Quel vaccin choisir ? Quand le prendre ? Quelle liberté de choix ?

Auteur(s)
Dr. Jean-Michel Dariosecq, pour FranceSoir
Publié le 05 août 2021 - 21:30
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Vaccins
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Plus d'embarras que de choix...
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TRIBUNE - Le Récit Officiel concernant l'infection à SARS-CoV-2 dit qu'elle provoque une maladie très mortelle pour tout le monde, qu'elle n'est pas traitable précocément mais seulement à l'hôpital après avoir attendu le stade des complications, et que seule une vaccination peut la prévenir.

La Réalité Observée depuis le début 2020 est à l'exact opposé :
- cette maladie n'a pas du tout modifié la mortalité globale des moins de 65 ans, malgré les efforts pour refuser les soins aux autres pathologies et pour augmenter les suicides au moyen d'une innovation de l'année, les confinements prolongés ;
- elle a peu augmenté la mortalité globale des plus de 65 ans malgré les efforts pour refuser le traitement précoce de l'infection et sa prophylaxie dans les EHPAD, refuser l'hospitalisation des plus âgés et encourager leur euthanasie, refuser les soins aux autres pathologies et favoriser le "syndrome de glissement" au moyen des confinements prolongés ; 
- il existe plusieurs traitements ambulatoires précoces, probabilistes anodins et peu chers, qui réduisent en quelques jours la charge virale (insensible à l'effet placebo), donc pour l'individu l'extension de l'infection, la réaction hyper-immunitaire, et pour la collectivité sa transmission ; 
- il existe des protocoles de suivi ambulatoire précoce des complications (hypoxie, inflammation, coagulation) permettant d'adapter rapidement les interventions qui peuvent s'avérer nécessaires (supplémentation en oxygène à domicile, anti-inflammatoires, anti-coagulants) ; 
- il existe des moyens simples et peu coûteux pour compenser les carences alimentaires affaiblissant le terrain immunitaire, ainsi qu'une chimioprophylaxie antivirale totalement anodine utilisable par les populations les plus fragiles et/ou les plus exposées ; 
- l'infection dans la population jeune en bonne santé est asymptomatique et apporte à tout le monde une immunité collective naturelle acquise, qui donne naturellement à l'épidémie son allure traditionnelle de courbe de Gompertz, et qui (sauf si l'on applique artificiellement une pression de sélection) dure au moins jusqu'à l'épidémie de l'hiver suivant.

Pourtant, nous ferons ici comme si cette Réalité Observée n'existait pas et que le Narratif Officiel était vrai, donc comme si une vaccination contre ce virus OGM breveté depuis des années était absolument nécessaire, non seulement pour les actionnaires des firmes pharmaceutiques mais aussi pour le bien-être des populations.

Se posent alors les questions de savoir quel type de vaccin utiliser et à quel moment, ainsi que celle du libre choix pour chaque individu de son type de vaccin et du moment de sa prise. Nous n'aborderons pas ici les arguments éthiques et juridiques (qui ont de toute façon été balayés par le pouvoir, le Code de Nüremberg étant désormais considéré comme obsolète) mais uniquement des arguments techniques et médicaux.

Le fait que les medias mainstream traitent d'"anti-vaxx" ceux qui exigent des vaccins de meilleure qualité que ceux proposés par les firmes pharmaceutiques avides de profits ultra-rapides, ne doit pas empêcher d'avoir une vision claire de la réalité concrète.

 

Première question : quand faut-il se faire vacciner contre le SARS-CoV-2 ?

Lorsqu'on a déjà été infecté par un SARS-CoV-2 entier (et même par d'autres coronavirus respiratoires), il n'y a pas de raison de penser a priori que son propre système immunitaire n'a pas bâti une réaction humorale (anticorps) et cellulaire efficace contre d'autres variants minimes (quelques changements d'acides aminés). Sauf peut-être en cas d'application d'une pression de sélection artificielle suffisamment forte pour modifier beaucoup la nouvelle souche dominante.
 En revanche, s'il y a bien une certitude en vaccinologie, c'est qu'il est contraire aux recommandations établies de faire une vaccination de masse en plein cours d'une épidémie, lorsque le virus se réplique activement dans la population (en l'occurrence au coeur d'un hiver). On exerce alors à coup sûr une pression de sélection qui, sur des virus comme ceux à ARN, qui mutent et se recombinent beaucoup, sélectionne immanquablement des variants échappant à la réaction immunitaire induite par le produit.
 Pourtant, cette loi élémentaire de biologie semble avoir été "oubliée". Les médecins qui incitent leurs patients à se faire vacciner en pleine période épidémique ont "oublié" soit leur cours d'infectiologie soit leur serment d'Hippocrate. Une capture des institutions qui s'apparente à une corruption par l'industrie pharmaceutique et/ou une pression exercée par la bureaucratie sanitaire (elle-même aimablement liée à l'industrie pharmaceutique) pourraient ne pas être étrangères à ces "oublis". Ce n'est pas à nous d'en juger mais il appartiendra peut-être un jour à un futur Tribunal de Nüremberg 2 de le faire.
 Quant aux politiciens qui appellent à une vaccination de masse en pleine épidémie tout en se prétendant "écologistes", ce sont au mieux des imposteurs, qui ne connaissent de l'écologie que les dizaines de milliers d'euros dont ils s'engraissent sur le dos des contribuables. 


