ARN vaccinaux de Pfizer, producteurs de protéines spikes
ANALYSE - « Je ne sais pas quoi qui mettent dans la seringue, mais il faut l’faire, ils l’ont dit dans le poste et à la télé »
« J’l’ai fait "Pfizer" un nom, tu le dis et t’envoies plein de postillons… tu contamines 20 personnes… »
« Disent aussi qui faut vacciner les p’tiots, même si sont pas malades… pour me protéger moi… Sinon j’vais m’retrouver à l’hosto avec des tuyaux dans l’nez… Comme y montrent à la télé… »
« Comprends pas… Suis vaccinée… Y protège pas leur vaccin ? » « Suis pas bien… voir mon toubib et mon notaire… »
Le système immunitaire humain a été et est exposé aux coronavirus émergeants SARS-CoV-1, MERS-CoV (ils ont épargné la population française) et à quatre coronavirus endémiques faiblement pathogènes : HCoV-OC43, HKU1, NL63 et 229E. L’objectif de la thérapie génique de Pfizer est de nous « vacciner » contre le petit nouveau « SARS-CoV-2 » en nous injectant une partie de son ARN, un ARN messager codant pour sa protéine de pointe.
Alors que les vaccins conventionnels consistent à injecter un antigène à la personne à vacciner, le principe d’un vaccin à ARN est de faire en sorte que nos propres cellules produisent elles-mêmes cet antigène.
Aucun vaccin à ARN messager n'a été utilisé chez l'homme auparavant. Aujourd'hui, nous ne disposons souvent que des données que les firmes veulent bien fournir… Le vaccin BioNTech/Pfizer BNT162b2, nom commercial COMIRNATY®, a obtenu son AMM conditionnelle européenne le 21 décembre 2020. L'Agence Européenne du médicament a autorisé son utilisation sur les adolescents de 12 à 15 ans le 28 mai 2021. En France, le vaccin peut être administré aux 12-17 ans en centre de vaccination et sur autorisation parentale depuis le 15 juin 2021.
Pfizer dispose d’un délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance de son « vaccin » ; il est fixé au mois de « décembre 2023 ». Chaque sujet vacciné participe donc très officiellement à un essai de phase III qui ne dit pas son nom, avec toutes les conséquences juridiques que cet état de fait pourrait comporter à l’avenir, y compris pour les personnels qui assurent cette vaccination. Les éventuels effets secondaires ne seront pas imputables aux laboratoires. Les États devront payer… D’où leur faible intérêt à relever les déclarations de complications et décès…
Pfizer, comme la plupart des firmes, a tout misé sur la production de la protéine Spike. Mais si cette dernière change, du fait de « mutations et recombinaisons », alors tout effet immunisant peut être perdu.
D’après le docteur vétérinaire Alvértos Bourlá, PDG de Pfizer, 16/4/2021 : les personnes ayant reçu le vaccin de Pfizer auront "probablement" besoin d'une troisième dose d'ici six mois à un an, puis sans doute d'une injection chaque année. Le médicament est fourni dans un flacon multidose et doit être dilué avant utilisation. On vous injecte le « vaccin » dans l’épaule… Vous n’aurez pas le choix du vaccin, mais vous aurez celui de l’épaule. Une dose de 30 microgrammes d'ARN contient 13 200 milliards de répétitions des mêmes 4 284 caractères d’ARN messager (d’après le calcul de Bert Hubert) emballées dans les sphères de graisse.
Vous croyez qu’il reste gentiment dans le muscle deltoïde de votre épaule ? Raté. Pfizer n’a pas étalé son étude sur la cinétique de répartition mais les preuves existent… Ça va très vite ! Quinze minutes après sont rejoints le foie (22%), la rate, les surrénales et organes sexuels des deux sexes. On en retrouve même, d’après des documents divulgués par le Japon, dans l’hypophyse (note 1) qui contrôle l’ensemble des glandes endocrines de l’organisme… [1,2,3]
[1] Les documents de Pfizer présentant la biodisponibiliré (répartition des ARNm vaccinaux) après injections étaient publics et accessibles sur le site de l’Agence Européenne du Médicament (EMA). Disparus, pourquoi ?
[2] Les ARNm vaccinaux atteignent les organes reproducteurs. 5/04/2021. Article reprenant en partie les éléments effacés de [1].
[3] Au sujet des apolipoprotéines.
Note 1 :
La glande pituitaire, en d’autres termes l’hypophyse, cette petite glande située juste sous l’hypothalamus à la base de cerveau, contrôle toutes les sécrétions hormonales de l’organisme :
→ que ce soit directement :
⁕ comme l’hormone de croissance ou GH (qui stimule os, muscles et métabolisme).
⁕ comme la prolactine (PRL) qui « excite » la glande mammaire avec production de lait.
→ que ce soit en agissant sur d’autres glandes comme :
⁕ par le biais de la TSH sur la glande thyroïde (hormones thyroïdiennes).
⁕ par le biais de l'hormone adrénocorticotrope = corticotrophine (ACTH) qui agit au niveau des reins sur les glandes surrénales et stimule la sécrétion de glucocorticoïdes.
⁕ par le biais la folliculostimuline (FSH) qui stimule ovaires (production d’ovules) et testicules (production de spermatozoïdes).
⁕ par le biais de l’hormone lutéinisante (LH) qui stimule ovaires (ovulation) et testicules (production de l’hormone mâle = testostérone).
