Marc Zuckerberg - un virage à 180 degrés un peu tardif et un mea culpa encore moins convaincant.

Auteur(s)
Xavier Azalbert, France-Soir
Publié le 21 janvier 2025 - 16:16
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Mark Zuckerberg
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Meta, France-Soir
Marc Zuckerberg - un virage à 180 degrés un peu tardif et un mea culpa encore moins convaincant.
Meta, France-Soir

Ce 20 janvier 2025 dès sa prise de fonction à la Maison-Blanche comme 47ème président des Etats-Unis, Donald Trump a signé une ordonnance sur la liberté d'expression qui vise à empêcher l'interférence des agences fédérales dans la liberté d'expression - un des décrets les plus importants de la première journée de présidence de Trump.

Et, donc il n'est pas étonnant que certains hommes d'affaires aient fait leur coming-out politique quelques jours avant,. Ils devaient sentir le vent tourner. Ce fut le cas très remarqué de Mark Zuckerberg. De pro-Biden « à mort » qu'il était encore juste avant que ne tombassent les résultats définitifs de l'élection présidentielle américaine de 2024, il est subitement passé à un pro-Trump officiel « fanatique revendiqué » de la liberté d'expression.

En effet, dans une vidéo du 7 janvier 2025 postée sur un de ses réseaux (Facebook), et relayée par les deux autres (Instagram et Whatsapp), le patron de Meta a déclaré ceci :

« Il est temps de revenir à nos racines en matière de liberté d'expression. Nous remplaçons les vérificateurs de faits par des notes communautaires, simplifions nos politiques et nous concentrons sur la réduction des erreurs. Nous attendons avec impatience ce prochain chapitre. » (1)

C'est un virage à 180 degrés par rapport à la politique de censure qu'il a eue depuis la période covid. À savoir au principal concernant l'origine du virus, le port du masque, le confinement, l'obligation vaccinale, les effets secondaires du vaccin et les traitements alternatifs, concernant le réchauffement climatique et concernant la guerre en Ukraine, la politique de Meta ayant consisté à censurer systématiquement et immédiatement tout contenu (publications et commentaires) allant un tant soit peu ou davantage à l'encontre de la version officielle. La propagande étatique mondialisée.

Et, c'est pour tenter de justifier ce virage à 180 degrés que, dans cette même vidéo, Mark Zuckerberg s'est fendu d'un mea-culpa. Un mea-culpa succinct et tout sauf convaincant, que je vous ai retranscrit dans le paragraphe ci-dessous en italique en optant exprès pour un vocabulaire et une syntaxe infantiles.

Pourquoi ?

Parce que visiblement, c'est à des personnes d'un âge mental de neuf ans, dix ans grand maximum, que Mark Zuckerberg a fait le choix de s'adresser.

Et il a bien fait !

Seule une personne de cet âge mental-là peut croire à de telles balivernes, galéjades et billevesées. Se laisser berner par ce baratin de bas-étage et de bas niveau. Prendre ça pour un mea-culpa sincère, et dès lors accorder du crédit aux promesses qu'il a faites concomitamment :

« Ce n'est pas bien ce que j'ai fait. C'est pas gentil. Et en plus, je le savais que c'était pas bien. Mais ce n'est pas de ma faute. Non. C'est la faute au méchant Joe Biden : c'est lui qui m'a forcé.


D'abord il m'a trompé.
Si-si. Je me rappelle : c'était un jeudi.
Juste un peu avant le Big-Bang, il m'avait dit que, promis-craché-juré ! c'était vrai ce qu'il disait sur le covid, le réchauffement climatique, la guerre en Ukraine, et la mission Appolo. Et que tous ceux qui disaient le contraire sur Internet, c'était des complotistes. Des terroristes très très vilains, pires qu'Oussama Ben Laden et Georges W. Bush : La fine équipe du 11.
Mais en fait tout est faux ou presque. Même le Père-Noël. En vérité il n'a jamais habité en Laponie. J'ai vérifié sur Google.