Deuxième question : quels types de vaccins existent ?

Il existe en gros quatre grands types de produits susceptibles de provoquer une réaction immunitaire éventuellement capable de protéger contre une infection ultérieure. Le tableau ci-dessous les classe selon deux critères : le risque de réplication (qui conditionne celui d'effets indésirables incontrôlés) et le nombre de cibles présentées au système immunitaire (qui conditionne les chances d'efficacité).

1. Concernant l'efficacité

Il est assez intuitif que plus on présente de cibles différentes (nommées "épitopes") au système immunitaire, plus celui-ci a de chances d'être ensuite efficace pour neutraliser et détruire un futur agresseur. Pour utiliser une analogie, un carnivore qui ne saurait mordre sa proie qu'à un seul endroit (par exemple à la patte arrière) sera forcément moins efficace que celui qui sait aussi mordre au cou, à la patte avant, au ventre, au dos.

Quand on utilise comme vaccin un virus entier, inactivé [1] ou atténué [2], on présente au système immunitaire l'ensemble des protéines virales, qui constituent plusieurs cibles, ce qui multiplie les chances d'efficacité.

Quand on n'utilise qu'une seule protéine isolée [3] ou synthétisée après injection de son gène [4]), on réduit de fait la cible. Et si plus tard, du fait de mutations/recombinaisons, cette protéine n'est plus la même lors de l'épidémie suivante (ou après application d'une pression de sélection par une vaccination de masse en pleine période épidémique), ce vaccin n'aura servi à rien (sauf à enrichir la firme pharmaceutique, donc ses actionnaires et les décideurs qu'elle a corrompus).

Les anatoxines (toxines de micro-organismes inactivées, ayant perdu leur toxicité mais conservé leurs propriétés immunisantes) sont un cas particulier de cible unique : la toxine du germe qui est elle-même la cause de la pathogénicité. Elles sont très bien tolérées et efficaces quasiment à 100% (ex : tétanos, diphtérie). Il n'y a aucun doute à avoir sur leur utilité et même leur nécessité.

2. Concernant la sécurité

Il est également intuitif qu'un produit immunogène mais inerte, incapable de toute réplication incontrôlée une fois injecté, est plus sûr qu'un produit susceptible de se multiplier et de se diffuser aléatoirement ou en fonction d'affinités pour certains tissus.

a. Les vaccins incapables de se répliquer sont :
les virus ou bactéries inactivés [1], présentant de multiples cibles au système immunitaire (grippe, hépatite A, poliomyélite injectable, rage, choléra, leptospirose,...) ;les protéines isolées [3], présentant une cible unique (hépatite B, papillomavirus, méningocoques, pneumocoques, typhoïde, Haemophilus influenzae, coqueluche) ; les anatoxines (tétanos, diphtérie).

Ils permettent de contrôler les doses à administrer et de minimiser les effets indésirables, mais sont souvent associés à des produits pouvant eux-mêmes avoir des effets indésirables : "adjuvants" pour stimuler la réaction immunitaire (ex : aluminium), conservateurs (ex : mercure).

b. A l'inverse, d'autres produits immunogènes sont susceptibles de se multiplier de façon incontrôlable une fois injectés. C'est le cas bien connu des vaccins vivants atténués [2] (rougeole, oreillons, rubéole, rotavirus, variole, varicelle, fièvre jaune, polio oral, BCG), qui sont donc contre-indiqués chez les femmes enceintes et les personnes immunodéprimées. Et c'est aussi le cas des derniers-nés de la technologie [4], dont la première expérimentation (directement chez l'humain, sans essais préalables sur des modèles animaux) est en cours au niveau mondial : les injections du gène de la protéine Spike du Sars-CoV-2, sous forme soit d'ARN messager (inclus dans des nanoparticules de lipides), soit d'ADN (rétrotranscrit puis intégré dans le génome d'un adénovirus non pathogène chez l'humain).
 

