Le piège de l’antisémitisme : comment la République divise pour régner ? Version augmentée


La République et les Juifs, ou le détournement d'attention permanent opéré depuis là où loge l'ennemi revendiqué du peuple de France, « les élites », par l'agitation de l'épouvantail originel : la prétendu lutte contre l'antisémitisme.
Mercredi 2 avril 2025, Emmanuel Macron a fait ceci, en grande pompe, à l’Élysée. Il a remis le Prix Jean-Pierre Bloch 2024. Créé en 2012 par Martine Benayoun (alors vice-présidente de la LICRA), ce Prix est décerné chaque année par la LICRA. Pour la première fois, cette année, ce n'est pas un mais deux lauréats qui ont été choisis : l'animateur Arthur (Jacques Essebag) et l'humoriste Sophia Aram. Et alors qu'il est indiqué sur le site de la LICRA, que ce prix récompense « un artiste et son œuvre dans son rapport aux droits de l’Homme », c'est « pour leur engagement exceptionnel dans la lutte contre l’antisémitisme » que ce Prix leur a été décerné ; communiqué officiel de la LICRA, repris par Emmanuel Macron lors de la remise du Prix.
Dans l'esprit commun, populaire, l'Homme avec un « H » majuscule ; comme dans la déclaration des droits de l'Homme et du citoyen du 26 août 1789, socle de notre droit ; l'Homme s'entend d'absolument tous les hommes. À savoir sans aucune distinction ou restriction, ni de sexe, ni de race, ni de nationalité, ni de religion. Or, c'est bien avec un « H » majuscule qu'est orthographié « Homme » dans l'intitulé officiel de ce Prix.
Par référence à l'expression utilisée dans la Torah et dans le Talmud pour désigner les Juifs (« le Peuple élu »), doit-on en déduire que, malgré ce « H » majuscule, il y aurait une certaine catégorie d'hommes, « les Juifs », et que ces hommes-là seraient supérieurs aux autres hommes ? Ou pire ! Que seuls les Juifs serait véritablement des Hommes, et que les autres sapiens sapiens, eux, seraient juste des sous-hommes. Des animaux. Le bétail humain d'un Peuple élu qui, dès lors, a le droit d'exploiter ce cheptel à sa guise. D'en faire tout ce qu'il veut. Notamment l'envoyer périodiquement à l'abattoir, à telle fréquence, de telle façon et en telle quantité, selon ses besoins et envies. Selon la nature et la portée de son « Parce que c'est notre projet ! » du moment.
Évidemment, non ! Tant génétiquement qu'intellectuellement, au sein de la communauté universelle terrestres qu'on appelle l'humanité, il existe une seule catégorie d'hommes : les êtres humains. Donc, tant intrinsèquement que dans la réalité neurologique et physiologique qui a cours sans discontinuer depuis l'aube de l'humanité, il n'existe aucune catégorie d'hommes qui, par leur religion ou autre chose, est supérieure aux autres êtres humains.
Cependant, soutenir implicitement le contraire, c'est visiblement une nouvelle fois ce à quoi Emmanuel Macron s'est employé à faire, avec le discours qu'il a prononcé, mercredi 2 avril 2025, lors de la remise de ce Prix Jean-Pierre Bloch 2024.
« Le poison antisémite n'est constitué que d'un seul ingrédient : la haine.
Et quelle que soit l'expression que prend l'antisémitisme ; religieuse, sociale ou raciale ; elle n'est que le produit de la haine. Une haine née à l'extrême droite, qui a prospéré à l'extrême droite, et qui a su essaimer au-delà de l'extrême droite. Et aujourd’hui, malheureusement, jusqu'à certains rangs de l'extrême gauche et de la gauche, pour qui l'antisionisme fait office d'alibi à l'expression de l'antisémitisme. Ainsi s'est assemblée la monstrueuse chaîne de la haine, qui seule pouvait lier les radicaux islamiques aux négationnistes de la Shoah. Nous en sommes là. Et il ne suffit pas d'être contre l'extrême droite pour être pour la République, lorsqu'on propage des propos antisionistes et antisémites. De la même façon qu'il ne suffit pas d'être contre l'extrême gauche pour protéger les Juifs, quand on va au secours de ceux qui ont eux-mêmes servi le négationnisme. »
En effet, ce discours consiste à présenter insidieusement « les Juifs » de la façon perfide susdite. Pourquoi ? Pour faire en sorte que les non-juifs (les goyim) voient faussement tous les Juifs de cette façon-là.
