Covid-19, prétexte pour mener une guerre psychologique mondiale contre les peuples

Auteur(s)
Francis Cance, pour France Soir
Publié le 11 juin 2021 - 13:00
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L'emprise du masque
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Pixabay
"Osez jeter vos peurs au feu et soyez libres et souverains dans vos vies."
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Cette fois il ne s'agit pas de la redoutée guerre atomique, ni d'une guerre bactériologique qui n'a pas, à ce jour, produit de grandes dévastations. Il s'agit d'une guerre bien plus insidieuse et perverse, parce que sa cible est ce qui constitue l'essence même d'un être humain. Je veux parler de sa psyché ou de son âme, et il s'agit donc d'une guerre psychologique.

Le premier constat qui m’a stupéfait est qu'à aucun moment, depuis le début de cette pseudo-pandémie virale, il n'a été évoqué que la causalité de ce phénomène pourrait être imputée à autre chose qu'à un virus. D'une voix univoque et sans l'ombre d'un doute ou la pertinence d'un questionnement, scientifiques, chercheurs, politiques, journalistes, relayés par la redondance assourdissante des grands médias, papier ou numérique, ont clamé à l'unisson un coronavirus coupable. À la gloire de la médecine fondée sur les principes tronqués des conclusions d'un certain Louis Pasteur, l'ennemi ne pouvait être que le virus pathogène… Tout le reste n'étant que littérature ou déni.
 
Mais qu’est ce qui justifie et motive l’intervention d’un virus ou d’une bactérie dans un organisme, sinon que celui-ci est dégradé, détérioré par une souffrance dont la souffrance morale qui est la plus répandue chez les êtres humains. Et la souffrance morale, les troubles psychiques nous n’en avons pas manqué depuis l’annonce de la pandémie par l’OMS. Antoine Béchamp s’opposait à Pasteur en disant : « Il faut qu’un organisme soit malade pour qu’un microbe s’y crée et s’y multiplie » et pas l’inverse.
 
Cependant et comme par enchantement, tout questionnement était jugé impertinent, et tous les médias, y compris ceux du Web et des Gafams ont censuré systématiquement les propos de toutes celles et ceux qui émettaient un doute sur la version officielle de cette "pandémie". Toutefois ce qui était remis en question, était rarement sinon jamais la causalité de celle-ci. Par ordre de profondeur des remises en cause vient en surface les moyens limités des soignants pour vaincre ce terrible ennemi viral, revendiqué par les soignants eux-mêmes et les politiques. Puis viennent les questions sur l'origine du virus, naturel ou fabriqué, que se posent des généticiens et autres spécialistes, d'autres questions surgissent concernant la propagation du virus, sa contagion... Des discussions apparaissent sur la réalité d'une deuxième vague que conteste bon nombre de médecins de différentes spécialités, plus près de mon propos d'aujourd'hui viennent des questions concernant la gestion ou les stratégies des comités de santé et des gouvernements, confinement, distanciation, gestes barrières, port du masque obligatoire, tests, traçage, utilisation d'applications numériques…
 
Enfin et au plus près de mon propos d'aujourd'hui les conséquences de toutes ces mesures sur la santé des populations. Et c'est à partir de ces derniers questionnement et constats relevés par de nombreux praticiens de santé que je vais tenter de remettre les choses dans l'ordre. Je pars donc de ce constat pour soumettre à votre intelligence que ces effets relevés par des médecins ne sont pas des conséquences ou des dommages collatéraux des mesures prises en réponse à cette pseudo pandémie mais les véritables causes, des maladies et des décès qui sont imputées à cette dernière.
De nombreux psychiatres et psychologues ont pu vérifier les effets délétères de ces mesures sur les personnes les plus vulnérables, surtout le confinement, la distanciation, les gestes barrières et le port du masque. Bien sûr ils en notent surtout des impacts sur la santé psychique, c'est leur spécialité. Pourtant il devrait être notoire aujourd'hui qu'une bonne compréhension de la maladie et de la médecine ne devrait pas séparer la santé psychique de la santé biologique. Les stress continus, l'anxiété, l'angoisse, les peurs, la confusion mentale, en bref tous les chocs traumatiques soudains ou durables, s'ils ne sont pas pris en compte dans une approche psychologique, deviennent la plupart du temps somatiques et résultent en maladies organiques.
 
Or la grande majorité des humains d'aujourd'hui vit dans une temporalité de plus en plus en plus accélérée, une accumulation de stress et de conflits psychiques qu'ils n'ont plus guère le temps de résoudre, ce que permettait une temporalité plus lente. D'où il résulte une augmentation des somatisations et donc des maladies dans le monde humain. Ces considérations posées, et à partir de celles-ci, reprenons l'histoire de la pseudo pandémie de la covid19.
 