Et quand j'ai compris qu'en réalité il m'avait menti, Joe Biden il m'a obligé à continuer à supprimer les publications qui disaient la vérité, et qui du coup disaient le contraire de ce que lui il dit.
Il m'a envoyé les tueurs à gages qu'on voit dans « Matrix », et celui qui a des lunettes de soleil noires fluo, il m'a dit que si je ne faisais pas exactement tout ce qu'il me disait de faire, il rajouterait mon nom sur la liste de Jeffrey Epstein et sur celle de Puff Daddy.


Voilà. Donc c'est comme je vous l'ai dit au début de la vidéo : c'est pas ma faute à moi.
Moi je suis un gentil. Je suis pour la liberté d'expression. Elle doit être totale, complètement totale. C'est marqué dans la Constitution. Et c'est pour ça que ceux qui veulent empêcher que la liberté d'expression, elle soit totale, il faut les empêcher de s'exprimer.


Et surtout, Donald Trump il est génial. Lui, tout ce qu'il dit, c'est vrai.
C'est le plus meilleur bon Président des États-Unis qu'on n'a jamais eu.
Plus mieux encore que Georges Washington et Benyamin Nétanyahou.
Et, d'ailleurs, je n'ai pas peur de le dire : j'ai voté pour lui en 2024.
La preuve ! J'ai donné un million de dollars pour sa cérémonie d'investiture.
Donc vous pouvez me croire quand je vous dis pareil que, promis-craché-juré, désormais c'est fini : plus jamais je ne censurerai les publications non-conformes à la réalité. Je supprimerai uniquement les publications qu'on me dira de supprimer, et seulement si cette fois je suis sûr et certain à 100 % que la C.I.A. et les services secrets américains ils disent la vérité vraie. À savoir comme ils l'ont fait avec les armes de destruction massive en Irak.


J'étais tout jeune à l'époque, mais je m'en souviens très bien.
Au fait. Vous avez vu comme je suis viril et sportif à donf maintenant ?
Ça c'est depuis que, grâce à Donald Trump et Robert Kennedy JR, et à mon grand ami Elon Musk, je sais que le wokisme c'est hasbeen.


Non parce que sur ça aussi il m'a menti, Joe Biden. Le LGBT++ c'est KK.
So, Make America great again ! Fight-Fight-Fight ! Et tous à fond vers le transhumanisme !
Et utilisez mes réseaux : Facebook, Messenger, Instagram et Whatsapp. Ça c'est le plus important.
N'utilisez pas Tik-Tok, Signal et Telegram : eux ils font que de la désinformation et de l'ingérence. »

 

Blague à part, vérifiez vous-mêmes : c'est fidèlement au possible que j'ai retranscrit ce qu'il a dit dans sa vidéo. Je n'ai fait que grossir le trait. Accentuer un peu le caractère infantile du vocabulaire et de la syntaxe que Mark Zuckerberg a utilisées.

Car comme vous, je m’interroge, nous prend-il vraiment pour des tarés ?

Et, question « foutage de gueule », là aussi, l'ami Zuckerberg s'est montré un grand Maître. En plus d'avouer le plus calmement du monde qu’il a eu tort de censurer les gens qui ne pensaient pas comme la Doxa, il a eu le culot d’admettre qu’il censurait sur Facebook, ce qu'il est autorisé de dire au Congrès américain. 

Et surtout, sa pleurniche insane d'auto-victimisation ne saurait en rien occulter le point que j'aborde maintenant.

En guise d'excuse au fait qu'il a porté atteinte, à une liberté d'expression qui, selon la Constitution américaine, 1ᵉʳ amendement (2), doit être totale, Mark Zuckerberg affirme qu'il a exécuté là l'ordre que « l'administration Biden » lui a donné de le faire.

Or, Mark Zuckerberg étant parfaitement au courant, évidemment, que la constitution américaine interdit noir sur blanc à quiconque d'entraver la liberté d'expression, nul ne peut valablement dénier qu'il a exécuté un ordre qu'il savait manifestement être illégal, complètement illégal, 100 % illégal, et que dès lors il s'est rendu coupable d'une infraction qui, aux États-Unis, est un crime fédéral.

