La Planète des Cinglés (partie 1)

Auteur(s)
Xavier Azalbert, France-Soir
Publié le 31 août 2024 - 18:00
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la planete des cinglés
Crédits
France-Soir, Pixabay
La planète des cinglés (partie 1)
France-Soir, Pixabay

Je vous en ai fait état dans mon édito précédent le mépris dans la peau, dixit Gabriel Attal « 232 sites de vaccination ont été ouverts » en France alors qu'aucun cas déclaré de variole du singe n'a été recensé… en France. S'ajoute à cela l'annonce faite par Vladimir Poutine que la Russie propose une aide humanitaire, l'asile diplomatique aux personnes qui fuient la dictature woke mondialiste.

De nombreux lecteurs m’ayant fait part de leur étonnement aux aberrations de plus en plus nombreuses que l’on voit surgir dans le monde en général et dans notre pays en particulier, cela m’a donné l’idée d’illustrer cette situation, mais pas sur la Terre. Sur une autre planète. Une planète, elle aussi, peuplée d'humains, et où cette situation est allée beaucoup beaucoup plus loin, mais pas exactement dans la même direction. Cette planète est à des années-lumière de notre bonne vieille terre et toutes ressemblances avec des personnes ou des pays connus seraient fortuites.

Commençons.

La communauté humaine qui habite cette planète, elle aussi, est en proie à de nombreux virus et épidémies. Notamment depuis que les virus ont été consacrés de manière dématérialisée et que les habitants ont dû protéger leurs machines électroniques des petites bestioles virtuelles représentées par des lignes de codes. Certains sont tellement contagieux qu’ils font le tour de la planète en quelques heures, la transmission s’effectuant principalement par courrier, (électronique bien sûr), ou alors par le principe de connexion virtuelle à ce réseau multidimensionnel InterCourse. Après un virus sorti officieusement d’un laboratoire, dont le narratif officiel relayé par les médias sera celui d’une idylle entre une chauve-souris et un pangolin, les habitants se trouvent exposés à un nouveau virus, la variole du singe. Mais, elle est surtout l'objet de ce que les habitants ont appelé une dictature terrifiante et inextricable.

En effet, sur cette planète imaginaire, le mensonge a été consacré au rang de vérité en acceptant la copulation invasive de ce pangolin comme thèse officielle de ce virus. De plus, la novlangue a permis la capture de nombreux mots afin d’y donner le sens inverse, il était important pour la minorité au pouvoir de ne pas apeurer les habitants. Cela a donc permis l’asservissement d’une immense majorité au narratif contrôlé par une infime minorité d'entre eux. La majorité étant trop contente qu’une minorité puisse leur parler de croyance en « la science » et du fait que, la minorité au pouvoir agirait « quoiqu’il en coute » pour leur bien, avec leurs impôts et leurs consentements. En échange, ils durent accepter de laisser de côté les lois et droits durement acquis au cours des siècles.

Ces humains-ci ont été « augmentés » par une espèce venue d'une autre planète, encore : « Davos. » Un programme informatique a été implanté dans leur cerveau et ce programme permet de contrôler l'esprit des humains qui eux n'ont pas été « augmentés ». En contrepartie de cela, ces humains augmentés ont perdu les repères que dame Nature leur avait conférés et leur appareil génital. Ce programme a permis de leur faire considérer que les rapports sexuels sont l'apanage d’une autre espèce, celle des animaux. Voilà pourquoi ces humains-ci traitent les autres humains comme du bétail. Un cheptel humain 100 % dédiés à satisfaire le besoin de domination sur tous les autres « genres », qui caractérise leurs maîtres.

J'ai appelé cette planète imaginaire « Cheeta. » Pourquoi ?

Parce que le singe qui joue la guenon « Cheeta » dans le film « Tarzan », avec Johnny Weissmuller,  était en réalité un chimpanzé mâle. Il s'appelait « Jitts », comme on peut le voir la sur la photo ci-dessus :

Cheeta

En voyant cette photo, les médias patentés expliquèrent que Jits était en « trouple » avec Tarzan et Jane. Sur « Cheeta » la version officielle sur la nouvelle maladie est sans équivoque aucune : Tarzan serait le patient zéro. Pourtant, il y a eu débat, car certains ont d’abord cru que c’était la « Rencontre du troisième type » qui avait donné naissance à ce virus. C'est donc à l'occasion d'un contact avec ce chimpanzé, qu'il a contracté la variole du singe. Jane, elle, non. Comme sur « Cheeta », le sexe a été substitué par le « type » ou « genre » au choix. Tarzan a donc un humain de genre type comme conjoint ! Vous me suivez, car personnellement j’en perds mon latin.

