Le vocabulaire est important - les MAXins ne sont pas des vaccins !
TRIBUNE -
1. Lorsque le "Conseil Scientifique Indépendant" utilise à longueur d'antenne les termes "vaccins", "vaccinés" et "vaccination" pour désigner les injections d'ARN de Spike, il est clair qu'il part perdant. Car utiliser le vocabulaire que l'ennemi veut vous imposer, c'est perdre la première bataille, celle des mots, donc des concepts de base. Et il est ensuite très difficile de remonter le courant.
Il paraît donc très urgent de trouver un autre vocabulaire puis de s'y tenir fermement. L'expression "thérapie génique" est inexacte, puisque même si ce sera peut-être à terme un effet "secondaire", l'objectif n'est pas de reprogrammer une portion de génome de la personne piquée.
"Expérimentation génique" est plus exact mais peu parlant et en pratique trop long. Pour concurrencer "vaccin", il faut un mot bref, sonore et facile à comprendre. Et il ne faut pas avoir peur de créer des néologismes. Des ateliers de "remue-méninges" pourraient être utiles dans ce but.
2. En attendant, je voudrais proposer aujourd'hui le terme "MAXin" (et ses dérivés "MAXination" et personnes "MAXinées"), dont la définition est la suivante :
Un MAXin est un produit qui une fois injecté dans l'organisme, a pour effet :
non pas de générer une réaction immunitaire comme le ferait un simple antigène (une infection naturelle ou un vaccin composé d'un virus inactivé ou d'une protéine recombinante de ce virus) ;
mais d'amplifier, de maximiser une réaction immunitaire au moyen de "gains de fonction", tels que :
a) une protéine d'ancrage cellulaire améliorée, capable d'infecter un très grand nombre de cellules car adaptée à un récepteur très répandu : ici Spike, se liant au récepteur ACE2, de façon MAXimisée grâce à l'insertion d'un site de clivage furine entre ses deux sous-unités ;
b) et une prolifération du matériel antigénique une fois qu'il a pénétré les cellules : ici l'injection d'un ARN auto-réplicant, qui pour un même volume injecté, permet de MAXimiser la production de matériel antigénique en comparaison de ce que peut faire un vaccin (virus inactivé ou protéine recombinante).
3. En résumé, alors qu'un vaccin imite le processus immunitaire naturel (après avoir retiré l'effet pathogène du germe ou de la toxine), un MAXin l'amplifie considérablement (il faut demander aux spécialistes l'ordre de grandeur du facteur multiplicateur).
Comme diraient sans aucun doute les chantres du transhumanisme, le vaccin, c'est de la médecine de Papa, encore respectueuse des équilibres naturels, donc ringarde, dépassée, has been. Tandis que le MAXin, c'est de la biologie "augmentée", qui ne craint pas la démesure.
Et de la démesure, on va en avoir ! Les MAXins composés soit d'ARN de Spike enrobé dans des nanoparticules lipidiques, soit d'ADN inséré dans un adénovirus non réplicant puis transcrit en ARN de Spike, seraient paraît-il (à confirmer ou infirmer) associés à une ARN polymérase leur permettant de s'auto-répliquer dans la cellule transfectée.
Après cette auto-réplication de l'ARN puis sa traduction en protéine, quelqu'un peut-il nous dire quelle quantité de Spike est ensuite présentée à la surface des cellules colonisées par les MAXins et quelle quantité est déversée dans la circulation ?
Un simple vaccin (sauf vivant atténué qui s'emballe, comme celui de la poliomyélite utilisé par Kill Gates en Afrique) ne peut pas produire du matériel antigénique en quantité énorme, a fortiori incontrôlable. C'est une limite pour son efficacité, mais c'est aussi une sécurité.
A l'inverse, un MAXin produit de l'antigène en masse et sans aucun contrôle une fois le processus lancé.
4. Les premières conséquences sont l'action directe de Spike sur différentes cellules, telles que par exemple :
- sur les plaquettes (petites cellules sans noyau qui circulent dans le sang et servent aux premières étapes de la coagulation) : une stimulation de leur aggrégation engendre des thromboses (observées à la fois lors de l'infection naturelle à SARS-CoV-2 et après injection de MAXins de Spike, quelle que soit la technique d'administration, donc la marque du MAXin) ;
- sur les cellules du muscle cardiaque (myocarde) : les myocardites observées chez un certain nombre d'individus jeunes MAXinés sont-elles dûes à une agression par Spike ?