Et, afin d'optimiser l'effet pervers de cette manipulation scélérate des masses, les Juifs qui font partie de la cabale font ceci. Dans leur vie publique (télévision, radio, déclarations sur les réseaux, etc.), ils se comportent de cette façon-là, exprès. Pour alimenter le détournement d'attention. Et ils y ajoutent cela : affirmer faussement qu'ils sont particulièrement visés par l'antisémitisme. « Faussement », car en réalité, ils n'en souffrent aucunement. Membres utiles de la cabale qu'ils sont, la République les protège de l'aversion qu'ils suscitent au sein du peuple de France, non pas parce qu'ils sont Juifs, mais pour leur arrogance et pour leur mépris affiché du peuple de France.
Tout ceci à cela pour conséquence. Les Juifs qui eux ne font pas partie de la cabale ; à savoir l'immense majorité du peuple juif ; ces Juifs-ci se retrouvent véritablement être pris pour cible, eux, et certains très lourdement, par l'antisémitisme qui est ainsi généré, entretenu et développé artificiellement par la cabale.
Oui. Le but visé par les membres de cabale par cette entremise s'en trouve pleinement atteint : pour une très grande proportion des non-juifs, les responsables des malheurs du peuple de France, ce sont les Juifs. Alors qu'en réalité ce sont les membres de la cabale. Les élites. Les bénéficiaires de l'organisation mafieuse qui règne sur la France par félonie depuis 236 ans : la République.
Parmi les Juifs qui sont la cible de cet antisémitisme, certains ont compris qu'en réalité, ils sont des boucs émissaires : les victimes de ce détournement d'attention. Ces Juifs-ci ont cette excellente tirade, pour exprimer cet état de fait : « C'est eux qui pètent, mais c'est nous qu'on sent pas bon. »
Et, donc, dans cette tirade, le mot « eux » désigne les membres de la cabale (Juifs et autres), ces traîtres à l'humanité qui sévissent au sein de la République.
Les Juifs membres de la cabale s'identifient facilement. Je le répète afin que nul ne puisse faire l'amalgame avec les autres Juifs ; il s'agit des personnalités qui mettent en avant leur judéité (effective ou non qu'importe) avec suffisance et mépris, et en sous-entendant ou en affirmant expressément que les Juifs sont les meilleurs. Qu'ils dirigent tout. Qu'ils sont partout en nombre dans les élites. Qu'ils trustent les Prix d'excellence (comme le Nobel) et que tout cela est logique, normal, 100 % mérité au regard de leur supériorité intellectuelle !
Et, rappelez-vous, ils ajoutent à ça de soutenir fallacieusement qu'ils sont particulièrement et hautement victimes de l'antisémitisme.
À l'occasion du discours qu'il a prononcé mercredi 2 avril 2025, lorsqu'il a reçu le Prix Jean-Pierre Bloch 2024, Jacques Essabag, alias « Arthur », s'est fait l'archétype et le porte-voix de ces Juifs-là.
En effet, voici ce qu'il a déclaré à cette occasion :
« Je vais être honnête, je ne sais pas comment recevoir ce prix. Je suis là, devant vous, et au lieu d’être heureux, je ressens quelque chose de plus profond qui me bouleverse. Parce que je me dis qu’en France, en 2025, on remet une récompense à quelqu’un juste parce qu’il a dit que l’antisémitisme était inacceptable. Et ça, ça me rend pas fier.
Je vis désormais avec une peur qui ne me quitte plus.
Depuis le 7 octobre, j’ai parlé. Fort. Parfois avec maladresse. Pour rester debout. Comme tous les juifs de France, monsieur le président, je vis désormais avec une peur qui ne me quitte plus. Une peur intime, une peur qu’on n’avoue qu’à demi-mot. Même à ses proches. Ces parents qui changent leur nom pour commander un taxi. Ces commerçants dont les vitrines sont taguées.