→ Elle accumule également des productions de l’hypothalamus qu’elle libère ensuite :
⁕ Ocytocine qui stimule la contraction de l’utérus lors de l’accouchement et le réflexe de la sécrétion de lait.
⁕ Hormone antidiurétique (ADH) qui agit sur les eins (tubules rénaux) en favorisant la réabsorption d’eau.
I - Les nanoparticules lipidiques ou NLP :
Ces nanoparticules sont des bulles graisseuses (donc constituées de lipides, ici de quatre types) qui ont le double avantage de protéger le segment d’ARNm vaccinal de la destruction pendant sa livraison dans l’organisme, mais en sus, de faciliter la fusion et la libération de leur contenu d’ARN à l’intérieur des cellules.
1) Le lipide cationique ou ALC-0315 de polarité positive s’associe à l’ARNm chargé négativement. Il représente presque 50 % des lipides. Il est toxique sur le foie des souris testées… Pfizer prétend qu’ensuite, le foie récupère, mais personne n’a pu vérifier sur les souris concernées. ALC-0315 reste dans le plasma pendant 12 jours avec une demie vie dans notre foie de 3 semaines d’après Pfizer. 99 % sont dégradés dans notre corps, nos cellules en subissant donc intégralement la toxicité hépatique.
2) Le polyéthylène glycol (PEG) ou ALC-0159, qui expose à des réactions d'hypersensibilité et à des réactions anaphylactiques. Il nous faut attendre sur place sous surveillance après la vaccination ! Ce n'est pas un hasard, mais il peut rester dans le plasma 6 jours. Après une exposition antérieure, il peut déclencher une réaction allergique ou un choc anaphylactique en raison de l’hypersensibilité établie. Il est détruit pour 50 % dans notre organisme, le reste étant rejeté à l’extérieur : impact environnemental, eaux usées ?
Une protéine de transport présente dans le sang, l’apolipoprotéine E = ApoE se lie au 3ème lipide (le cholestérol) des nanoparticules et assurant la distribution, véhiculant les LNP contenant l’ARNm ailleurs qu’au point d’injection. Le génotype E4E4, l’apolipoprotéine E, double le risque COVID-19 comparé à E3E3. De plus, la prévalence d'E4E4 dans les patients qui ont développé un COVID-19 sévère est élevée.
II - L’ARN messager :
L’ARN messager naturel du virus déclenche normalement une réponse immunitaire innée très puissante, par le biais de récepteurs intracellulaires « TLR = Toll-like en particulier TCR 7 », qui sont des récepteurs de reconnaissance de forme (PRR). Ils sont en particulier présents dans les cellules présentatrices d’antigènes (cellules dendritiques, les monocytes et les lymphocytes B) du système de défense inné.
Ces cellules sécrètent de l'IFN-alpha (interféron alpha) et d'autres chimiokines (qui contrôlent les motifs de migration et le positionnement des cellules immunitaires) pouvant devenir excessives (inflammation et manifestations auto-immunes). L'IFN-alpha augmente l’activité des ribonucléases qui découpent les ARNm (système immunitaire inné dit PAMPs-PRR) pouvant nuire à l'efficacité du vaccin et le complexe ARNm/TR7 active également les lymphocytes T.
À noter que tout l’ARN vaccinal n’est pas incorporé dans les cellules, or l’ARNm peut rejoindre des cellules endothéliales des vaisseaux pour lesquelles il est toxique, avec formation d’œdèmes et thromboses.
Donc, on va déguiser l’ARN vaccinal pour qu’il ne soit pas reconnu et aie le temps de produire des protéines spikes, sources, on l’espère, d’anticorps efficaces.
Théoriquement l’ARN vaccinal ressemble à ça :
→ À gauche, c’est la coiffe par où commence la lecture. Pour l’ARN messager de Pfizer, cela correspond à deux bases G (guanine) et A (adénine) qui font croire à notre système immunitaire que l’ARN injecté n’est pas un étranger mais un ami venant du noyau.
→ 1ère région 5’ UTR non-traduite en protéine : stabilise l’ARNm + constitue une introduction à la lecture + une piste d’atterrissage pour des machines lectrices d’ARNm : les ribosomes.
GAAΨAAACΨAGΨAΨΨCΨΨCΨGGΨCCCCACAGACΨCAGAGAGAACCCGCCACC
Les bases azotées psi = Ψ (note 2) remplacent les bases azotées U = uracile. Un système de masquage sur lequel nous reviendrons…
→ Sig : permet la fabrication d’un peptide, signal guide pour la spike… « tu vois on passe par là, par le canal réticulum endoplasmique pour nous retrouver à la bonne adresse. »
→ S protein_mut (3880-4174) : c’est la partie codante de 3777 nucléotides qui permet la production de la spike censée reproduire la vraie pointe du virus, alors qu’elle ne porte même pas les sucres qu’il faudrait en bonne position. À la fin, deux stops = « codons stops » (dans le vrai virus, un seul) pour être sûr. Un peu la trouille tout de même…
→ 2ème région 3’ - UTR non traduite en protéine. Ils l'ont rajoutée « pour conférer une stabilité à l’ARN et une expression protéique totale élevée ». En clair, ils ne comprennent pas bien mais ça marchait dans d’autres travaux alors ils tentent le coup ici !
→ Une queue polyA, A pour la base azotée adénine (4175-4284). L’ARNm est réutilisable mais à chaque fabrication d’une spike, le nombre de A diminue… Quand il n’y a plus de A, l’ARNm n’est plus fonctionnel et est censé être éliminé. La queue « polyA » est donc (entre autres) une protection contre la dégradation.