Comme si cela ne suffisait pas déjà, en somme, à affirmer ouvertement qu'il se fiche de nous, voilà ce qu'il a fait aussi, Mark Zuckerberg, pour ajouter à la chose. Il a chargé son premier collaborateur, Joel Kaplan, directeur des affaires mondiales de Meta, d'aller faire ceci le lendemain. En direct sur « Fox News », première chaîne télé d'information américaine, Joel Kaplan a annoncé que les plateformes de Meta mettront fin à la censure « effective durant l’ère Joe Biden », et qu'elles s’allieront à Donald Trump pour défendre la liberté d’expression.

Il l'a fait en invoquant les cinq points suivants, cela en des termes que cette fois-ci, j'ai reproduits sans changer d'un pouce le vocabulaire et la syntaxe :

  1. Biais dans la vérification des faits : Kaplan a admis que les vérificateurs de faits avaient des penchants politiques, entraînant une application inégale des règles.
  2. Biais dans la vérification des faits : Kaplan a admis que les vérificateurs de faits avaient des penchants politiques, entraînant une application inégale des règles. Excès sur les sujets sensibles : les restrictions ont été trop loin sur des thèmes comme le genre LGBT, les débats trans et l’immigration.
  3. Norme de liberté d’expression : « Si vous pouvez le dire à la télévision ou au Congrès, vous devriez pouvoir le dire sur Facebook et Instagram. »
  4. Révision de la sur-application : Meta revoit ses règles pour éviter d’étouffer les débats.
  5. Valeurs fondamentales : Kaplan affirme que ce changement restaure la vision originale de Zuckerberg en faveur du débat ouvert et de la libre expression.

Faut-il pardonner à Mark Zuckerberg ? Et peut-on lui faire confiance ?

Pour la majorité, ce sera évidemment, non ! Ni pardon, ni oubli. Le prix payé a été excessivement élevé et je m’étais permis de réagir à la vidéo de Mark Zuckerberg le jour même en rappelant tout de même ce que j’avais écrit en aout 2024 suite à l’audition de Zuckerberg dans la commission d’enquête :

Et dès la parution de sa vidéo j’avais réagi en ces termes :

« Un vrai retournement de veste de Méta. Mais cela ne répond pas au mal qu'ils ont fait pendant les dernières années. Il faut que Meta aille bien plus loin avant que l on puisse considérer lui faire confiance.

  1. Délivrer la liste complète des officiels qui ont demandé la censure dans une forme de plaider coupable
  2. Contribuer une somme significative aux victimes de la désinformation. Combien de vies ont-ils brisées ? Ou combien de pertes de change ont-ils engendrées
  3. Ils ont changé d'avis une première fois et une seconde pourquoi pas une troisième. Il faut des engagements bien plus fermes que ces quelques paroles et des engagements durables dans le temps. Que vont dire les actionnaires et fond d'investissement de Meta qui ont financé la campagne de Biden Harris ? Il y a eu une politisation sur Facebook et méta et Zuckerberg était le premier a pousser le discours démocrate liberticide basé sur de la propagande mensongère. Zuck devrait démissionner pour avoir permis tout cela.
  4. Il parle des USA, mais quid des autres pays dans lesquels les baronnies Méta se sont alliés avec les pouvoirs liberticides.

Finalement, ce message ne ressemble pas à grand-chose si ce n'est la démonstration que la peur a changé de camps. Cela ne donne toujours pas les clés d une plateforme saine et responsable. Ce serait trop facile. »

 

Alors comment faire confiance à cet individu qui toute sa vie durant n'a fait que trahir, tromper et tricher, là non plus : que nenni !