Blague à part, voici quelle est la situation sur « Cheeta. »

Au terme abouti d'un « Parce que c'est notre projet ! » local auquel tous les médias ont collaboré, les humains augmentés ont divisé la communauté humaine de « Cheeta » en deux camps, deux côtés qui, officiellement, sont radicalement opposés. C'est-à-dire que, tout d’abord incités puis manipulés mentalement qu'ils ont été à cet effet par les humains augmentés, les humains « normaux » sont persuadés que, pour de vrai, ces deux côtés sont adversaires et s'opposent véritablement. Alors qu'en réalité il s'agit des deux faces d'une seule et même pièce. Pièce de monnaie et pièce de théâtre. J'entends par là, d'une part, la somme pharaonique que cela coûte aux contribuables chaque année, et, d'autre part, la tartuferie politique qui leur est jouée par des comédiens. Chacun de ces acteurs interprète le rôle qui lui a été attribué par l'humain « augmenté » qui tire les ficelles en coulisses, depuis sa loge. Une loge où loge également celui qui a pensé tout cela, et qu'on appelle à ce titre « le Grand Architecte » en sa version française : Jackata Lee, un ancien moine Shaolin dont je vous reparlerai plus tard.

D'un côté, « le progrès » imposé au peuple par les dirigeants, par la peur, a conduit à la dictature dont je vous ai fait état plus haut. Et, de l'autre côté, « l'obscurantisme » lui aussi imposé par la peur. À savoir la doctrine politique contraire, mais qui, pour ce qui est de placer les humains « normaux » sous la domination des humains « augmentés », conduit au même résultat. Je reviendrai là-dessus dans la seconde partie de cet édito.

Au prétexte d'une MST, maladie sexuellement transmissible inconnue jusqu'alors, la propagande commune à tous les pays de ce côté politique-ci de « Cheeta », a développé une discrimination constante de tous ceux qui ne pratiquent pas l'abstinence. Une victimisation sans cesse accentuée, de sorte que « l'abstinençophobie » est arrivée à supplanter le chantage ancestral et principal, jusque-là, sur cette partie-ci de « Cheeta » : « l'antikiltisme. » À savoir l'incrimination, comme responsable de tous les maux de la société, d'un peuple raillé pour son avarice présumée, un défaut qu'on lui prête (à un taux avantageux), et dont la tenue rituelle est une jupe à carreaux multicolores.

Ce peuple a élu domicile un peu partout sur la planète, c'est vrai, « sans qu'on ait voté en ce sens », ajoutent ceux qui souffrent de cette déviance intellectuelle. Une déviance intellectuelle heureusement réprimée par la loi. Dans la plupart des pays de ce côté-ci de « Cheeta », l'antikiltisme n'est pas une opinion : c'est un délit.

Puisque sur « Cheeta », hormis les humains augmentés, tout le monde pratique le sexe, enfants et vieillards compris, cette incrimination des non-abstinents par les abstinents, a accouché d'une réduction drastique des libertés publiques et privées, au préjudice, donc, des non-abstinents.

Cette réduction drastique des libertés est intervenue au prétexte inventé, et ainsi fallacieux lui aussi, d'un autre virus. Un virus qui affectait absolument tout le monde, lui, et qui, soi-disant, était 100 fois plus dangereux, transmissible et létal que la MST originelle susdite.

La planète des cinglés.

(Photo montage iillustrant l'hérésie dans laquelle le monde tombe)

Et, constatant qu'il aura suffi que, dans chaque contrée, la milice étatique et les tribunaux châtient ostensiblement la fange contestataire, pour que l'opposition populaire pourtant pleinement légitime, « elle » (j'explique pourquoi plus loin) cède entièrement, les dirigeants ont récidivé dans l'utilisation successive combinée de deux vecteurs politiques basiques, qui a fait ses preuves depuis l'Antiquité.

Après une période de trois semaines de festivités artificielles plébéiennes, savamment orchestrée, reconnaissons-le, en application du principe éprouvé d'accaparement de tous les pouvoirs qu'est « Donnez du pain et des jeux au peuple et il ne se révoltera pas », le recours à la peur panique institutionnalisée (second vecteur politique) a permis l'acceptation, par la masse endormie soumise l'imposant à la minorité éclairée, de restrictions d'absolument toutes les libertés.

En plus d'être irréversibles (j'explique pourquoi aussi après), ces restrictions sont encore plus terribles que les précédentes. Tout particulièrement pour les foyers les plus pauvres, « la populace », mais pas que. Cette fois aussi, les classes moyennes en souffrent jusqu'à étouffement.

Oui. Les éternelles vaches à lait ont rejoint « le troupeau » des crève-la-faim, ces contribuables qui, pressés fiscalement à l'extrême qu'ils sont désormais, sont à ce point totalement à sec aujourd'hui, que dorénavant les vaches à lait ne donnent plus que du lait en poudre.

Comment les dirigeants de cette partie-ci de « Cheeta » ont pu faire accepter cette situation à ceux qui en souffrent ? C'est simple.