Où sont ceux qu’on admirait, qui avaient toujours le mot juste ? Les artistes, les penseurs, les humanistes, les féministes, les grandes voix ? Les amis d’hier aujourd’hui si silencieux, flous, tièdes, ambigus. Ce silence blesse plus que toutes les insultes. »
Soyons clairs. Je n'ai rien de personnel contre Arthur, ni contre aucune religion, ou membre de confession que certainement vous avez reconnus : Jacques Attali & Cie. Et j'appelle tous les Français, quelle que soit leur obédience, à ne pas tomber dans le piège de la haine qui nous est tendu par la République. Ce piège, je le redis exprès, qui consiste à faire faussement passer les Juifs pour les responsables des maux du peuple de France, via la manipulation scélérate des masses dont j'ai fait état plus haut. Ce détournement d'attention opéré pour cacher au peuple de France, qu'en réalité, c'est l'entente collusoire des élites illégitimes qui est la cause de tous les maux dont souffre le peuple de France. L'organisation mafieuse dénommée « la République », qui utilise les Juifs à la fois en tant que bouclier et en tant que bouc émissaire. À savoir en agitant l'épouvantail originel : la prétendue lutte contre l'antisémitisme.
« Soi-disant », dis-je à propos de la lutte étatique contre l'antisémitisme, parce que, souvenez-vous, cet antisémitisme que les institutions de la République prétendent combatte, en réalité, la cabale s'emploie à le générer et à l'amplifier autant qu'elle le peut.
Juif le plus illustre de l'Histoire après Moïse, Albert Einstein aurait pu reprendre à son compte l’idée sartrienne suivante : « Ce n'est pas le Juif qui fait l'antisémitisme. C'est l'antisémitisme qui fait le Juif. »
Il a aussi écrit ceci (extrait de sa lettre adressée au rabin américain Joshua Liebman en 1938 dont il envoya aussi une version ayant le même sens à Erik Gutkind en 1954) :
« Pour moi, la religion juive est, comme toutes les autres religions, l'incarnation d'une superstition primitive. Et le peuple juif auquel j'appartiens fièrement, et à la mentalité duquel je me sens profondément ancré, n'a pas pour autant une forme de dignité différente des autres peuples. Au vu de mon expérience, ils ne sont pas meilleurs que les autres groupes humains, même s'ils sont protégés des pires excès par leur manque de pouvoir. »
Et cela (également extrait de sa lettre à Gutkind de 1954) :
« Le mot Dieu n'est pour moi rien d'autre que l'expression et le produit des faiblesses humaines, et la Bible un recueil de légendes vénérables mais malgré tout assez primitives. »
Comme président de la République depuis 2007, Emmanuel Macron est le chef officiel de la cabale en France. Reconnaissons-lui ceci. Mercredi 2 avril 2025, avec son fameux discours prononcé lors de la remise du Prix Jean-Pierre Bloch 2024, il s'est appliqué mieux encore qu'à l’accoutumée à servir les intérêts de la République, par utilisation du détournement d'attention dont je vous parle (sa justesse de ton était meilleure, et sa solennité surjouée moins ridicule que d'habitude).
Aussi importe-il que je revienne sur le passage de ce discours, où l'utilisation de ce détournement d'attention a été le plus marqué, à savoir celui-ci : « Et il ne suffit pas d'être contre l'extrême droite pour être pour la République, lorsqu'on propage des propos antisionistes et antisémites. De la même façon qu'il ne suffit pas d'être contre l'extrême gauche pour protéger les Juifs, quand on va au secours de ceux qui ont eux-mêmes servi le négationnisme. »
Ne vous laissez pas berner !
Je vous en ai déjà fait part à plusieurs reprises dans cette rubrique, « La République » ce n'est pas « La France », ni encore moins le peuple de France. Non. « La République », c'est l'entente collusoire qui a pris possession du pays en 1789 par la fourberie et la terreur, et qui se maintient au pouvoir depuis lors par le mensonge, l'entretien des crises en tous genres, la peur et la manipulation des masses, ainsi qu'un « Diviser pour mieux régner ».