Toute la propagande politico-médiatique actuelle repose sur quatre gros mensonges :

a. Le gène de la protéine Spike, dont plusieurs dizaines de milliards d'unités sont injectées dans le muscle de l'épaule, y resterait et ne se diffuserait pas ailleurs dans le corps.

C'est faux. Seuls 25% restent dans ce muscle, le reste se répand partout via les systèmes lymphatique et sanguin. Les études de pharmacocinétique qui ont fuité montrent ensuite une concentration dans certains organes (rate, reins, ovaires,...) dont on ne connaît évidemment pas encore les conséquences (en particulier sur la fertilité).

b. L'ARN est très fragile et serait rapidement détruit, donc il y en aurait peu.

C'est faux. S'il est effectivement instable quand il est nu, il est suffisamment protégé par sa capsule lipidique pour persister jusqu'à transfecter le maximum de cellules humaines. De plus, il est associé à un "complexe réplicase", c'est à dire le gène d'une enzyme qui va le démultiplier, le rendant "auto- répliquant", de telle sorte que sa production finale est bien supérieure à la quantité injectée.

c. la protéine Spike (que les cellules humaines vont ensuite produire grâce à son gène diffusé un peu partout) ne servirait qu'à stimuler le système immunitaire (principe d'un vaccin) et ne présenterait aucun danger par elle-même puisqu'elle n'est pas ici incluse dans un virus infectant.

C'est faux. Cette protéine est toxique par elle-même : présentée à la surface des cellules des parois des petits vaisseaux sanguins qui la produisent, elle signale une altération de cette paroi, ce qui peut déclencher une aggrégation des plaquettes, première étape de la formation d'un caillot sanguin, même très petit. Et ultérieurement, le système immunitaire pourra attaquer ces cellules considérées comme étrangères et ainsi aggraver les lésions vasculaires. On ne connaît évidemment pas encore les conséquences à moyen et long terme de ces micro-thromboses disséminées, en particulier dans le poumon (risque d'hypertension artérielle pulmonaire puis d'insuffisance cardiaque droite), dans le coeur (qui ne se régénère pas) et dans le cerveau. Il existe enfin une forte suspicion d'action directe (de type prion) de Spike sur les cellules cérébrales, pouvant déboucher à terme sur des pathologies neurodégénératives de type maladies d'Alzheimer ou de Parkinson. Ainsi, la réplication et la diffusion d'abord du gène puis de la protéine Spike elle-même sont incontrôlables, donc potentiellement sources de dangers.

d. La réaction immunitaire induite par la protéine Spike serait forcément protectrice.

C'est faux. Le phénomène des anticorps facilitants (Antibody Dependant Enhancement = aggravation de l'infection par les anticorps), qui consiste en ce que les anticorps produits (en réaction à une première infection ou à un "vaccin") ne neutralisent pas l'agresseur ultérieur mais au contraire l'arriment à des cellules qui vont le reproduire abondamment, est connu depuis des décennies. Il a été décrit lors de "vaccinations" contre le Virus respiratoire syncitial (VRS) et contre le virus de la dengue, est reconnu comme fréquent avec les coronavirus depuis 2009 et explique parfaitement les "épidémies post-vaccinales" de COVID observées dans tous les pays ayant atteint un fort taux de "vaccination" (Israël, Royaume-Uni mais aussi Seychelles, Gibraltar...). Tant qu'il s'agit de variants bénins, ce n'est pas très grave. Mais personne ne connaît l'issue de la rencontre de variants plus agressifs avec des anticorps facilitants induits par ces "vaccinations" massives.
 

Troisième question : quels vaccins choisir ?

En général :

D'après ce qui a été dit plus haut, le meilleur choix lorsqu'il est possible est celui des vaccins [1] : inactivés (sans risque de réplication incontrôlable) et composés de virus entiers (donc présentant plusieurs cibles-épitopes au système immunitaire).

Les produits [2] et [3] ont des avantages et des inconvénients : 
⋅ les virus atténués [2] présentent plusieurs cibles mais comportent un risque de réplication hors de contrôle, donc des contre-indications ;
⋅ les portions de virus [3] ne risquent pas de se répliquer mais ne présentent qu'une cible, qui risque de devenir obsolète après des mutations/recombinaisons.