Considérant l'évènement de la grippe saisonnière qui affecte les populations du monde tous les ans à la même période, je ne dirais pas ici pourquoi mais ultérieurement, ce nouveau coronavirus, puisqu'il mute tous les ans, a bénéficié d'un colossal coup de projecteur, comme une star sur la scène, en mondovision, dès que l'organisation mondiale de la santé a décrété la pandémie. Toutes les attentions se sont inévitablement portées sur l’événement annoncé, tant il est difficile de ne pas être focalisé sur la star mise en scène quand elle est seule sous les feux des projecteurs et que le public demeure dans l'ombre.
 
Dès lors, l’événement est devenu la propriété d'une population de gens censées détenir le savoir pour les uns, le pouvoir pour d'autres et à toute fin instrumentalisable. A cet instant de mon propos il est encore difficile de retenir la saisie d'une opportunité, ou une réelle intention, une préméditation dans l'instrumentalisation qui a été faite de cette épidémie de grippe. Je vous laisse en juger en écoutant la suite. Dès lors donc, et dès ce moment, une multitude de décisions sont prises par les gouvernements et leur conseils scientifiques... Vous les connaissez toutes puisque vous les avez subies. Pour rappel, au moment de la déclaration de pandémie par l'OMS rien de plus qu'un début d'épidémie, ne se produisait. Mais le mot pandémie est si lourd de gravité qu'il a suffi à lui seul à créer une sourde inquiétude chez les soignants, aux premières loges, et chez les personnes psychologiquement vulnérables. Cette inquiétude s'est rapidement transformée en vent de panique selon les lieux et les circonstances.
 
Lorsque j'affirmais, dès le début du mois de mars que le virus n'était pas le coupable, dans les pas du biologiste et chimiste Antoine Béchamp, et du docteur Geerd Hamer, je n'avais alors qu'une intuition de qui il pouvait être. Mais dans toute enquête policière sur une mort suspecte ; cherchant à en découvrir le responsable, viennent toujours les questions du mobile et de savoir à qui profite le crime... Je me suis posé la même question et vous le savez peut-être déjà, les principaux bénéficiaires et gagnants de cette “pseudo pandémie” sont les plus puissants financièrement, de même que les gouvernements dont les pouvoirs discrétionnaires et de contrôle se sont considérablement augmentés, en réduisant de manière drastique l'exercice de la liberté des populations. Cependant une compétition effrénée se joue entre les plus puissants laboratoires pharmaceutiques pour gagner le jackpot du vaccin pour une clientèle de 7 milliards de consommateurs.
 
Depuis je n'ai plus eu qu'à observer jour après jour, semaine après semaine, mois après mois, les stratégies mises en œuvre pour la réalisation du crime. Voici le fruit de mes observations qui constitue le mobile à l'origine de mon propos. Quant au profit, je souhaite qu'il bénéficie au plus grand nombre pour qu'enfin cesse ce qui pourrait être un crime contre l'humanité.
 
Voici donc ce qui a été mis en œuvre par les donneurs d'ordre pour mener à bien (je devrais dire à mal) cette guerre annoncée par le chef de l'état non contre un virus mais contre le peuple d'un pays et le pays lui-même, en créant toutes les conditions pathogéniques de la maladie et de la mort.
 
La distanciation et les gestes barrières : génèrent des conflits psychiques de séparation, d'isolement contraint, ou d'abandon selon les sensibilités. Ils peuvent se manifester dans la biologie par des maladies de l'épiderme, eczéma, psoriasis, ou par une augmentation de l'obésité.
 
Le confinement : génèrent des conflits psychiques de menace dans le territoire aérien, des situations de disputes, d'étouffement, d'isolement et se manifestent en biologie par une affection des bronches, plus précisément une ulcération de l’épithélium de la muqueuse des bronches.
 
Le port du masque obligatoire : Correspond à une uniformisation, une réduction de l'identité, un déni de personnalité et d'originalité et se manifeste par un état dépressif induit par ce sentiment de dépréciation. Plus, il crée une gêne respiratoire, diminue l'apport d'oxygène, augmente la captation de co2 et des micro-organismes évacués en expirant et fragilise le système immunitaire.
 
La surmédiatisation de la pandémie qui maintient un climat quotidiennement anxiogène avec pour conséquences une multitude de peurs, des états de confusion qui, s'ils ne sont pas exprimés et solutionnés psychiquement, donnent lieu à une grande variété de somatisations et de maladies selon la sensibilité propre à chaque personne
 
L'annonce elle aussi surmédiatisée des soi-disant conséquences catastrophiques de la pandémie génèrent un sentiment paranoïaque ou des comportements phobiques, contre un ennemi qui peut surprendre à tout moment.
Les menaces et les pertes réelles d’emploi ou les faillites d’entreprises qui créent d’énormes stress de perte dont la somatisation entraine des maladies cardio-vasculaires.
 
La peur de mourir pour ceux qui sont porteurs du virus (testés positifs) ou malades, parce que c'est ce qu'on leur dit, affecte les voies respiratoires profondes que sont les alvéoles pulmonaires, dont la fonction est, entre autres de capter l'oxygène, ce sont ces personnes qu'on retrouve en détresse respiratoire et qu'on met sous respirateur.
 