De plus, des bases ont été changées dans l’ARN vaccinal afin de remplacer deux acides aminés dans la vraie spike du virus par deux autres : des « prolines » pour servir d’attelles afin d’éviter l’écroulement de spike sur elle-même (car ici non liée au virus).
→ L’ARN du virus contient une base U = uracile qui a été remplacée dans l’ARN messager vaccinatrice par la base 1-méthyl-3’-pseudouridylyle = Ψ. En fait il s’agit d’une forme modifiée du " m 1 Ψ " (note 2) qui est accepté comme un U normal par nos mécanismes cellulaires. Le système immunitaire se trouve berné, incapable de repérer l’ARNm intrus… Cela permettrait aussi d’accroître la densité des ribosomes sur l’ARN messager.
→ Mais ainsi, Pfizer introduit un nouveau code génétique chez l’homme jouant à l’apprenti sorcier. Ils nous disent que de toute façon l’ARN messager sera détruit. Mais s’il persistait beaucoup plus qu’attendu, étant donné sa composition en bases ? Que ferait l’organisme avec un code qu’il ne connait pas ? C'est impossible ? Comme si, dans une cellule, l'impossible existait...
Note 2 :
Ψ = psi est une base azotée qui a été découverte par Karikó et Weissman. Dans le document de l'OMS, Pfizer a représenté le 1-méthyl-3′-pseudoridylyle par « m 1 Ψ » (avec « m 1 » indiquant une modification). Cependant, dans la séquence génétique réelle, Pfizer a choisi d'abréger " m 1 Ψ " en simplement " Ψ ". Le véritable nom semble être « N(1)-méthylpseudouridine = « 1-méthylpseudouridine.
III - L’ARN vaccinal défiguré :
En fait, ce bel ARN messager qu’on vous injecte, bien beau, bien propre, subit des dégradations dans la chaîne de fabrication industrielle du vaccin, et peut se retrouver découpé, voire haché menu. Certains lots s’abaissent à près de 50 % d’ARN vaccinal intact seulement, et il faut rajouter les dégradations liées aux conditions de conservation et de transport… Ne pas le secouer après dilution… Que provoquent ces petits bouts d’ARN ?
Il faut citer aussi les polluants associés liés à la production : ADN d’origine, ARN doubles brins et des lipides isolés cités plus haut. Les polluants ADN sont linéaires et donc, plus susceptibles de s’insérer dans notre ADN. Même si… vous connaissez le dogme, et nous y reviendrons.
Voir aussi : entretien essentiel avec Christian Vélot
Donc, en présence d’ARN messager vaccinal, nous produisons de la spike, elle-même censée permettre la production d’anticorps, qui sont à leur tour censés nous protéger contre le vrai virus. Malheureusement...
A) La glycoprotéine S de pointe du virus comprend deux sous-unités fonctionnelles. La sous-unité S1 est responsable de la liaison au récepteur ACE2 de nos cellules (par le biais de son domaine de liaison RBD = receptor binding domain) et la sous-unité S2 initie la fusion membranaire entre la particule virale et la cellule hôte.
La spike vaccinale est différente d’une vraie spike virale. La vraie possédant 22 sites de glycosylation (= 22 séquons ici de glycanes) ce qui peut protéger certains épitopes de la neutralisation par des anticorps… « Ici, nous montrons comment la glycosylation spécifique au site diffère entre les pointes dérivées du virus et les protéines de pointe dérivées d'un candidat vaccin contre le SRAS-CoV-2 à vecteur viral ».
La spike vaccinale est une spike glycosylée différemment, d’où la production d’anticorps moins efficaces. Beaucoup moins que quand il s’agit d’anticorps produits contre la vraie spike du virus. « En effet, les immunogènes qui n'imitent pas les glycoprotéines de pointe trimériques telles qu'elles sont présentées sur les virions infectieux peuvent effectivement agir comme un leurre, provoquant davantage d'anticorps sous-optimaux ou non neutralisants indésirables qui sont incapables de se lier et de neutraliser les pointes trimériques sur le virus. » Julien Brun, Snežana Vasiljevic et al.
Il faut rajouter que dans une infection naturelle, le corps réagit contre plusieurs protéines du virus (en particulier anticorps anti-N : dirigés contre la protéine de Nucléocapside, interne au virus et anticorps anti-S : dirigés contre la protéine Spike de surface), ce qui n’est pas le cas avec les vaccins autorisés, qu’ils soient à ARN ou à ADN, où seule la spike sera produite et donc seul des anticorps anti-S seront fabriqués.
« Les muqueuses couvrent les tractus aéro-digestif et uro-génital, la conjonctive, la paroi de l’oreille interne ainsi que les canaux des glandes exocrines. Les surfaces muqueuses sont protégées des agressions extérieures par des mécanismes de défense physico-chimiques et un système immunitaire muqueux inné et spécifique spécialisé. » Fabienne Anjuère et Cécil Czerkinsky.
Le « vaccin » étant injecté dans les muscles, comme la plupart des autres vaccins Covid commercialisés ou en préparation, il est évident que l’immunité privilégiée aux niveaux des voies aériennes ne peut exister… Il s’ensuit un « retard à l’allumage » de la réaction immunitaire tronquée par rapport à la réalité d’une infection.
B) Si nous n’en produisons pas assez (première injection ou personne âgée après deux injections), s’ensuit le phénomène ADE, ou des anticorps facilitants, si bien expliqué dans le Vidal. C’est vrai pour tous les coronavirus. Cela aidera le vrai virus à s’installer et provoquer une infection, en particulier après la première dose vaccinale. La vaccination à l'envers...