Qu'ils fassent ceci, Emmanuel Macron et ses amis, si « La République » veut vraiment « protéger » les Juifs : qu'ils arrêtent de se cacher derrière eux. Qu'ils arrêtent d'utiliser les Juifs à la fois en tant que bouclier et en tant que bouc émissaire. Car les utiliser ainsi, c'est ce que la confrérie des traîtres fait depuis 236 ans, dans l'entente collusoire criminelle dénommée « La République. » Cette pieuvre sanguinaire qui s'est construite sur les cadavres des millions de Français, chrétiens pour la plupart, assassinés pendant le génocide de dix ans, par l'abomination duquel ce système mafieux ultime a été substitué de force à la royauté. La royauté, ce régime politique de jadis, certes très loin d'être « démocratique », et qui, sous le règne de Louis XVI, a eu la faiblesse de laisser quelques notables, très mal intentionnés, profiter d'un roi qui lui était bienveillant. Un roi qui lui s'est employé à mettre plus de liberté, d'égalité et de fraternité à l'intérieur de la Nation qu'il n'en avait avant. À savoir le contraire des perfides destructeurs, nullement francs et pas maçons du tout, qui eux se sont réservé les bénéfices exclusifs de ces trois mots : « Liberté, égalité, Fraternité. » Ces trois mots dont justement ils ont fait la devise, non pas de la France et des Français, mais de la République.
Liberté de faire ce qu'ils veulent de la France et des Français, comme ils ont la mainmise totale sur la politique, l'armée, la police, la justice et les médias.
Égalité avec Dieu qu'ils revendiquent au motif qu'effectivement, ils peuvent se permettre absolument tout ce qu'ils veulent, sur le paradis qu'ils se sont bâtis sur la terre de France, en faisant que le sang « impur » des gueux abreuve « nos » sillons. (1)
Fraternité, celle qui les unit et dont sont exclus les profanes. Les gueux, les animaux, le bétail humain que nous sommes pour eux, nous les Français de base. Cette fraternité réservée à l'intérieur de laquelle ils se protègent, liés qu'ils sont par leur serment : « Je jure de me trancher la gorge, plutôt que de refuser d'apporter mon aide à un frère. » Un serment qui pose problème à l'intérieur cette fois de la sphère publique, puisque, de fait, pour tout « frère » détenteur de l'autorité publique, les intérêts privés de la confrérie précèdent toujours l'intérêt général. Les intérêts des Français.
Et c'est pareillement par « Gouvernement de la confrérie, par la confrérie et pour la confrérie », qu'il faut traduire dans les faits, la devise qui, à cet égard, est mentionnée ainsi dans la Constitution : « Le principe de la République est Gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. »
Diable ! Le peuple en question, ce sont les membres de cette confrérie malfaisante. Ce peuple qui a élu domicile sur le trône de France, et qui donc se cache derrière le peuple qui, dans les livres bibliques, est désigné par les termes « Peuple élu » .
Dans son discours à l'Université Ben-Gurion en 2022, Ursula von der Leyen a déclaré que « l'Europe a les valeurs du Talmud », mettant en avant sa vision idéalisée de l'histoire européenne à travers une connexion culturelle et intellectuelle avec le peuple juif, en évoquant des figures comme Hannah Arendt ou Sigmund Freud, ainsi que des principes tels que la responsabilité personnelle, la justice et la solidarité. Cette affirmation, bien que visant à renforcer les liens entre l'Europe et Israël, s'inscrit dans une énième tentative de von der Leyen de légitimer un narratif politique comme elle l'a fait avec la guerre en Ukraine ou la covid. Et, quelle meilleure illustration de l'instrumentalisation de cette situation, au-delà des frontières de la République jusqu'à la Commission européenne, que dans les paroles de von der Leyen ? Faute ou volonté délibérée, cette déclaration s'inscrit dans une stratégie plus large de contrôle du narratif, où des références culturelles sont utilisées pour consolider une alliance politique tout en occultant les tensions et les critiques sous-jacentes. Une manière de montrer le doigt pour que l'on ne voit pas la Lune.
Cela évite qu'aujourd'hui on se pose les réelles questions sur la position d'Israël vis-à-vis de l'arrêt de la Cour Pénale Internationale au sujet de la population de Gaza : en respect des valeurs humaines, comment justifier le sort subi par les Gazaouis sans que la communauté internationale se mobilise pour faire cesser ce qui est qualifié comme un risque de génocide par la CPI ? Un vrai sujet de discorde que von der Leyen évite soigneusement d'aborder.
