Alerte sur les données VAERS : "67% des décès enregistrés arrivent dans les 21 jours après l'injection"
Erratum le 18 août 2021
Comme l'ont souligné certains lecteurs attentifs, une erreur s’est grevée dans la présentation - le patient de 23 ans atteint de myocardite n'est pas décédé. Ceci était pris comme exemple.
Ceci ne change strictement rien aux proportions ni aux conclusions en terme de délai de survenue des événements.
Nous remercions les lecteurs ainsi que tous ceux qui se sont portés volontaires pour valider les énormes listings de recodage des données.
Analyse exclusive : la biostasticienne Christine Cotton, forte de 23 ans d'expérience, revient pour un nouveau debriefing, après nous avoir fourni son expertise des résultats des essais des quatre vaccins il y a quatre mois. Elle a fait une analyse complète des données de pharmacovigilance américaine, seule base de données disponible en téléchargement. Plus de 400 000 lignes de données analysées depuis les trois derniers mois, représentant des centaines d’heures de travail bénévole. Christine Cotton est indépendante et sans lien avec l’industrie pharmaceutique.
Son analyse est faite pour apporter un éclairage aux lecteurs et auditeurs dans le plus grand nombre. Elle porte sur tous les effets indésirables graves : mycoardites, effets sur les femmes enceintes, sur les jeunes. Les chiffres sont édifiants, car beaucoup des évènements se passent dans un laps de temps de moins de 21 jours après la vaccination, dont les deux tiers des décès.
Elle déplore que l’Agence nationale de sécurité du médicament ne communique pas ou ne fasse pas cette analyse importante, alors que le gouvernement est engagé dans une campagne massive d’injection avec des thérapies toujours en phase d’essai clinique avec des autorisations temporaires de mise sur le marché.
Son message fort peut se résumer dans ce graphique ou l’on voir que 28% des décès enregistrés ont lieu dans les trois jours suivant l’injection, 40% dans les sept jours et 67% dans les 21 jours.
Christine Cotton a donc des questions pour nos autorités : elle demande l’accès à l’information, aux données brutes, ainsi que d’en faire l’analyse médicale pour les « évènements reliés » - elle déplore que cette fameuse causalité soit balayée d’un revers de la main sans analyse spécifique.
Christine Cotton a aussi analysé les données sur les femmes enceintes et le problème est similaire.
Ce travail colossal a requis un nettoyage - la base de données n’est pas renseignée de manière harmonieuse et homogène. Elle s’est appuyée sur son expérience ainsi que celle de médecins dans la reclassification des données quand c'était nécessaire. Cela représente quelque 9% des données qui ont dû être supprimées, car elles présentaient un caractère incomplet ou incohérent.
Télécharger la présentation en PDF.
Les tableaux Excel sont téléchargeables ici.
Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org
ndlr : Certaines références de Mme Cotton
https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT02116010
https://www.defense.gouv.fr/sante/actualites/phagoburn-des-virus-pour-traiter-des-infections-bacteriennes
https://www.lemonde.fr/sciences/article/2014/01/06/les-espoirs-de-la-phagotherapie_4343570_1650684.html
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