C) La spike produite à un côté baladeur, utilisant les fluides corporels et s’accrochant sur globules rouges et plaquettes au niveau des récepteurs CD 147, rejoignant ainsi tous les tissus dans le corps… comme le fait le virus lui-même. L’observation initiale était celle d’une maladie à expression essentiellement respiratoire. Ensuite, de nombreuses atteintes viscérales ont été décrites dans les formes graves de COVID-19 : pulmonaires, cardiaques, hépatiques, intestinales, neurologiques, ORL, conjonctivales et cutanées. Cette atteinte multi-organes témoignait d'une diffusion générale du virus, même si celui-ci est rarement trouvé dans le sang circulant. En fait, la cause était, comme nous allons le voir, liée à la spike.
C1) La spike rejoint en particulier les cellules endothéliales tapissant les vaisseaux sanguins, et après s’être fixée sur leurs récepteurs ACE2 et TMPRSS2 (porte d'entrée du virus), provoque des thromboses.
→ Afin d’étudier l’effet direct et isolé de la protéine de pointe du virus du Covid, Yuyang Lei, Jiao Zhang et al. ont créé un « pseudovirus » du Covid entouré de la couronne classique SARS-CoV-2 de protéines de pointe, mais ne contenant aucun virus réel.
→ L'exposition à ce pseudovirus a entraîné des lésions des poumons et des artères chez les animaux, prouvant ainsi que la protéine de pointe seule était suffisante pour provoquer une maladie.
→ Les échantillons de tissus prélevés ont montré une inflammation des cellules endothéliales tapissant les parois des artères pulmonaires. Il faut savoir que l’endothélium est le plus grand organe de notre organisme : sa surface est équivalente à six courts de tennis !
→ L'équipe a ensuite reproduit ce processus in vitro, exposant des cellules endothéliales humaines saines (artérielles pulmonaires) à la protéine de pointe. Ils ont montré qu'elle se liait à leurs récepteurs ACE2 endommageant ensuite les cellules au niveau des mitochondries.
→ S’ensuit une endothéli(i)te avec micro-thromboses en regard. Ainsi se trouveraient expliqués les accidents cardiovasculaires cérébraux, les crises cardiaques, caillots ou même peut-être les migraines rencontrées par certains patients.
→ Les atteintes pulmonaires (microthromboses dans les capillaires alvéolaires pulmonaires, versants artériel et veineux), cardiaques, hépatiques, intestinales, rénales (agrégats érythrocytaires), neurologiques, ORL, conjonctivales et cutanées purpuriques s’expliqueraient ainsi.
→ Ces résultats peuvent être analysés de deux façons opposées se succédant dans le temps :
⁕ L’introduction de vaccins à ARNm (ou à ADN) aboutissant à la production de protéine spike ou l’injection directe de protéine spike vaccinale peut présenter des risques de thromboses.
⁕ Ces protéines spikes déclenchent la fabrication d’anticorps qui devraient avoir – s’ils sont produits en quantité suffisante (Cf. âge), et si le sujet a franchi le 1er cap, un effet protecteur vis-à-vis des lésions endothéliales induites par la protéine S.
C2) La protéine spike franchit la barrière hématoencéphalique :
La COVID-19 est associée à une foule de symptômes liés au système nerveux central, surtout dans les Covids intenses, notamment la perte partielle ou totale du goût (agueusie) et de l'odorat (anosmie pouvant, chez 10 % des malades persister des mois, voire même après plus d'un an), des contractions musculaires, une ataxie (non-coordination des mouvements), des convulsions, des maux de tête et des étourdissements, une déficience visuelle, des douleurs nerveuses, de la confusion et une altération de la conscience, des nausées et vomissements, encéphalites, une hémiplégie, accident vasculaire cérébral et hémorragie cérébrale.
Il a été supposé que certains des symptômes de la COVID-19 pourraient être dus à des actions directes du virus.
Les auteurs de cette étude démontrent que la portion S1 de la spike radio-iodé (I-S1) injectée par voie intraveineuse traverse facilement la barrière hémato-encéphalique chez les souris mâles, est absorbée par les régions du cerveau et pénètre dans l'espace cérébral parenchymateux. Les résultats montrent qu'à 30 min, plus de 50 % d'I-S1 a traversé complètement la paroi capillaire. On retrouve S1 dans le bulbe olfactif et l'hypothalamus de façon élevée mais aussi dans le cortex frontal, le cervelet, le mésencéphale et la moelle épinière. « I-S1 a également été absorbé par les poumons, la rate, les reins (et surtout) le foie. »
L'I-S1, administrée par voie intranasale (au niveau de la plaque cribriforme où le nerf olfactif émerge de la voûte crânienne), a également pénétré dans le cerveau, bien qu'à des niveaux environ dix fois inférieurs à ceux après administration intraveineuse.
À noter que le récepteur ACE2 est impliquée dans l'absorption de S1 dans les poumons et probablement dans le cerveau, mais pas dans l'absorption d'I-S1 dans la rate, le foie ou les reins. L’étude de Danois Idrees et Vijay Kumar publiée le 24 mai 2021 : « Interactions entre les protéines de pointe du SRAS-CoV-2 et les protéines amyloïdogènes : indices potentiels de la neurodégénérescence » montre que les peptides β-amyloïdes (note 3), alpha synucléine (note 4), protéine tau (note 5), protéine prion et TDP-43 RRM (note 6) se lient à la spike du virus du Covid… Cela ressemble sacrément à une maladie à prions (note 7), maladie qui se caractérise comme s’exprimant de longues années plus tard.
