L'excès de mortalité chez les jeunes qui interroge sur la vaccination anti-Covid

Auteur(s)
Jean-Noël Haas* pour France-Soir
Publié le 21 novembre 2023 - 17:41
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Nous avons plus de deux ans de recul qui nous prouvent que les vaccins anti-Covid peuvent provoquer des effets secondaires pouvant entraîner la mort.
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TRIBUNE/ANALYSE - Dans un précédent article nous avions vu que pendant qu’un virus dangereux et mortel circulait, le premier semestre 2021 fut le semestre le moins mortel de tous les temps pour les 5 à 40 ans en France. Mais le deuxième semestre, alors qu’un vaccin protecteur sûr et efficace était massivement injecté, on voyait la mortalité de cette tranche d’âge brusquement augmenter de plus de 400 décès, ce qui était un retour en arrière en termes de mortalité d’environ 10 ans.

Apparemment, certains n’ont pas été convaincus par cette démonstration et osent toujours prétendre que les vaccins anti-Covid ne provoquent pas d’effet secondaires. Qu’ils se rassurent, voici une piqûre de rappel !

À la suite de cet article, j’ai eu des échanges avec le statisticien Pierre Chaillot de la chaîne YouTube Décoder l'éco qui m’a poussé à augmenter la résolution temporelle de l’analyse et à y adjoindre les courbes des injections des vaccins anti-Covid disponibles sur le site data.gouv.fr. Cela m’a permis avec son aide d’améliorer mon programme d’analyse de la mortalité française. Ainsi outillés, nous allons pouvoir nous atteler à déterminer le plus précisément possible quand cet excédent de mortalité a commencé et, pour cela, nous allons nous concentrer sur les 12-40 ans car les 5-12 ans ont vu leur campagne de vaccination démarrer plus tard et feront l’objet d’un article séparé. 


Partons de l’analyse semestrielle du précédent article et affichons l’excès de mortalité pour les 12-40 ans :

graph1

Nous voyons là très clairement l’excédent de mortalité sur les quatre derniers semestres avec en moyenne 400 décès supplémentaires par semestre.

Ci-dessous, voici toujours une analyse semestrielle mais avec les injections de la première dose et l’excédent de mortalité relatif en pourcentages :

2

Et, ci-dessous, le même graphique mais avec les injections de la deuxième dose :

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Nous ne pouvons que constater que le début de cet excédent de mortalité coïncide bien avec les pics des injections.

Toujours pas convaincu ? Passons donc à l’analyse trimestrielle. Ci-dessous, l’excédent de mortalité par trimestre avec les injections de la première dose :

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Et, ci-dessous, avec les injections de la deuxième dose :

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Nous ne pouvons que constater que le début de cet excédent de mortalité coïncide toujours avec les pics d’injections. Surtout pour la deuxième dose.

Toujours pas convaincu ? Eh bien passons donc à la moyenne sur 8 semaines glissantes ! Ci-dessous avec la première dose :

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La courbe de l’excédent de mortalité est bien plus bruitée à cause des fluctuations statistiques mais nous voyons bien qu’avant le pic de vaccination, les fluctuations sont autour de 0 alors qu’après, l’excédent est toujours au-dessus de 0 et fluctue en moyenne plutôt autour de + 10 %.

Voyons voir maintenant avec la deuxième dose :

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Nous constatons que la corrélation temporelle est encore plus flagrante avec la deuxième dose.

Toujours pas convaincu ? Faisons un zoom de la courbe sur la période qui nous intéresse :

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Nous voyons là très clairement que la courbe de vaccination de la deuxième dose se confond pratiquement avec le premier pic de mortalité qui marque le point de départ de cet excédent de décès. La courbe des injections précède d’environ deux semaines le pic de mortalité.

Rappelez-vous de la deuxième dose, celle qui a mis un certain nombre de vos collègues en arrêt de travail et pour laquelle les médias mentionnaient des effets indésirables plus importantsmais rassurez-vous, c’est normal, vous n’allez pas mourir !

A l’évidence, la deuxième dose a tué un certain nombre de jeunes dans les semaines qui ont suivi l’injection. À la suite de cela, la mortalité n’est pas revenue à la normale preuve qu’il y a des effets secondaires qui persistent à moyen terme.

Qui peut croire que dans un intervalle de deux semaines, par une improbable coïncidence, un autre événement complètement indépendant aurait déclenché cette vague de mortalité chez les jeunes ? 

Pour rappel, l’analyse ici présente est basée sur des données officielles fournies par des organismes d’Etat et le programme qui permet de générer les graphiques de cet article est public. Si vous avez un ordinateur Windows vous pouvez tout simplement télécharger le programme, extraire les fichiers de l’archive FrenchMortality.zip dans un répertoire et double-cliquer sur le fichier batch FrenchMortality 12-40.bat pour lancer la génération des graphiques dans un fichier Microsoft Excel. Selon la puissance de votre ordinateur, l’exécution peut prendre entre 10 à 30 minutes, le temps de télécharger tous les fichiers de données, d’importer ces données, puis de faire les calculs. Il faudra donc vous armer d’un peu de patience. 
Et si, en plus, vous avez des connaissances en programmation je ne peux que vous encourager à consulter son code source pour vous assurer qu’il n’y a pas d’erreurs.

Autre rappel : cela fait plus d’un an et demi que l'épidémiologiste Laurent Toubiana essaye d’obtenir les données de mortalité en fonction du statut vaccinal. C’est une analyse qui aurait dû être faite dès le début de la campagne de vaccination dans la mesure où les vaccins sont encore expérimentaux. Et pourtant, toutes les demandes sont encore bloquées pour cause d’obstruction. Or, il s’agit là de la seule manière de prouver l’efficacité ou la dangerosité de ces vaccins sans aucun biais.

Le ministre de la Santé devrait arrêter de faire le VRP des fabricants des vaccins anti-Covid. Ce n’est clairement pas son boulot. Il n’a maintenant plus aucune excuse. Nous avons plus de deux ans de recul qui nous prouvent que ces vaccins ont des effets secondaires qui peuvent s’avérer mortels.

Maintenant, tout le monde est face à l’évidence. Les hommes politiques et les médecins qui restent dans le déni où le mensonge ne font que renforcer nos certitudes ! Qu’ont-ils bien à cacher ?

 

*Jean-Noël Haas, titulaire d'un DEA en physique subatomique, est informaticien, développeur de solutions de sécurité et d'authentification forte et créateur indépendant de logiciels d'analyse de journaux informatiques.

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