Donc, Françaises, Français, et amis européens, ne nous laissons pas gruger par les tenanciers illégitimes du pouvoir. Réveillons-nous. Arrêtons de nous laisser gruger par eux. Berner par le détournement d'attention qu'ils opèrent. Arrachons-nous à cette emprise mentale. À cette manipulation des esprits. Et cessons de succomber au « Diviser pour mieux régner », ce subterfuge grâce auquel ces pseudos « élites », qui représentent à peine 1 % de la population, exploitent les 99 % restants à leur guise.
Et, puisque dorénavant, ils s'amusent à faire ouvertement référence, dans des événements publics, aux symboles et personnages démoniaques des écrits sacrés, je termine cet édito par cette tirade contestataire, citoyenne œcuménique, que j'ai déjà citée plusieurs fois dans des éditos précédents :
« Juifs, Chrétiens, Athées et Musulmans, tous unis contre cette farce ! »
L'équivalent pacifique du « Aux armes citoyens ! Formez vos bataillons. Marchons. Marchons. Qu'un sang impur abreuve nos sillons », et dans ce qui serait donc une version dûment « inversée » de la Marseillaise ! À savoir retournée à l'encontre des maîtres putatifs, par ceux qu'ils considèrent être leur cheptel humain. (2)
Attention, Messieurs, au retour de bâton !
1) « nos » sillons : ceux des traîtres à la patrie qui se sont appropriés le territoire national en 1789. Car historiquement, la Marseillaise est l'hymne, là encore non pas de la France et de ses habitants, mais de la République. Ainsi, lorsque des citoyens français chantent la Marseillaise, ils encensent les responsables d'absolument tous les malheurs dont le peuple de France souffrent depuis 236 ans.
D'où la vénération quasi mystique qu'ont pour Louis XIV, les adeptes de « L'ordre par le chaos. » Ce principe de base du fonctionnement de la confrérie des traîtres, Emmanuel Macron l'a évoqué publiquement concernant son « Parce que c'est notre projet ! », sous cette formulation davantage politiquement correct : « Tout détruire pour mieux reconstruire. » Car à la fin du règne de Louis XIV, l'état du pays était catastrophique. Apocalyptique. La France était totalement exsangue économiquement, sanitairement et démographiquement, et la population était dans une misère terrible, du fait des guerres militaires que Louis XIV a menées quasiment tout son règne durant. Cette vénération pour Louis XIV qu'ont ces illuminés, seule la dépasse celle qu'ils ont pour Napoléon Bonaparte. « L'Empereur » Napoléon 1er qu'ils appellent : « Le maçon des maçons », parce que il a porté l'édifice cabalistique à la toute puissance. Cette mainmise totale qu'elle a sur toutes les institutions, et que le peuple de France subit depuis lors plus ou moins durement dans sa chair, à chaque nouvel opus du « Parce que c'est notre projet ! » de cette entente collusoire mafieuse dénommée « La République. »
2) je vous renvoie à cet égard à ce passage-ci de cet autre édito : Le retable de l’Agneau mystique : une allégorie de la domination ?
« On retrouve ici la dualité fondamentale posée par la Déclaration universelle des droits de l'homme et du citoyen, texte fondateur de l'hégémonie de caste revendiquée depuis 236 ans par la génération « des Lumières », leurs descendants et ceux qui s'en réclament : d'un côté « l'homme » ; le sapiens-sapiens qui a tous les droits, car il s'est arrogé celui d'être l'équivalent de Dieu sur Terre ; et de l'autre côté « le citoyen » ; le sapiens-sapiens bas de gamme, qui lui a tous les devoirs, dont celui de servir « l'Homme », son maître. De le servir « aveuglément », car justement, lui, il n'est pas capable de voir. De savoir voir, et donc d'accéder au savoir. Un savoir synonyme de pouvoir qui est ainsi réservé uniquement à ceux qui savent voir. Soit parce qu'ils ont réfléchi suffisamment longtemps pour y arriver, soit parce qu'on les y a initiés, bien nés qu'ils sont. »
À LIRE AUSSI

L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.
Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.
Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.
Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.