Enfin, le choix [4] d'injecter le gène (acide nucléique) d'une seule protéine est à l'évidence le plus mauvais, puisqu'il combine l'inconvénient de la cible unique (une seule protéine) et d'une réplication et diffusion incontrôlées. Surtout quand on a choisi une protéine qui ne contribue pas seulement à la structure du virus mais qui a elle-même une activité biologique propre potentiellement délétère, même quand elle est toute seule. Et surtout quand on choisit de diffuser ce vaccin en pleine période épidémique, c'est-à-dire au meilleur moment pour sélectionner des variants échappant à l'immunité en construction.

Contre le Sars-CoV-2, les quatre types de vaccins sont envisageables :

Il est clairement plus rapide de développer le type [4] (gène d'une seule protéine), d'autant que les brevets correspondants ont été déposés depuis 2003 et leur mise au point lancée des mois avant la diffusion mondiale du virus ; mais à condition que l'immunité créée soit neutralisante (et non facilitante) et durable, ce que seul le temps (et non le nombre de personnes injectées) pourra montrer (la situation en Israël et au Royaume-Uni semble plutôt montrer le contraire).

Des vaccins de type virus entier inactivé [1] et protéine isolée [3] sont en cours de développement, mais cela prend plus de temps. Un vaccin vivant atténué [2] serait également une bonne idée, mais la Nature l'a eue avant nous : on observe en effet qu'à partir d'un virus OGM diffusé, son évolution naturelle (par mutations/recombinaisons) dans la population humaine se fait généralement vers une plus grande contagiosité et une moindre virulence (deux caractéristiques qui lui donnent un avantage compétitif sur un virus très tueur et peu contagieux).

Le variant delta, ou mieux l'un de ses successeurs, sera donc peut-être le vaccin vivant atténué idéal : cliniquement bénin chez quasiment 100% des gens (et non pas seulement 90% comme le premier Sars-CoV-2 diffusé) et poly-épitopique.

Mais pour la "Collusion Covid" (CoCo pour les intimes), qui réunit dans des intérêts convergents (donc sans nécessiter de réunions) l'industrie pharmaceutique, les politiciens, les medias mainstream, la bureaucratie sanitaire et la nomenklatura hospitalo-universitaire, un tel vaccin vivant atténué naturel aurait d'énormes inconvénients : il est gratuit, il n'offre guère d'occasions de publier, ni surtout d'imposer des mesures coercitives et de contrôle. Et pour la CoCo, c'est évidemment rédhibitoire !



Quatrième question : quelle stratégie globale ?

1) En médecine hippocratique, dont l'objectif prioritaire n'est pas l'innovation lucrative mais le soin utilisant tout ce qui est déjà disponible, la stratégie raisonnable contre le virus OGM Sars- CoV-2 comprend :

une prévention des carences alimentaires en facteurs immunostimulants, par des recommandations de supplémentations (jusqu'à l'adjonction de vitamine D3 dans des aliments industriels, comme cela se pratique dans les pays à faible exposition solaire) ; une prise en charge médicale rapide, dès les premiers symptômes, par les médecins de première ligne (généralistes) habitués à cette symptomatologie et dont il faut garantir la liberté de prescrire (y compris hors AMM, comme cela se pratique couramment) ; des Traitements Ambulatoires Précoces Probabilistes (TAPP) de quelques jours, utilisant des médicaments éprouvés, dont les posologies, contre-indications et précautions d'emploi sont archi-connues des généralistes ; des protocoles de suivi ambulatoire à domicile afin de surveiller l'émergence de complications (hypoxie, inflammation, coagulation) et d'intervenir rapidement avant leur aggravation ; l'isolement à domicile des malades (réaction spontanée) et au contraire l'évitement des mesures policières (masques, couvre-feux, confinements), écartées depuis des siècles parce que nuisibles à la santé psychique, sociale et économique et risquant de limiter (heureusement peu) la circulation du virus parmi la population jeune en bonne santé, donc la construction de l'Immunité Collective Naturelle (ICN) ; une prophylaxie spécifique (ivermectine en 1 prise orale par mois), par exemple du 1er octobre au 1er mai, pour les personnes les plus fragiles (très âgées), les plus malades (diabétiques, obèses, cancéreux, immuno-déprimés) et les plus carencées ; et éventuellement, sur la base du volontariat, pour les personnels soignants en contact avec ces malades ; une vaccination également volontaire, pour des populations très ciblées, effectuée en-dehors de toute période épidémique, avec des vaccins à virus inactivés (sans risques), entiers (poly-épitopiques) et même multi-souches (comme pour la grippe) ; le rapport coût/bénéfice de cette intervention devra être comparé à celui de la précédente (chimioprophylaxie hivernale).
 