Ce serait suicidaire, pire encore que de faire confiance à Manu Valls. Lui confier de nouveau les plus hautes fonctions politiques (ministre de l'Intérieur et Premier Ministre) alors qu'il n'a fait que trahir. Nuire aux intérêts de la France et des Français dans absolument tous les domaines. Nuire de la sorte aux intérêts de la France et des Français, c'est ce qu'a fait ensuite François Hollande, pareillement à tous les niveaux, de manière irréversible et d'une façon à ce point tellement préjudiciable pour le pays et ses habitants, que si Emmanuel Macron n'avait été en poste à l’Élysée que seulement un jour, il aurait pu paraître un bon président de la République... comparé à François Hollande.

Malheureusement, pour nous, il y est depuis deux mille huit cents sept fois plus longtemps.

Si ! Série en cours, hélas pendant encore 874 autres jours (sauf démission provoquée par exemple par Candice Owens), voilà 2 807 jours qu'Emmanuel Macron est président de la République.

Et, malheur ! Nul n'aurait pu croire cela possible tellement Hollande, Valls et Cie s'étaient montrés « brillant » dans cet exercice du pouvoir délibérément droit dans le mur, cependant « il » l'a fait : Emmanuel Macron a réussi à faire dix fois pire qu'eux. Cent fois pire. Mille fois pire, même.

Du coup, il y a de quoi être fortement inquiet pour l'avenir.

Pourquoi ?

Parce que, souvenez-vous. Par un exercice du pouvoir certes différent en la forme, mais similaire concernant sa finalité, le prédécesseur d'Emmanuel Macron à l’Élysée, François Hollande, « Flamby » (2) avait réussi cet exploit qu'on croyait à tort lui aussi impossible à réaliser à l'époque, de nous faire regretter son prédécesseur. Un Nicolas Sarkozy qui avec ce même exercice du pouvoir délibérément désastreux pour la France et les Français, avait fini par être détesté, maudit y compris par des sarkozystes pathologiques parmi les plus radicalisés. Et bien malgré le dégoût abyssal envers François Hollande, ressenti au terme de son mandat par une immense majorité des Français, Emmanuel Macron a donc réussi à nous faire regretter François Hollande. Nous le faire regretter dans ce domaine précis de l'exercice du pouvoir qu'Emmanuel Macron a eu de 2017 à 2024, et qu'il continue d'avoir en 2025, grâce à une Assemblée nationale qui ne censure pas un Gouvernement Bayrou qu'Emmanuel Macron a nommé pour poursuivre cette œuvre destructrice : une politique menée délibérément pour nuire aux intérêts de la France et des Français.

Dès lors, j'insiste, si l'on continue sur cette lancée totalement suicidaire, qui consiste à toujours élire président de la République, un des candidats tous traîtres aux intérêts de la France et des Français que le système des 500 parrainages et les médias mainstream nous imposent (3), le successeur d'Emmanuel Macron sera obligatoirement encore pire que lui.

Et pour en terminer avec cette volte-face subite de Mark Zuckerberg, je tiens à apporter mon soutien aux médias mainstream qui ont évoqué à cette occasion « un virage à 360 degrés. »

Raillés ils ont été, au regard du fait qu'opérer un virage à 360 degrés consiste à revenir à sa position de départ. Pour cette volte-face d'un Mark Zuckerberg qui a promis de ne plus entraver la liberté d'expression sur ses réseaux, certes, évoquer un virage à 360 degrés, c'est 180 degrés de trop.

Néanmoins, comme, « Criminel un jour, criminel toujours ! », on peut sans risque affirmer que dès que le vent de la propagande étatique US soufflera de nouveau dans le sens de la censure Mark Zuckerberg récidivera dans la consommation du crime fédéral qu'est, aux États-Unis, entraver la liberté d'expression, on peut dire qu'en évoquant un virage à 360 degrés au lieu de seulement 180, une fois n'est pas coutume ces médias mainstream se sont montrés visionnaires : ils ont donné là, sans le faire exprès, une information authentique... par anticipation.

