Covid ou pas, trop d’entre nous semblent devenus fous
Tribune : Certes la santé mentale est la première cause mondiale de handicap. En France, son coût annuel est de 109 milliards et manifestement cela ne va pas s’arranger car conditionner un peuple entier à la peur, la panique d’un virus plus ou moins dangereux et surtout aux implications policières des mesures drastiques prises par nos gouvernants contre toute logique (voir exemple des pays non confinés, non matraqués, non ponctionnés par amendes répétitives contre des décisions iniques type ausweiss de sortie)
"les conséquences psychiatriques du Covid-19 seront très lourdes ; elles sont devant nous et pour longtemps". [1] Les personnes infectées seront parmi elles éventuellement, mais pas forcément. Les autres exposées au stress ou aux conséquences financières dramatiques qui s’annoncent avec la véritable vague, celle des licenciements à outrance, de la modification de l’assurance chômage qui va être appliquée et celle de la réforme des retraites.
Difficultés financières, peur de la maladie pour soi ou pour ses proches, l'isolement aberrant et contreproductif du confinement à la chinoise, haut lieu bien connu de liberté, ont fait augmenter les cas de stress post-traumatique.
De plus, « il est largement admis, désormais, que l'inflammation liée au virus fait le lit de pathologies psychiatriques (dépression, troubles anxieux). » Concernant plus spécifiquement le Covid-19, on sait que le virus a un tropisme pour le cerveau et qu'il déclenche une tempête inflammatoire "cytokinique" dont les conséquences peuvent être pulmonaires, cardiologiques mais aussi neuropsychiatriques. L'augmentation des troubles de l'humeur ou des troubles anxieux post-infection par les maladies à coronavirus a été observée lors des précédentes pandémies en Chine, aux USA ou en Europe. »
Est -ce que ces troubles secondaires peuvent expliquer l’attitude extrême et curieuse au-delà de leur coté révoltant, de certains médecins autrefois ouverts à la discussion et qui aujourd’hui brandissent le masque comme un grigri, souhaitant imposer « une greffe de cerveaux » à tous ceux qui osent mettre en cause son efficacité sanitaire. Qu’ils soient déprimés, passe, mais faut-il continuer à les inviter sans arrêt sur les plateaux télé et les laisser alimenter ces angoisses qui poursuivront des années une grande partie de la population ? Et oublient-ils leur devoir de confraternité si souvent utilisé par l’Ordre pour poursuivre ceux qui ne leur plaisent pas tels le pr Even ?
« Plusieurs types de population réclament notre vigilance : pour les malades du Covid-19, le suivi somatique, pulmonaire et cardiologique devrait s'accompagner d'un suivi psychiatrique. Dans la population générale, des études montrent que les femmes ont été durement exposées, ainsi que les jeunes, inquiets pour leur entrée dans la vie active, les personnes âgées en Ehpad. Il faut informer, surveiller et dépister. Ce n'est pas un combat récent. Il y a un retard au diagnostic et à la prise en charge car les maladies mentales sont trop souvent considérées comme dépendantes de la volonté. Une personne déprimée ne devrait plus entendre : "Secoue-toi, ça va passer." »
Appel du Dr Fouche réanimateur
Dans ce contexte, nous avons été touchés par cet appel d’un collègue réanimateur et souhaitons faire connaitre son appel.[2] Le Dr Louis Fouché, médecin anesthésiste – réanimateur s’exprime ici pour le “Collectif soignant pour une politique sanitaire COVID-19 juste, éclairée, et proportionnée”. Appel notamment publié sur le site de l’anthropologue J.D. Michel.
“Bonjour à tous,
A quoi joue le gouvernement ? A quoi jouent les médias ? A quoi jouent les médecins ? Quand réagissons-nous ?
Je lance ici un appel aux médecins, pharmaciens, soignants et administratifs de l’AP-HM de bonne volonté. Il faut arrêter l’instauration et la pérennisation de lois d’exception liberticides.
Depuis quand le gouvernement se donne-t-il le droit de décider de ce que les médecins peuvent prescrire ?
Pourquoi les gens doivent-ils encore porter un masque aujourd’hui ? Pourquoi leur interdisait-on d’en acheter quand c’était utile ? Pourquoi les pharmaciens n’ont pas eu le droit de vendre des masques quand c’était utile ?
Ce sont désormais les supermarchés qui le peuvent avec la complicité de l’État et de ses forces de répression ? Ceux qui constatent l’écart croissant entre le réel et la narration médiatique et politique se doivent de réagir.
Ceux qui savent lire et interpréter sans peur des courbes épidémiques se doivent de parler en masse et de ne pas laisser seul l’IHU dans cette bataille.
Il n’y a pas de seconde vague.
Nous ne sommes depuis bien longtemps plus en situation épidémique selon les définitions habituelles des standards d’épidémie pour la grippe (plus de 150 cas/j/100000 hbts). Cette définition a été changée tout bonnement pour la Covid dans un but qui nous échappe. Le réel est remplacé par une narration douteuse. Les « informations » diffusées par les médias sont désormais décorrélées de la réalité sanitaire.