Note 3 :
Dans la maladie d’Alzheimer, avant même l’apparition des premiers symptômes, les neurones sont affectés par deux types de lésions : les plaques amyloïdes = plaques séniles (oligomères solubles de peptides β-amyloïdes = Aβo) que l’on retrouve entre les neurones dans la substance grise du cortex cérébral + la dégénérescence neurofibrillaire (la protéine à l’origine de ce dysfonctionnement est appelée « protéine Tau » (note 5), que l’on retrouve à l’intérieur des neurones. Ces deux lésions correspondent à des amas de protéines qui se forment lors du processus normal du vieillissement. Cependant, dans les maladies de type Alzheimer, ces protéines s’accumulent en beaucoup plus grande quantité.
Note 4 :
En pathologie humaine, on sait que les protéines d’alpha-synucléine mal repliées sont convertis en oligomères pathologiques puis en agrégats de fibrilles qui s'accumulent à leur tour dans les corps de Lewy (Lee VM, Trojanowski JQ. ; 2006). Ces dépôts interrompent les messages transmis par les neurones. Les corps de Lewy sont donc des inclusions neuronales, habituellement sphériques, des structures amyloïdes, principalement constitués de filaments neuronaux + la protéine prion-like appelée alpha-synucléine, protéine présynaptique qui aurait en conditions normales un rôle dans l’apprentissage.
Chez les patients atteints de la maladie de Parkinson, les corps de Lewy se trouvent dans les cellules localisées dans le tronc cérébral (à la base du cerveau) au niveau de la « substance noire » qui joue un rôle dans le contrôle des mouvements. Dans la maladie à corps de Lewy, aussi appelée « démence à corps de Lewy (DCL) », une démence cliniquement proche de la maladie d’Alzheimer, les corps de Lewy sont présents dans la couche externe du cerveau appelée cortex qui est responsable des grandes fonctions mentales.
Note 5 :
La protéine Tau s’accumule également sous forme anormale et est incriminée dans de nombreuses démences, dont la maladie Alzheimer (note 3). La protéine Tau, par le biais de l’insuline, joue un rôle dans la plasticité cérébrale.
Note 6 :
Un quart des cas diagnostiqués « Alzheimer » seraient en fait dus à une nouvelle maladie, baptisée LATE (encéphalopathie à prédominance limbique). En cause TDP-43 (Transactive Response DNA-binding Protein 43), une protéine indispensable à l'activité de nos cellules, qui se révèle aussi une vraie tueuse de neurones sous une forme anormalement phosphorylée.
La sclérose latérale amyotrophique ou SLA est une maladie des motoneurones hautement débilitante. La caractéristique pathologique de la SLA est la présence d'inclusions dans le cytoplasme des neurones moteurs spinaux survivants. Là encore TDP-43 (encore nommée TAR DNA-binding protein-43) est la protéine majeure trouvée dans ces inclusions cérébrales post-mortem de patients atteints de SLA. Les RRM sont deux motifs de reconnaissance à l’ARN. L'altération pathologique (repliement anormal puis agrégation) de TDP-43 est considérée comme une caractéristique des maladies neurodégénératives de la sclérose latérale amyotrophique (et de la dégénérescence lobaire fronto-temporale).
Note 7 :
Un prion est un agent pathogène constitué d'une protéine dont la conformation ou le repliement est anormal. Le prion dérive d'une protéine qui existe à l'état naturel chez tous les mammifères et chez l'homme. Cette protéine ne provoque aucune réaction de type immunitaire de la part de l'organisme, et en particulier pas de formation d'anticorps. L'hypothèse serait que cette protéine changerait de forme pour une cause inconnue, et qu'elle deviendrait alors pathologique de proche en proche. Un prion serait donc un agent pathogène constitué d'une protéine dont la conformation ou le repliement est anormal. L'accumulation de la protéine se présente sous formes de plaques amyloïdes caractéristiques et plus ou moins importantes selon les pathologies.
La maladie de Creutzfeldt-Jakob, l’insomnie fatale familiale (IFF), l'insomnie fatale sporadique, le syndrome de Gerstmann-Sträussler-Scheinker (SGSS), le Kuru (disparu) sont des maladies à prions chez l’homme. La tremblante (gratte ou scrapie) du mouton, l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), l’encéphalopathie spongiforme féline, l’encéphalopathie spongiforme du vison, le dépérissement chronique du cervidé (CWD) existent et chez l’animal et rarement (encéphalopathie spongiforme bovine = maladie de la vache folle) chez l’homme.
À noter, même si ici il ne s’agit pas de protéine spike mais du virus entier : « Le SRAS-CoV-2 provoque une inflammation du cerveau et induit la formation de corps de Lewy chez les macaques » Ingrid HCHM Philippens et al., le 05 mai 2021 :
Quatre rhésus macaques (Macaca mulatta) et quatre Cynomolgus macaques (Macaca fascicularis) ont été infectés par voies nasale et intratrachéale. Chez ces primates, la symptomatologie du Covid est modérée durant 10 jours. Ensuite, on note une activité augmentée au niveau de la glande pituitaire (hypophyse, qui porte des récepteurs ACE2) pendant un mois chez deux macaques sur huit. Après 5-6 semaines post-infection, les macaques ont été sacrifiés et autopsiés, l'un des macaques (1/8) avait de l'ARN viral dans différentes aires du cerveau… L’ARN peut donc bien le pénétrer. Et tous les macaques avaient une inflammation cérébrale multifocale, avec infiltrations de lymphocytes T et activation de la microglie. De plus, tous les rhésus macaques et deux cynomolgus macaques (en fait trois mais un âgé) présentaient des corps de Lewy (note 4), structures amyloïdes riches en dépôt de alpha-synucléine (note 4) qui est une protéine prion-like caractéristique de la maladie de parkinson et de la démence à corps de Lewy.
