"Tout miser sur la stratégie vaccinale est un non-sens" Dr Gérard Guillaume

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FranceSoir
Publié le 20 juillet 2021 - 15:02
Mis à jour le 19 juillet 2021 - 14:03
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Gérard Guillaume
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Dr Gérard Guillaume : l'entretien essentiel
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Le docteur Gérard Guillaume est notre invité pour un entretien essentiel. Cinquante ans de pratique de la médecine, dont de nombreuses années dans le sport de haut niveau - il a été durant 17 ans le médecin de l'équipe cycliste "la Française des jeux", une expérience de terrain - et même personnelle, puisqu'il a contracté la maladie - du covid, ont conduit le rhumatologue à ces conclusions : "il existe des traitements, préventif et curatif, de la Covid-19, contrairement à ce qu'affirme le gouvernement. Tout miser sur la stratégie vaccinale est un non-sens."



Récapitulatif des propos du Dr Guillaume :

Si cette politique avait été appliquée contre le SIDA, les malades continueraient de mourir en masse, or ils vivent grâce au traitement à la trithérapie.

Les traitements, préventif et curatif, de la covid existent, ils sont mis en œuvre dans de nombreux pays : Argentine, Mexique, Egypte, Inde, Bengladesh, Grèce, Slovaquie, Iran, Tchèquie, Portugal ( la liste est loin d’être exhaustive). Ces traitements ont donné lieu à des évaluations et des études randomisées qui ont confirmé leur efficacité.

Mais ces évaluations, aux yeux de la communauté scientifique occidentale, sont peu crédibles. Nous assistons là à une discrimination scientifique, un véritable racisme scientifique, qui ne grandit pas leurs auteurs

Quels sont-ils :
- le premier en date, l’hydroxychloroquine, défendu par le Pr Didier Raoult à la suite des bons résultats chinois qui a fait l’objet de nombreuses critiques, y compris une publication frauduleuse par The Lancet du 22 mai 2020, à l’origine du retrait de la prescription en France pendant plusieurs mois ;
associé ou non à des antibiotiques, de la famille des macrolides, Azythromycine, Doxycycline, Clarythromycine,
complémenté par de la vitamine D, de la vitamine C, du Zinc, et selon les cas de la Quercétine, de la Lysine, du Glutathion, de la propolis.

- l’ivermectine, un antiparasitaire destiné à lutter en Afrique contre la cécité des rivières et la gale en Europe. Déclaré comme médicament essentiel par l’OMS et dénué d’effets secondaires. Médicament qui possède des propriétés antivirales et empêche le covid de se reproduire.

A donné lieu à de nombreuses études randomisées, des méta-analyses, qui démontrent l’efficacité tant en prévention qu’en traitement curatif avec réduction du risque de décès de plus de 57% (Tess Lawrie)

- les anti-paludéens, armoise-artemisia annua, bleu de méthylène

- les huiles essentielles : tea tree, ravensara, nigelle

- les anti-histaminiques : anti-cetirizine, anti leukotriènes - Montelukast

- la colchicine, évaluée par l’institut de cardiologie de Montréal (Colcorona)

- la suramine : molécule dérivée du bleu tryptan, indiquée dans la trypanosomiase, inhibitrice de la transcriptase et donc de la réplication virale (tisane ou HE d’aiguilles de pin sylvestre)

Antidépresseurs : effet protecteur contre les formes graves de la Covid-19 semble significatif pour différents antidépresseurs :

paroxétine - Deroxat ; escitalopram -Séroplex - venlafaxine – Effexor ; mirtazapine-Norset

Des plantes de la MTC : astragale, glycyrrhiza, atractylodes, saposhnikovia, scutellaria etc. 

L’AVIGAN au Japon ( molécule non autorisée en Europe) 

l’homéopathie, notamment pour encadrer la vaccination

l'activité physique : un paradoxe quand on confine les gens et leur interdit l’accès aux salles de sport, la sédentarité augmente le risque d’hospitalisation par 2,3 ; de se retrouver en réanimation par 1,7 ; de décès par 2,5 (British Journal of Sport Medicine 14/4/21)

Pourquoi un tel déni ? Parce que l’État a tout misé sur la vaccination

Si la recherche de vaccins se justifie, leur mise sur le marché a été très (trop) rapide, la phase 3 d’évaluation se terminant en 2022 (Pfizer) et 2023 (Moderna), l’évaluation des effets indésirables possibles à moyen et long terme étant totalement occultée.