La définition d'un média complotiste, étant de faire état publiquement des vérités que les médias mainstream affirment fallacieusement être de la désinformation, je trouve le paradoxe amusant. Avec la nouvelle ordonnance en faveur de la liberté d'expression gageons que Zuckerberg ne sera pas le seul à changer de camps ! La liberté d'expression ne devrait avoir aucune couleur politique sauf celle de ceux qui la défendent sincérement.

 

1) texte original de la vidéo de Mark Zuckerberg :

« It's time to get back to our roots around free expression. We're replacing fact checkers with Community Notes, simplifying our policies and focusing on reducing mistakes. Looking forward to this next chapter. »

 

2) texte traduit en français du premier amendement de la Constitution des États-Unis d'Amérique : « Le Congrès ne fera aucune loi qui touche l’établissement ou interdise le libre exercice d’une religion, ni qui restreigne la liberté de la parole ou de la presse, ou le droit qu’a le peuple de s’assembler paisiblement et d’adresser des pétitions au gouvernement pour la réparation des torts dont il a à se plaindre. »

3) comme tous les politiciens qui jouent aux nigauds, François Hollande a fait le choix stratégique de passer pour un imbécile, un incompétent. La version « mollusque » du benêt de service : « Flamby. » Un choix habile, car cela l'exonère d'avoir à justifier des choix qui, sauf à considérer qu'il s'agissait là de décisions stupides prises par un imbécile flatulent (un Président incompétent), l'évidence eût été trop manifeste, qu'en réalité c'était dans le but délibéré de nuire gravement aux intérêts de la France et des Français que François Hollande a pris ces décisions. Des décisions scélérates, comme Nicolas Sarkozy l'a fait avant lui, et comme, après lui, Emmanuel Macron continue de le faire. Et comme le fera le prochain président de la République, je le répète ici exprès, si nous persistons à élire un des candidats, tous issus du système, que les médias nous présentent comme étant ceux pour lesquels nous devons voter. Ou mieux ! Changeons complètement la donne. Changeons les conditions d'accessibilité à la fonction politique suprême. Celle dont tout le reste dépend : président de la République. Les conditions d'accessibilité actuelles en verrouillent l'accès. Elles le réservent aux candidats du système exclusivement. Alors étant donné que tous les problèmes de la France et des Français, et dont ils continuent de souffrir, ont été générés par la caste parasite des politiciens et hauts fonctionnaires (traîtres qui nous ont conduits sciemment à la catastrophe), remplaçons les conditions actuelles d'accès à la fonction suprême de président de la République,  par des impératifs et des interdictions qui garantissent ceci. Premièrement, que quiconque aura déjà exercé un mandat étatique (président de la République, membre du gouvernement, député, sénateur et député européen) ou un poste de haut-fonctionnaire avant que n'intervienne la fin de l'actuelle présidence d'Emmanuel Macron, ne puisse pas être candidat à la prochaine élection présidentielle, ni aux suivantes. Et, deuxièmement, qu'au lieu de devoir justifier, comme actuellement, des fameux 500 parrainages qu'il faut obtenir des 50.000 élus environ (4) qui peuvent les donner, un candidat doive justifier du soutien de 500.000 citoyens inscrits sur les listes électorales, soutien matérialisé par une pétition réunissant 500.000 signatures. Pourquoi 500 mille ? Pour respecter les proportions actuelles, et ainsi ne pas être taxé de proposer un système qui permettrait à « trop » de citoyens d'être candidats à l'élection présidentielle. En effet, l'exigence de 500.000 signatures est l'application faite aux 50 millions de Français, environ, inscrits sur les listes électorales (chiffres de juin 2024), du rapport de 1/100 obtenu en divisant par 50.000 par 500, à savoir le nombre d'élus qui peuvent donner les parrainages (dans le système actuel), divisé par le nombre de parrainages qu'il faut obtenir actuellement pour pouvoir être candidat à l'élection présidentielle.

4) les maires, les sénateurs, les députés, les conseillers départementaux, les conseillers régionaux, les conseillers de Paris et ceux de la métropole de Lyon, le Président du conseil exécutif de la Corse et celui de la Martinique, le Président de la Polynésie française et celui du Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie.

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