Et ce ne sont là que quelques causes et leurs conséquences parmi les plus remarquables, mais il en existe d'autres, bien plus insidieuses et peut être plus profondément dommageables :
 
Le sentiment de culpabilité essaimé à tout vent par les gouvernements et les médias pour stigmatiser celles et ceux qui ne se plient pas aux ordres. Dont un des pires moments est cette vidéo de cette famille heureuse autour de son aïeule et dont les baisers de tendresse et d'affection vont la conduire sur son lit de mort. Difficile d'imaginer plus grande violence que de transformer un geste d'amour en faux de la mort. Commencez-vous à vous interroger sur les intentions d'un tel gouvernement ?
 
La pratique du discours paradoxal que l'on perçoit dans la violence de cette guerre sinon douce mais doucereuse comme le sont les intonations du chef de l'état alternant fausse compassion et fermeté menaçante… Comme le sont la plupart des injonctions provenant de ce même gouvernement : “Si vous aimez vos proches, restez éloignés” “Les gestes barrières pour se protéger les uns des autres”, lapsus du chef de l'état ou message subliminal ? Au lieu de dire “les uns les autres” ... Et encore “soyez solidaires, ne vous rencontrez pas” et tant d'autres mots qui créent une véritable dissociation cognitive, empêchant tout esprit non entraîné à l'analyse critique dans un état de grande confusion.
 
Il est une autre stratégie qui consiste à faire appel aux sentiments les plus nobles des personnes pour acquérir leur consentement : Comment ne pas répondre positivement à des appels à la protection d'autrui, des êtres chers, des plus faibles. Si l'appel émane d'une personne honnête avec une bonne intention, y répondre est peut-être salutaire, mais si ce n'est pas le cas, y répondre risque d'être catastrophique. On joue à quitte ou double ? Cela s'appelle la fabrique du consentement dont nous parle Noam Chomsky et fonctionne souvent en binôme avec la stratégie du choc, si bien décrite par Naomi Klein. Créer le chaos pour imposer la solution du rétablissement de l'ordre. C'est exactement ce à quoi nous assistons aujourd'hui.
 
Même si certains hommes politiques n'ont pas la langue de bois quand ils s'expriment, ils doivent avoir quand même un peu de sciure sur la langue en dénonçant un régime autoritaire... Il ne serait pas impudent aujourd'hui de dénoncer haut et fort un régime qui prépare le totalitarisme ou une dictature. Opération réussie pour l'heure : des clivages se sont figés dans le corps social entre les pro et les anti masques, entre les pro et anti confinement entre les irresponsables pro et anti... Des guerres il y en a entre des amis, dans des familles et tout cela est extrêmement pathogène… Alors oui la deuxième vague appelée de tous leurs voeux par les gouvernements et les comités scientifiques est bien là, mais elle n'a rien à voir avec un virus sinon sa détection douteuse par un test aux performances tout aussi douteuses. La deuxième vague est bien là, créée de toutes pièces par les mesures pathogènes que ces gens ont imposées aux populations. La constante et déroutante variété des symptômes et des maladies qu'observent les soignants n'a pas fini de les surprendre parce que chacun interprète selon sa sensibilité et sa fragilité propre les fracas de ce chaos.
 
Que faire ? Quelles solutions ? Voici d’abord des solutions pragmatiques qui m’apparaissent à cet instant. Cesser immédiatement de parler de pandémie, laisser l'ordre des choses tel qu'il était l'instant d'avant se rétablir de lui-même, et très vite repenser la santé et la maladie autrement. Restituer au corps social sa capacité à s’autogérer et à s'autoréguler et surtout réinventer notre rapport au monde sur la base que la compétition n'est qu'un aspect d'une réalité plus grande qui s'appelle, comme l'ont justement nommé Pablo Servigne et Gauthier Chapelle ; L'entraide. C'est aussi ce à quoi participent les virus et les bactéries.
 
D’autres solutions plus utopiques ont ma préférence : libérez les gens de toutes contraintes, organisez des fêtes. Proclamez la joie comme traitement et essaimez-la par tous les moyens. Permettez à chacune et chacun de vivre selon son propre sentiment de dignité…Et en peu de temps nous ne manquerons plus de lits dans les hôpitaux.
 
Nous avons depuis si longtemps, modélisé nos comportements et nos sociétés, sur une interprétation erronée de ce que nous avons observé dans la nature : la loi du plus fort dont est issue l’esprit de compétition n’existe pas dans la nature, sauf à servir un équilibre à chacune et chacun nécessaire. Aussi afin d’établir une paix durable, il est urgent de la rétablir entre nous et avec tous les acteurs de la vie végétale, animale et microbienne. La mise en joie de la vie est à ce prix.
 
Sinon les plus forts qui tiennent tant à cet ordre des choses erroné vont faire de ce monde un enfer pour esclaves. Osez jeter vos peurs au feu et soyez libres et souverains dans vos vies.
 
Francis Cance est psychologue clinicien.
 

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