Cette étude sur des modèles simiens démontre qu'après une infection respiratoire pauci-symptomatique voire asymptomatique, limitée à une dizaine de jours succède quasi systématiquement, chez l’animal, une maladie neurologique liée aux capacités neuro invasives du virus avec initiation de processus neurodégénératifs par dépôt de structures amyloïdes caractéristiques des maladies à prions.
C3) Des chercheurs étudiant les tissus cérébraux de 13 cas mortels de COVID-19 ont trouvé des pseudovirions (protéines de pointe, d'enveloppe et de membrane sans ARN viral) présents dans l'endothélium des micro-vaisseaux des 13 cerveaux. Ils ont conclu que les dommages endothéliaux (via le récepteur ACE2 de la protéine de pointe) sont une partie centrale de la pathologie du SRAS-CoV-2 et peuvent être induits par la protéine de pointe seule.
Voir l'étude en question : « Les dommages aux cellules endothéliales sont la partie centrale de COVID-19 et un modèle murin induit par l'injection de la sous-unité S1 de la protéine de pointe »
La sous-unité S1 seule, lorsqu'elle est injectée à des souris provoque une endothélialopathie systémique.
L'injection de la sous-unité de pointe S1 pleine longueur dans la veine de la queue de souris, dans le cadre de la même étude, a conduit à des signes neurologiques (soif accrue, comportement stressé).
La sous-unité S1 provoque la dégénérescence des cellules endothéliales et des motoneurones en culture cellulaire.
« Les dommages aux cellules endothéliales ACE2+ sont la principale caractéristique du COVID-19 humain et du modèle murin de la maladie. »
C4) Atteintes cardiaques :
Dans une revue de la littérature portant sur 26 études incluant 11 685 patients infectés, la prévalence des atteintes cardiaques en cas de Covid est de 20 % (Bavishi C., Bonow R.O. et al.) Des cas avaient été décrits lors de l’épidémie de SRAS en Asie et de l’épidémie de MERS au Moyen-Orient. Le mode de présentation d’une myocardite est multiple, allant d’une douleur thoracique mimant ou non celle d’un infarctus du myocarde au choc cardiogénique (= chute de la pression artérielle avec tachycardie et vasoconstriction) en passant par des signes d’insuffisance cardiaque et des troubles du rythme.
"Je soupçonne que la péri- et la myocardite seront associées à une microcoagulopathie dans les vaisseaux cardiaques en raison des effets de la protéine de pointe." Robert W Malone… le visionnaire.
Le Dr Malone est le découvreur de la transfection d'ARN in vitro et in vivo et l'inventeur des vaccins à ARNm, alors qu'il était à l'Institut Salk en 1988.
Steven G. Negron , Chase W. Kessinger et al. ont testé l'hypothèse selon laquelle la spike du CoV-2-S endommage le cœur en activant les réponses immunitaires innées des cardiomyocytes (CM = cellules musculaires du cœur auto-excitables. Elles portent des récepteurs ACE2 et sont incapables de renouvellement chez l’adulte.)
La spike interagit avec le récepteur Toll-like 4 (TLR4), un récepteur crucial de reconnaissance de formes responsable de la détection des agents pathogènes et de l'initiation des réponses immunitaires innées, devenant ainsi toxiques pour les cardiomyocytes et induisant un dysfonctionnement cardiaque, une hypertrophie cardiaque et une inflammation cardiaque chez la souris.
Plus de 300 cas de myocardites (et de péricardites) ont été examinés et présentés à des experts indépendants (convoqués par les Centres américains de lutte et de prévention des maladies = CDC) le 23 juin 2021. Ces inflammations sont survenues après l’injection des vaccins à ARNm (Moderna & Pfizer-BioNTech) contre le Covid-19. Selon ces experts, il existerait un lien "probable" entre les vaccins à ARN (Pfizer et Moderna) et les cas de myocardites signalés.
Un rapport publié par le ministère de la Santé israélien au début du mois de juin a conclu que des centaines de cas d’inflammation du muscle cardiaque (myocardite) ont probablement été causés par le vaccin SARS-COVID-2 développé par Pfizer et BioNTech, administré dans le cadre de la campagne de vaccination de masse. La plupart des cas ont été signalés chez des hommes (90 %) âgés de 16 à 30 ans, la proportion la plus élevée étant observée chez les adolescents de sexe masculin âgés de 16 à 19 ans.
En France, le délai de survenu des myocardites observées a été de 10 jours pour la première dose et 3 jours pour la seconde.
