Emmanuel Macron : le boulet de démolition (1)


Depuis bientôt huit ans, la France traîne un boulet : Emmanuel Macron, incarnation d’une folie destructrice qui, avec la complicité servile de la caste politique et médiatique, déchaîne une démence criminogène. Objectif ? La destruction totale du pays et l’effacement de sa population. Voilà la traduction concrète de son « Parce que c’est notre projet ! », mantra pour lequel il fut hissé au pouvoir. Pourquoi ? Parce qu’un tel cataclysme sert l’agenda « Ordo ab chaos » de ses marionnettistes, ces architectes d’un désordre mortifère.
Sa dernière allocution télévisée en est la preuve éclatante. Un chef-d’œuvre de recyclage : exit « Covid », bonjour « Russie » ; adieu « gestes barrières », place aux « gestes frontières ». Un copier-coller paresseux, tout droit sorti de la chansonnette de Claude François, remixée en mode panique sociale :
« Oui, c’est la même chanson : mensonge et belligérance, comme pour le corona. Mais toi, tu n’l’entends pas. »
La France tremble, mobilisée pour 800 milliards d’euros, pendant qu’Ursula von der Leyen dégaine masques à gaz et vaccins ARN « anti-Russe et nucléaire ». « À la guerre comme à la guerre », clame-t-il, relançant son opération « quoi qu’il en coûte » sur le dos des Français.
Macron, maestro du « conarovirusse », jongle entre deux fléaux : le faux cirque du Covid et le vrai virus guerrier qu’il rêve d’inoculer à la planète, avec une létalité flirtant avec les 100 % si l’atome entre en scène – loin du néant statistique du coronavirus. Pourquoi ? Parce que c’est « son projet » : raser l’Europe occidentale – infrastructures, économie, culture, histoire, peuple – au profit des États-Unis, d’Israël et de la Chine. Le diable ne se cache plus dans les détails, il parade au grand jour.
Depuis l’été 2024, la « bête » avance à visage découvert. Les Jeux Olympiques de Paris, avec leurs cérémonies d’ouverture et de clôture saturées de références à Lucifer, Satan, Baal et autres divinités cabalistiques, ont dévoilé le pot aux roses. Le langage des initiés, cette rhétorique inversée dont Macron est le héraut, mystifie les « profanes » que nous sommes. Exemple parfait dans son dernier discours : « Tout ce que nous faisons, même les choix de nos armées pour éviter la guerre, ce sont des choix de paix. » Traduction pour les non-élus : préparez-vous à mourir pour sa paix.
Mais les Français ne gobent plus ses couleuvres. Selon un sondage BonSens.org/France-Soir du 27 février 2025, 76 % jugent que le gouvernement trahit leurs intérêts. Les manifestations, comme celle des Patriotes à Paris, se multiplient. Face à ses délires nucléaires – partager la dissuasion française avec l’Europe, en violation potentielle du Traité de non-prolifération –, des militaires sonnent l’alarme : « La dissuasion ne se partage pas. » BonSens.org a même saisi l’AIEA pour exiger des comptes. Où sont les parlementaires dans ce fiasco ? Tétanisés par la foudre jupitérienne, ils acquiescent en silence.
Pendant ce temps, Trump et Rubio prônent la paix, laissant espérer que cette montagne de manipulation accouche d’une souris. Souvenez-vous : avec Chirac, ça faisait « Pschitt ! » ; avec Macron, ça fait plutôt « Prout ! ». Méfiance, pourtant : quand un va-t-en-guerre jacte de paix, ça pue le soufre. Comme le disait Michel Rocard, jamais sous-estimer la connerie humaine, moteur des décisions désastreuses. Mais avec Macron, ce n’est pas de la bêtise : c’est une volonté délibérée de nous précipiter dans le mur.
Preuve en est, ce revirement de 2017. Entre les deux tours, il jurait, la main sur le cœur :
« Madame Le Pen veut la guerre, moi je suis le rempart ! »
Huit ans plus tard, il nous y jette tête baissée. Et la « démocratie » serait-elle un mot coquille ? François Bayrou, son Premier Ministre gâteux, l’enterre sans sourciller : pas de référendum, pas de consultation. Le peuple ? Un détail. Avec 73 % des Français méfiants envers le gouvernement et 71 % rejetant Bayrou (sondage BonSens.org/France-Soir),
le verdict est clair : l’ennemi public numéro un, c’est lui, Macron. Pas Poutine, pas Trump, mais ce boulet qui, à 4 % d’approbation, dynamite la France avec un sourire maladif et narquois.
Une version augmentée de cet édito avec les références est aussi disponible.
1) un boulet ou une boule de démolition est une masse importante en acier, sphérique ou en forme de poire pendue à une grue, utilisée pour la démolition d'immeubles. Son utilisation est interdite partout en France. Malheureusement, sauf en politique visiblement.
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