On manque de prudence avec les vaccins de nouvelle génération : à l’incertitude d’un virus qu’on connaît mal on ajoute une incertitude de technologies vaccinales.
Les vaccins n’ont bénéficié que d’une AMM conditionnelle que justifient, l’urgence de la situation, la mortalité de la maladie, qui est discutable et surtout l’absence de traitement alléguée par les autorités sanitaires.

Ce qui en clair signifie que si un traitement était validé, l’AMM conditionnelle des vaccins tomberait et la vaccination devrait être interrompue ! Il est très curieux de constater que les exigences d’évaluation de l’hydroxychloroquine, médicament connu depuis des décennies, demandées au Pr Didier Raoult, ne valent plus pour les vaccins. Comment justifier ce « deux poids deux mesures » ?

Toute vaccination exige le consentement éclairé des bénéficiaires, ce qui est loin d’être le cas.
Rappelons que la covid tue des sujets âgés, moyenne d’âge 83 ans, ou porteurs de comorbidités, de maladies chroniques, elle épargne les sujets jeunes et encore plus les enfants.

L’objectif du gouvernement est de vacciner en masse, qui plus est en période de pandémie.

Pour échapper au système immunitaire le virus génère des variants, soit par mutations, erreurs commises quand le virus se multiplie et recopie son matériel génétique ; soit par recombinaison de matériel génétique de deux virus, or les coronavirus sont les champions de la recombinaison.

Les vaccins de nouvelle génération sont des vaccins génétiques ; ils injectent dans nos cellules une partie du matériel génétique du virus qui fait produire par nos cellules la protéine spike qui suscitera la fabrication, par nos cellules, d’AC contre cette protéine. Ce matériel génétique viral peut se recombiner avec un virus qui co-infecte nos cellules d’où le risque d’apparition de variants.

Lorsque le virus circule, des variants peuvent émerger qui pourront être plus virulents et ne pas être neutralisés par les AC fabriqués lors de la vaccination et vont donc échapper à notre système immunitaire. Si on vaccine toute la population, le virus d’origine ne peut plus circuler, il sera neutralisé laissant la voie libre au variant qui n’aura plus de compétiteur (analogie avec les AB et les bactéries). Le vaccin est au virus ce que l’AB est aux bactéries. La pression de sélection ainsi créée est en faveur des variants.

Il est donc fondamental qu’en période de pandémie, des fractions de la population ne soient pas vaccinées, tout particulièrement les enfants. Asymptomatiques, ils font circuler le virus sans être malades, il ne faut donc pas les vacciner, ce serait une erreur stratégique

Risques vaccinaux : immunotoxicité, génotoxicité, myocardite (1/3000) : la protéine spike peut provoquer des inflammations au niveau des cellules endothéliales. La protéine spike que l’on fait produire par nos cellules a des propriétés pathogènes

Immunotoxicité : l’ARN viral ne peut pas s’intégrer dans l’ADN, mais l’ARN peut être transformé en ADN (une enzyme humaine peut le faire) personne ne sait ce qu’il se passera demain

Quel enseignement tirer de cette pandémie :

Le coronavirus est dangereux pour
- les sujets âgés
- les obèses
- les patients atteints de maladies chroniques

Donc : 
Luttons contre l’obésité : en France 8 millions de personnes adultes souffrent d'obésité, ce qui représente 17% de la population.
Luttons contre la sédentarité : au-delà de 55 ans, moins de 4/10 ont une activité physique ou sportive

Chez les adolescents, seulement 41,8% atteignaient les recommandations de 60 mn/jour. 

Les enfants ont perdu un quart de leurs capacités physiques en 40 ans. 
C’est-à-dire qu’ils courent moins vite et moins longtemps… En 1971, un enfant courait 800 mètres en 3 min, en 2013 pour cette même distance, il lui en faut 4.

En France, selon le CSA, moins de 50 % des enfants respectent les 60 minutes d’activité physique quotidienne préconisées par les autorités sanitaires

Selon l’OMS, la sédentarité cause dans le monde 2 millions de morts par an. Luttons contre la malbouffe, la sédentarité, luttons contre les maladies chroniques, les pesticides, les perturbateurs endocriniens, luttons contre les zoonoses, les élevages monstrueux, la déforestation.

Voir aussi la série : "L'histoire du Covid - Valère Lounnas et Gérard Guillaume

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