D'abord, évidemment, en accentuant la censure, la mise au ban et la répression, et en les portant jusqu'à des sommets dans l'ignominie et dans l'horreur. Ces sommets de déshumanisation, dirais-je, sont proportionnels à la peur de perdre le pouvoir constatée chez ses tenanciers, à chaque fois qu'ils sentent que celui-ci leur échappe. Notamment quand le peuple sur lequel ils ont la mainmise, comprend que, ce qui est en train de laisser place sournoisement à l'exploitation nourricière des moutons par ces bergers cannibales, c'est l'extermination de ces animaux humains, qui donc soudainement cessent d'être bêtes. Prenant conscience que, du plan machiavélique « génocidaire » auquel ils assistent, ils sont le dindon de la farce. Le plat « de » résistance inéluctable de ce festin scélérat gargantuesque, si « la Résistance » ne s'organise pas.

Ensuite, si ces restrictions ont pu être si terribles et sont devenues irréversibles, c'est parce qu'elles furent frauduleusement justifiées par un chaos économique. Une faillite avancée par les autorités comme intervenant « Et c'est donc par le plus grand des hasards... », alors qu'en réalité cette faillite résulte d'une politique menée depuis 40 ans, pour, à ce terme échu, pouvoir verrouiller la domination d'une infime partie des humains : les humains « augmentés », imposant leur volonté hégémonique aux autres humains. La caste illégitime de quelques privilégiés autoproclamés « les élites », parasites nuisibles au possible qui dirigent tout, possèdent tout et détruisent tout, au lourd préjudice « des gens qui ne sont rien », ces milliards d'individus réduits en esclavage, et forcés à se soumettre à ce que sur Terre, on appelle le crédit social « à la chinoise. »

Oui. Huit milliards d'humains qui ne possèdent plus rien et qui sont malheureux.

De surcroît, le soi-disant « vaccin » contre cette seconde MST, cachait en réalité toute autre chose. Des nanoparticules programmées pour rendre les humains « normaux » génétiquement compatibles avec les humains « augmentés » ; c'est-à-dire afin que leurs maîtres puissent avoir à leur disposition, les organes nécessaires à ce qu'ils puissent prolonger indéfiniment leur existence décadente et vide de sens réel, via des multiples greffes, sans risque de souffrir d'un rejet. Et, par là étancher leur soif de pouvoir, elle aussi, infinie.

Enfin, « Diviser pour mieux régner » étant carrément, lui, « LE » principe de base de tout dictateur, sur « Cheeta » ils l'ont utilisé à foison et dans tous les domaines. De plus sur « Cheeta » on a pu voir tour à tour des juges suprêmes imposer des mesures drastiques de réduction de la liberté d’expression, des entrepreneurs défendant la liberté d’expression attaqués ou mis en examen alors que les fonds de citoyens de certains États étaient envoyés pour alimenter la défense militaire d’un des pays les plus corrompus. Mais, tout cela fut vu et lu à la télévision et dans les médias subventionnés, mères et pères de toutes les vérités patentés.

C'est ainsi que, durant chacune des deux pandémies bidons dont je vous ai fait état préalablement, les dirigeants de ce côté-ci de « Cheeta » ont pu faire s'opposer les anti et les pro-humains venus d'autres planètes, en lieu et place des opprimés, « cheetaiens » et « extracheetaesques » unis, s'insurgent contre la dictature des humains « augmentés ». Cette dictature subie par tous les humains « normaux », qu'ils soient pro ou anti-extracheetaesques. Cette dictature qui donc consiste en ceci : une poignée des tarés complets, tyrans de la pire espèce, imposent leur volonté démoniaque eugéniste, aux 99,99999% autres habitants du monde, protégés qu'ils sont, ces bergers cannibales, par des chiens de garde enragés. Une police surarmée et exagérément importante en nombre d'hommes, qui atteste cumulativement, d'une part, de la peur d'être renversés qu’habite les tyrans sanguinaires au moment critique d'une fin de régime, et, d'autre part, de la déliquescence qui frappe les membres de cette police à tous les niveaux (déontologie, éthique, morale, etc.), des policiers  passés ainsi de « forces de l'ordre » à « forces du chaos. »

Et qu'en est-il concernant l'autre côté, celui qui, officiellement, est opposé à la dictature des humains « augmentés » ?

Jusque-là, vous conviendrez que la situation décrite ferait un excellent narratif pour un film hollywoodien d’info fiction. Un terme approprié puisque les politiques de « Cheeta » ont consacré le mensonge au rang de vérité. 

Cependant, la réponse à la question, ci-dessus, demandant un espace aussi long que celui que j'ai consacré au premier de ces deux côtés, soufflons un peu et retrouvons-nous pour cela dans la seconde partie de cet édito.

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