- sur les cellules cérébrales, puisque Spike traverse la barrière hémato-encéphalique : on la soupçonne d'avoir là une action proche de celle des prions (exemples : maladie de Creutzfeldt- Jakob, maladie de la vache folle), pouvant provoquer des troubles neurologiques ;
- sur les cellules ovariennes et testiculaires : avec quelles conséquences ultérieures sur la fertilité ?
5. Les effets immunologiques (recherchés) se produisent ensuite : rencontrant le système immunitaire, les antigènes Spike vont déclencher les deux branches de l'immunité acquise : les anticorps contre l'antigène circulant et les lymphocytes T contre les cellules transfectées.
Côté anticorps, que sait-on de la proportion des neutralisants (bienvenus) et des facilitants (nuisibles) ? Ces derniers s'accrochant d'un côté à la cible (ici Spike) et de l'autre à une cellule infectable, risquent de multiplier la contamination de nouvelles cellules. Avec quelles conséquences ?
Côté cytotoxicité, combien de cellules présentant Spike à leur surface risquent-elles d'être détruites (par lyse ou apoptose) ? Avec quelles conséquences ? On pense d'abord aux cellules qui tapissent l'intérieur des vaisseaux sanguins (endothélium), qui ont à leur surface de nombreux récepteurs ACE2, qui sont donc des cibles de choix pour les MAXins de Spike et vont par suite présenter à leur surface l'antigène Spike. Que se passe-t-il ensuite lorsque les lymphocytes tueurs reconnaissent cet intrus ? Des lésions à ce niveau favorisent-elles aussi la formation de caillots ?
D'autres pathologies ?
6. Enfin, la grande inconnue pour l'instant (mais pas pour longtemps car dans quatre mois, c'est l'automne) est la réaction immunitaire des personnes MAXinées lorsqu'elles rencontreront le ou les variants de la prochaine saison hivernale.
Dans son mémoire adressé au Conseil d'État le 28 mars 2021, en réponse à la requête d'un particulier demandant à être exonéré des restrictions de circulation au motif qu'il avait été MAXiné avec de l'ARN de Spike, le ministre français de la Santé à répondu ce que la Résistance dit depuis des mois mais que les médias mainstream (d'État ou de milliardaires) oublient facilement.
Il écrit en résumé :
- que les personnes MAXinées ne protègent pas les autres ;
- que pour elles-mêmes, les MAXins n'ont qu'une efficacité partielle et même en baisse (du fait de l'échappement immunitaire faisant suite à la sélection de variants résistants) ;
- et qu'au contraire, les personnes MAXinées sont les plus exposées aux formes graves et au décès en cas d’inefficacité initiale du MAXin ou de réinfection après MAXination.
Si l'on comprend bien Monsieur le ministre et si le nombre de MAXinés continue d'augmenter comme il le souhaite, on devrait s'attendre a priori, lors de la prochaine épidémie de l'automne- hiver 2021 -2022, à une hécatombe parmi les personnes MAXinées. Par quel mécanisme ? La sécrétion accélérée d'anticorps facilitants ? Une sécrétion massive de cytokines pro-inflammatoires ? Le tout mimant finalement une forme grave de COVID naturelle, qui elles sont rares et seulement sur les terrains les plus fragiles (grand âge, comorbités).
Devrons-nous un jour conclure que la MAXination avec des MAXins de Spike doit être considérée comme une comorbidité ? Comme un antécédent fragilisant en cas d'infection à SARS-CoV-2 ? Comme une pathologie plus grave encore que l'infection naturelle ?
Réponse attendue dans 6 mois. Si le pire prévisible se réalise, le gouvernement pourra se vanter d'avoir résolu plus tôt que prévu la question des retraites...
Conclusion :
On peut en tout cas craindre que, comme nous ont mis en garde les sages de toutes les civilisations, l'hubris, la démesure conduise l'Humanité à sa perte. Bien à l'opposé des modestes et modérés vaccins, les MAXins à ARN de Spike resteront peut-être dans l'Histoire comme un exemple magistral de la folie que Jupiter (le vrai...) envoie aux humains qu'il veut perdre.
Le vrai problème est que les gens ordinaires ne se rendent pas compte jusqu'où sont prêts à aller dans cette folie les psychopathes et sociopathes qui les dirigent. Que ceux-ci soient déguisés en politiciens mégalomanes qui rêvent de "réinitialiser" le monde, en bureaucrates disciplinés préoccupés de ce que les doses "arrivent à l'heure", indépendamment de ce qu'elles contiennent, en experts qui prétendent tout savoir et tout contrôler, et même hélas en... médecins.
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