Ivermectine : une image vaut mille maux
EDITO - Le Dr Shouman en Egypte nous disait «vos pays n’acceptent pas nos études, mais qu’ils fassent les leurs, mais qu’ils les fassent !». De son coté, le Dr Babalola du Nigéria, expert de l’Ivermectine avec plus de 60000 patients qui l’ont utilisée sans problème expliquait que « Merck avait fait des pressions sur son gouvernement pour que les médecins n’utilisent pas l’ivermectine ». Le Pr Carvallo en Argentine commentait sur la performance de ce traitement dans les Etats qui avaient décidés de l’utiliser – « pour les autres Etats, il n’y avait pas assez à y gagner ». Puis ce fut au tour du Pr Omura, prix Nobel de médecine, de déclarer « ne pas accepter l’ivermectine ce serait comme rejeter la pénicilline en son temps .»
Après les médecins et chercheurs comme Peter McCullough, Pierre Kory, Paul Marik, Didier Raoult, Tess Lawrie, qui se sont illustrés pour faire accepter les traitements précoces et les artistes pour rouvrir les lieux de culture, les citoyens se sont illustrés sur les réseaux sociaux ou dans des regroupements associatifs afin de s’informer, de comprendre la situation.
Cette semaine l’OMS (l’Organisation mondiale de la santé) puis l’ANSM (Agence nationale de la sécurité du médicament) ont suivi les traces de l’Agence européenne des médicaments en décidant de ne pas recommander l’ivermectine comme traitement précoce contre la Covid-19. Ce n’était plus une surprise pour personne...
Hier c'était le Dr Gérard Maudrux qui enflammait la toile avec sa lettre au président, en lui suggérant une petite modification sur la recommandation de traitement
Aujourd’hui c’est un groupe de Sud-Africains, THJ-Africa.org.za qui a fait une animation musicale pour informer sur l’ivermectine avec le soutien du Dr Tess Lawrie.
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