IV - Possible intégration de l’ARN dans le noyau :
De l’ARN ne peut donner que de l’ADN et non l’inverse (années 1950). Sauf que ce n’est pas vrai. Comme le montrent des études récentes avec diverses polymérases pouvant jouer le rôle de transcriptases inverses… Voir la publication du 11 juin 2021 dans la revue Science Advances de Gurushankar Chandramouly et Richard Pomerantz et al. de l’Université Thomas Jefferson de Philadelphie. Ils ont démontré qu’une enzyme humaine, la polymérase thêta, pouvait convertir des séquences d’ARN en ADN. La revue a présenté cela comme une première, puis s’est excusée. Il en existe d’autres…
Nous possédons d’ailleurs une foule de transcriptases inverses (et de ligases) émanant de gènes multiples LINE (plusieurs centaines de milliers de copies de ces LINEs), HERV (80 familles contenant une centaine d’éléments qui représentent ensemble environ 8 % du génome humain, soit quatre fois plus d'ADN que ce qui est consacré aux gènes codant pour les protéines).
Ne pas oublier les transcriptases inverses liées aux télomérases ou amenées en cas de co-infection par des rétrovirus, des lentivirus, des spumavirus, des virus à ADN comme celui de l’hépatite B… L’intégration nucléaire sous forme d’épisomes ou dans l’ADN est possible et observée pour d’autres virus (comme le herpès-virus strictement humain de type 6 = HHV-6 responsable d’une infection infantile appelée la roséole infantile = « exanthème subit du nourrisson » = "sixième maladie" à ADN et s’intégrant dans le génome de 0,2 à 1 % de la population générale, pouvant être transmis à notre descendance + le virus d’Epstein-Barr = EBV = herpès-virus de type 4, cause de la mononucléose infectieuse et également à ADN qui, lui, peut s’installer dans le noyau sous forme d’épisomes + le virus adéno-associé (ou AAV, pour adeno associated virus en anglais), petit virus à ADN qui est capable de s’intégrer sous forme d’épisome ou directement dans l’ADN dans environ 5 % des cas). J’arrête là… Mais nous l’espérons tous, cette intégration liée à la vaccination restera rare, engendrant pour un petit nombre par perturbations de gènes oncogènes, antioncogènes, réparateurs d’ADN, des maladies auto-immunes et des cancers.
Un nombre respectable de personnes sont testées positif au COVID par PCR longtemps après la disparition de l'infection. Ils continuent en fait à produire de l'ARN viral après la guérison. Une explication fortement plausible est que l’ARN du virus est devenu ADN et s'est intégré dans leur génome, persistant à transcrire.
J’ajoute que la pré-publication « ARN SRAS-CoV-2 transcrit et intégré dans le génome humain » de Liguo Zhang, Alexsia Richards et al. a été un peu vite enterrée… « Nous décrivons des preuves que les ARN du SRAS-CoV-2 peuvent être rétrotranscrits dans les cellules humaines par la transcriptase inverse (RT) à partir des éléments LINE-1 ou par le VIH-1 RT, et que de ces ADN, les séquences peuvent être intégrées dans le génome cellulaire et ensuite être transcrites. »
V - Faire taire ceux qui n’entrent pas dans le discours de ceux qui financent…
"La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l'homme" déclare le professeur Byram Bridle (note 8), un canadien spécialiste en immunologie virale et jusque-là richement financé dans ses recherches…
Voir aussi : notre article sur la déclaration de Byram Bridle
« Jusqu'à récemment, nous n'avions jamais pensé que les protéines spikes pouvaient être toxiques ! Les vaccins ARNm qui ont été testés pour la première fois sur des animaux et dont les études n'ont jamais été rendues publiques, montrent que les nanoparticules d'ARNm ne restent pas localement au site de ponction dans le tissu musculaire, comme supposé et revendiqué par les fabricants, mais vont dans les organes à des concentrations parfois dramatiques, où ils sont transférés de cellules en cellules et absorbés en continu. »
"Nous avons fait une erreur" ; elle peut « même être transmise par le lait maternel aux enfants allaités » ; « Nous ne voulons pas de transfert de ces protéines de pointe pathogènes à des patients fragiles qui sont transfusés avec ce sang ».
Depuis (curieusement ?) des journalistes aux ordres, avec leur pauvre niveau en sciences, ont tenté de discréditer, campagne de dénonciation vicieuse, ce spécialiste reconnu alors que la grande majorité de ses collègues le soutiennent.… Et qui a créé un faux site Byram Bridle pour lui nuire ?
En France aussi la presse tente de faire taire nos chercheurs qui contredisent la parole des firmes, avec les mêmes noms de journaleux qui reviennent, et leurs attaques contre : Dr Nicole Delépine, oncologue pédiatrique qui pendant plus de 30 ans a soigné des enfants cancéreux à Garches (11 mars) + Alexandra Henrion-Caude, généticienne et ancienne directrice de recherche à l'Inserm (24 décembre, 26 janvier, 30 mars) et l’infectiologue chaleureux Christian Perronne, une sommité, chef de service à l'hôpital Raymond-Poincaré de Garches spécialisé dans les pathologies tropicales et les maladies infectieuses émergentes (18 décembre) ainsi que la médecin et députée Martine Wonner (12 octobre, 12 février). Tout ceci ne pourra rester sans suite.
Voir aussi : entretien essentiel avec Christian Perronne
La doxa télévisuelle et ses toubibs ayatollahs, néphrologues, rhumatologues et autres, qui n’ont pas lu un article concernant les vaccinations depuis leurs lointaines études, qui parlent des OGM comme s’il s’agissait de vaccins d’antan… Et ceux qui traitent les non vaccinés comme des pestiférés, des « brebis galeuses » qu’il faut aller chercher « avec les dents », « entre deux gendarmes », à qui il faut « pourrir la vie », aller les « chercher sur les plages »… La patience a-t-elle vraiment ses limites ? On a très peur… Soit vous êtes terriblement ignorants, soit sachant, vous mentez en vous gavant. 460 euros la matinée sans même vous inquiéter de savoir si vous injecter l’horreur. Pas un ne pourrait expliciter le contenu d’un vaccin, pas un !