2) En "start-up nation", dont l'objectif prioritaire n'est pas le soin mais l'innovation lucrative, la stratégie est exactement inverse :

ne surtout pas parler de prévention par renforcement du terrain ni a fortiori de chimioprophylaxie ; retarder la prise en charge en ordonnant aux personnes symptomatiques d'attendre le stade des complications, justifiant alors un recours hospitalier ; interdire les Traitements Ambulatoires Précoces Probabilistes et restreindre la liberté de prescription des médecins par des menaces administratives ; imposer dans l'urgence des essais thérapeutiques contre placebo (et non contre médicaments éprouvés) pour valoriser des molécules nouvelles (donc très lucratives) potentiellement inefficaces et toxiques ; imposer des mesures policières nuisibles pour la santé psychique, sociale et économique et risquant de freiner la construction de l'Immunité Collective Naturelle (ICN) ; imposer dans l'urgence et EN COURS d'épidémie le plus mauvais choix vaccinal possible : le gène à prolifération incontrôlée d'une seule protéine, qu'on sait (depuis le début de la diffusion du virus) capable de variations (donc d'échappement immunitaire) et douée de propriétés toxiques potentielles dans l'ensemble de la micro-circulation.
 

Ces deux stratégies, aux objectifs diamétralement opposés, sont toutes deux parfaitement cohérentes. La seule chose qui est stupéfiante est le rejet de la première et l'acceptation de la seconde par la majorité de la population française.


Conclusion

L'Opération Covid aura révélé l'infection de la société française par trois virus mortels pour un pays :

Au sommet : le virus de la corruption, ou plus justement de la complicité et de la collusion de classe entre tous les pouvoirs : financier, industriel, politique, médiatique, administratif, technique (ici médical). Or, une société est vivable non pas lorsque ces pouvoirs disparaissent mais lorsqu'ils se contre-balancent les uns les autres. Quand au contraire ils sont tous "en marche" main dans la main dans la même direction, qu'ils ont tous le même "projet", alors le système est devenu totalitaire.

Au milieu : le virus de la rigidité bureaucratique, pour qui la seule préoccupation est que les flacons (comme les trains il y a 80 ans) "arrivent à l'heure", en aucun cas ce qu'ils contiennent. Des exécutants disciplinés, dotés d'une seule moelle épinière pour appliquer les ordres sont aussi le signe d'une société totalitaire.

En bas : le virus de la soumission à l'autorité qui est, on le sait, endémique mais qui infecte auourd'hui la société française, notamment ses jeunes adultes (pourtant non concernés par l'infection à Sars-CoV-2) jusqu'au stade inquiétant du suicide collectif.

Heureusement, il reste des esprits sains, qui se retrouvent poussés à devenir Résistants dans une "guerre" qu'ils n'ont pas voulue. De nouveaux pacifistes bienveillants disent qu'ils ne veulent pas cette guerre et préfèrent écouter sans violence les angoisses (psychiques, sanitaires, sociales, économiques) de la masse torturée. Ils pourraient se souvenir que lorsqu'il a eu une certaine audience, Jaurès a été assassiné.

Une résistance existe au projet covidiste dément, diffuse, dans différentes strates de la société, mais elle manque pour l'instant de "leadership" : les grandes gueules de la société civile sont sympathiques, dévouées pour ouvrir des yeux de leurs concitoyens, mais incompétentes en matière de conduite de la guerre ; les politiciens des oppositions contrôlées, sans doute après avoir compris l'ampleur du projet totalitaire, se sont couchés en choeur et ont symboliquement voté les pleins pouvoirs au petit maréchal en réclamant davantage de mesures coercitives puis davantage de vaccins géniques ; et ceux de l'opposition marginale n'ont pas la carrure nécessaire (n'est pas de Gaulle celui qui le cite à répétition...).

Il faudra donc encore que Spike, la nouvelle grande faucheuse, fasse beaucoup de nouveaux morts, de nouveaux malades, de nouveaux handicapés pour que la masse commence à se poser la question sérieuse : est-ce par amour que le berger dit qu'il veut nous protéger de force ? Ou bien parce qu'il aurait des accointances avec un boucher ?

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