Explosion des effets secondaires suite à la vaccination contre le Covid aux États-Unis

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FranceSoir
Publié le 22 avril 2022 - 23:22
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Aux États-Unis, les événements indésirables qui pourraient être liés aux vaccins grimpent en flèche. Parmi les effets secondaires repérés pendant la vaccination en population générale depuis le début de l'année 2021, les myocardites et les péricardites sont ceux qui sont le plus fréquemment rencontrés.

L'enregistrement des effets secondaires dans le VAERS

Créé en 1990, le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) est un système national d'alerte précoce destiné à détecter les éventuels problèmes de sécurité des vaccins homologués aux États-Unis. Le VAERS est cogéré par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis. Le système accepte et analyse les rapports d'événements indésirables après qu'une personne a reçu un vaccin. Toute personne peut signaler un événement indésirable au VAERS. Les professionnels de santé sont tenus de signaler certains événements indésirables et les fabricants de vaccins ont obligation de signaler tout événement dont ils ont connaissance.

Le VAERS est un système de déclaration passif, ce qui signifie qu'il repose sur l'envoi par les personnes concernées des rapports sur leurs expériences aux CDC et à la FDA. Il n'est pas conçu pour déterminer si un vaccin a causé un problème de santé. En revanche, il est particulièrement utile pour détecter des schémas inhabituels ou inattendus de signalement d'événements indésirables qui pourraient indiquer un éventuel problème de sécurité avec un vaccin. De cette manière, le VAERS peut fournir aux CDC et à la FDA des informations précieuses indiquant qu'un travail et une évaluation supplémentaires sont nécessaires pour approfondir un éventuel problème de sécurité.

La sous-estimation de la gravité des cas

Depuis plusieurs mois, les cas de myocardites et de péricardites sont minimisés par les autorités, les régulateurs et les médias. S’ils ne nient pas les cas, ils en atténuent la gravité, qualifiant le phénomène de rare ou de bénin.

La myocardite et la péricardite sont des inflammations du cœur potentiellement mortelles. Si l’on prend le cas de la myocardite, il existe toujours un risque de dégradation de l’état général du patient avec défaillance viscérale, voire un arrêt cardiaque.

Par conséquent, cette pathologie ne peut être considérée comme bénigne, d’autant plus que 90 % des cas enregistrés dans le VAERS ont effectué un séjour en établissement de santé disposant d’assistance cardiaque. 

Les données du VAERS donnent une explosion exponentielle des cas de myocardites

La rareté des cas de myocardites est une affirmation qui semble un peu plus fausse chaque jour. Depuis le début de la vaccination en population générale, le nombre de cas a explosé. D’après les données du VAERS, on pouvait recenser près de 25 000 cas de myocardites ou péricardites pour l’année 2021. En 2022, au 25 février, plus de 10 000 rapports étaient déjà enregistrés dans cette base de données.

Si l’augmentation se poursuit au même rythme, le nombre de cas liés au vaccin pourrait être multiplié par trois, alors que l'on sait que les effets secondaires sont toujours sous-répertoriés par les réseaux de surveillance sanitaires comme le VAERS. L’importance de la sous-déclaration est d’ailleurs très variable d’un vaccin à un autre et dépend de très nombreux facteurs parfois difficiles à analyser.

Quoi qu'il en soit, le problème est d'autant plus sérieux que les chiffres sont exponentiels et touchent une population d’adolescents et de jeunes adultes dont la plupart développent des myocardites ou des péricardites après la seconde injection. 

La mortalité enregistrée dans le VAERS

Outre les cas de myocardites et de péricardites, plus de 25 000 décès et plus d’un million d’effets indésirables ont été enregistrés dans le VAERS depuis le début de la vaccination contre le Sars-CoV-2. 

Par le passé, lorsqu’un problème était détecté, c’était le principe de précaution qui prévalait. En 1976, le retour de la grippe porcine fait craindre aux Américains une réplique de l'épidémie de 1918. Un vaccin est élaboré et une autorisation de mise sur le marché est délivrée en urgence. Commence un programme massif de vaccination de masse qui est annulé deux mois plus tard après le signalement de 450 cas de syndromes de Guillain-Barré et de 25 décès.

Depuis des mois, les CDC américains dissimulent les résultats médiocres d’une campagne de vaccination qui devait mettre fin à l’épidémie. Malgré les affirmations répétées ad nauseam sur le vaccin qui protègerait de la transmission puis des formes graves, les régulateurs (CDC, FDA) ont toujours refusé de communiquer les données par rapport au statut vaccinal. Peu de pays ont eu une politique transparente sur la vaccination ; le Royaume-Uni est cependant l'un des rares pays à avoir transmis ses résultats après avoir recensé les pourcentages de cas de Covid-19, d'hospitalisation ou de décès par rapport au statut vaccinal. 

Voir aussi : "Tous les vaccins covid du monde entier devraient être retirés du marché" Peter McCullough

Une politique vaccinale se construit en même temps sur la recherche d'un bénéfice individuel pour la personne vaccinée qui doit obtenir une protection par le vaccin et sur un bénéfice collectif à long terme.

Or, des études récentes ont montré qu’il ne peut exister de bénéfice collectif puisque le vaccin n'empêche pas la propagation du virus et que la population jeune n’est que peu affectée par les formes sévères du Sars-CoV-2. Par conséquent, la persévérance dans cette dynamique vaccinale s'apparente de plus en plus à une décision d'autant plus folle qu'elle n'a plus aucun rapport avec la réalité épidémique. 

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