Voir aussi : le non-vacciné, cette espèce à abattre
Un vacciné ne serait-il pas protégé des non-vaccinés ? En fait, il n’y croient pas eux-mêmes...
Alors pourquoi, paranoïaque que vous êtes, si peureux quand il s’agit d’expliciter pourquoi les antibiotiques antiviraux ont été interdits dans les Ehpad, laissant place au Rivotril tueur… Pourquoi les comparses arrosés par les firmes ont falsifié, caviardé (Lancet, Fiolet, autres) des études afin de nier tous traitements au profit de leurs maîtres ? Combien de morts ? Pourquoi tentez-vous d’imposer une vaccination délétère à nos petits, qui sans comorbidités, ne risquent absolument rien ? Retour au pétainisme. Nous vous trouverons devant les tribunaux.
Comment Emma D. ignorante et servile, peut-elle donner son avis sur le sujet des vaccinations, alors qu'elle n'a aucune formation en ce domaine ? Comment peut-elle mentir avec effronterie en prétendant que la vaccination protège du variant Delta ? Bobards et boniments. Payée, comme l’accusent ses propres collègues ?
Concernant ce variant Delta, pour lequel le ministre Véran et le premier ministre Castex menacent de nous confiner : la létalité (c’est-à-dire le nombre de décès par rapport à l’ensemble des patients) est de 0,1 % pour le delta = indien (1,9 pour l’alpha = anglais soit 19 fois plus et 1,4 pour le béta = sud-africain soit 14 fois plus et… de 0 à 1,6 pour le gamma = brésilien. Tous âges confondus (voir page 8 du rapport ci-dessous). Nécessité de vacciner ?
Concernant ce variant Delta, du 1 février au 21 juin 2021 en Grande Bretagne :
92 029 porteurs, tous âges confondus, avec 117 morts dont 44 non vaccinés covid.
Et 9571 porteurs chez les plus de 50 ans avec 109 morts dont 38 non vaccinés covid.
Les vaccinés sont majoritaires chez les morts mais 1 123 des plus de 50 ont un statut vaccinal non connu, 3 546 atteints ont reçu 2 doses (50 morts) et 976 (38 morts) sont non vaccinés, soit de l’ordre de 25 % des vaccinés… Comment le Monde peut-il prétendre qu’une personne non vaccinée âgée de 50 ans a en réalité presque 20 fois plus de « chances » (c’est le terme du journaliste) de décéder du variant Delta qu’une personne qui est protégée par un vaccin anti-Covid-19. Le Monde semble également considérer comme normal que, chez les plus de 50 ans : 50 personnes vaccinées avec deux doses parmi les 3 546 infectées (+ 17 personnes 21 jours après la première dose) soient décédées… Je croyais que la vaccination protégeait des covids graves ! Combien de cas graves s’il y a 50 morts parmi les 3456 vaccinés ?
Si je suis une brebis galeuse, je me soigne à l'ivermectine... La vaccination ARN/ADN, c'est non.
Conclusion : Quelques phrases, critiques, du Vidal
1. « Une efficacité contre les formes sévères seulement suggérée : L'évaluation de l'efficacité du vaccin BNT162b contre les formes graves de COVID-19 est rendue délicate par le faible nombre de formes sévères observées ».
2. Pour les plus de 75 ans : « Ce dernier résultat n'est que suggestif du fait du faible effectif et du faible nombre de cas (0 dans le groupe vacciné, 5 dans le groupe placebo) ».
3. Selon le Vidal : « Les questions relatives à l'efficacité qui demeurent en suspens : « de nombreuses questions sur cette efficacité demeurent sans réponse :
• la persistance de la protection obtenue dans le temps ;
• l'efficacité parmi les populations vulnérables aux formes graves (en particulier les insuffisants rénaux et les personnes immunodéprimées) ;
• l'efficacité chez les personnes ayant des antécédents de COVID-19 (même si l'analyse post hoc semble suggérer une efficacité dans ce groupe, celui-ci est trop petit pour conclure) ;
• l'efficacité chez les enfants et les moins de 16 ans… » (ultérieurement la firme dit 100 %... mais comment comparer alors que les enfants ne sont en général pas symptomatiques ?)
• « l'efficacité contre les formes asymptomatiques de la COVID-19 ;
• l'efficacité contre les formes graves et l'effet sur la mortalité ;
• l'efficacité contre les effets à long terme des infections acquises malgré le vaccin ;
• l'efficacité sur la transmission du virus en cas de contamination d'une personne malgré le vaccin ;
• le futur de cette efficacité si la pandémie venait à évoluer (mutations de SARS-CoV-2 par exemple). »
4. « De plus, et c'est une question essentielle pour le contrôle de la pandémie, nous ne savons rien sur la transmission du virus par des personnes vaccinées et néanmoins atteintes de formes asymptomatiques. En l'absence de données sur cette question, le respect des gestes barrières devra persister en dépit de la vaccination, tant que la pandémie ne sera pas contrôlée. Enfin, la question d'une éventuelle toxicité à long terme se pose toujours, ainsi que celle des effets indésirables graves et rares qui pourraient survenir. »
Chut... Fallait pas le dire... Vidal complotiste ?
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