rétractation de l'étude, alors que la charte de déontologie des journalistes dans son devoir numéro 6 les oblige à « rectifier toute information qui s’avère être inexacte ».

Ce tweet l’explique.

Alors qu'au Brésil, X a été interdit par décision de justice et son usage à travers un VPN est passible d'une amende de 8000 euros par jour, outre la désinformation, les épidémies qui tombent à pic, la censure juridico politique fait rage.
Une censure qui semble à géométrie variable car hier encore, alors que X semblait désactivé, le parti PT (du président Lula faisait encore usage de X ! 

De plus, on peut légitement s'interroger sur ce que révéleraient les TelergamFiles ou TelegramLeaks tellement l'arrestation et la remise en liberté conditionnelle de Pavel Durov interpelle (sous caution de 5 millions d'euros et obligation de ne pas quitter le territoire français).


Parfois, je me demande si nous ne sommes pas sur la planète des cinglés. Et, vous ?

 

 

 

1) j'avais déjà expliqué en substance cette stratégie marketing dans cet article « de l'expansion constante des catégories LGBTQIA2S qui défient l'hétérosexualité en tant que norme ». Néanmoins, c'était avec des termes différents et des exemples autres. C'est la raison pour laquelle j'ai jugé utile d'y pourvoir de nouveau aujourd'hui, de cette manière.

2) DOS, Disk Operating System, étant le système d’exploitation des PC mis au point par Microsoft pour opérer l’accès au disque, support de la mémoire.

 

 

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