Les courbes épidémiques sont interprétées de manière fallacieuse. L’État aurait-il modifié les seuils épidémiques habituels pour maintenir un discours alarmiste et justifier des restrictions de liberté ?
Les nouveaux cas sont bénins. Ils sont à la hausse du fait de l’incrémentation du nombre des tests. C’est très rassurant quant à la bénignité de l’infection au final.
Nous n’avons pas constaté en avril le dénominateur des cas totaux faute de pouvoir tester comme le bon sens nous le recommandait.
Aujourd’hui nous testons de manière quasi systématique sans rapport avec une quelconque symptomatologie. Nous trouvons simplement ce que nous nous sommes interdits de voir en Mars, Avril et en Mai : le dénominateur et la foule des cas bénins. Tous les partisans de la thèse de l’immunité collective devraient s’en réjouir.
Les hospitalisations en réanimation, les hospitalisations et les décès ne font que baisser tendanciellement !
Nous nous devons de sortir des polarisations politiques qu’on a voulu infliger au débat.
Nous devons retourner à des arguments de bon sens : médicaux en premier, scientifiques en second. Merci à Jean François Toussaint, à Alexandra Henrion Caude, à Jean Dominique Michel, à Didier Raoult, à Philippe Parola, à Jean Christophe Lagier, à Christian Perronne et à tous les autres héros que j’oublie.
La Science, la médecine et la politique sont ternies de tant de conflits d’intérêt et de corruptions.
Le « Nous » de nos concitoyens va mal. Nous devons réinformer et réouvrir l’espace du dialogue et du débat quand il se ferme.
Il y a aujourd’hui plus de morts quotidiens de suicide que de COVID.
Les soignants doivent réagir. Nous devons libérer nos concitoyens. Veiller à leur santé. Nous avons tous prêtés serment !
Chaque jour, il meurt en moyenne en France 1671 personnes selon Santé publique France.
419 personnes de maladies cardio vasculaires / 460 de cancers / 110 morts de maladies respiratoires / 27 de suicides / 10 morts d’accidents de la route /
Pour la covid-19 : Sur les 15 premiers jours d’août une moyenne de 8.3 morts hospitaliers /jour.
Je ne compte pas les morts en EHPAD puisque nous ne savons de quoi ils sont morts. Vous constaterez avec le sourire que du 1er au 15 août, 10 personnes auraient d’ailleurs ressuscitées selon le cumul des morts en EHPAD.
Nous sommes devenus fous ?!
Merci à tous ceux qui voudront nous rejoindre pour que l’AP-HM se réveille du mirage et agisse. Merci à tous ceux qui ne sont pas d’accord et qui voudront renouveler l’espace du débat pour une discussion courtoise et constructive. Bien confraternellement,Dr Louis Fouché, médecin anesthésiste – réanimateur.”
Merci au docteur Fouché et faisons connaitre son appel.
L'ordre des médecins soumis aux ARS
Dans le même ordre d’idées d’appel de médecins qui tentent de se faire entendre une nouvelle fois, signalons celui du DR Crabbe qui interpelle à juste titre l’ordre des médecins sorti de son rôle par sa soumission servile aux ordres des technocrates.
Appel du Dr Crabbe
“L’Ordre des médecins doit être jugé pour manquements graves à l’éthique médicale” selon le Dr Crabbé. 1 septembre 2020 [3]
“Discours apocalyptiques”, “hystérie collective”, “silence complice”… Le Dr Jean-Michel Crabbé a adressé le 27 août au Conseil de l’Ordre des médecins du Doubs une lettre recommandée dans laquelle il demande que l’Ordre des médecins soit “traduit devant ses propres instances disciplinaires et jugé pour manquements graves aux missions qui lui sont confiées et à l’éthique médicale.” Elle faisait suite à une première lettre envoyée le 13 mai 2020.
“Monsieur le président, mes chers confrères,
Dans le contexte « covid-19 », je dénonce publiquement de graves violations du Code de Déontologie et du Serment d’Hippocrate par l’Ordre des médecins lui-même.
1) Face aux discours apocalyptiques diffusés dans les médias par les hommes politiques et de soi-disant spécialistes, l’Ordre des médecins avait le devoir de rétablir la vérité et de fournir à l’ensemble des praticiens et au public les véritables chiffres issus des registres de l’État Civil et de différents services mortuaires hospitaliers ou autres : ces chiffres n’ont rien d’alarmant. Au cours des vraies épidémies comme la peste ou la tuberculose, il y avait des malades et des morts dans chaque maison, dans chaque famille, nous sommes très loin d’une telle situation.
2) Face à la phobie du virus et à l’hystérie collective déclenchées par le risque de contamination par simple contact ou respiration à proximité des malades, l’Ordre des médecins devait rappeler que les professionnels de santé ne sont pratiquement jamais contaminés par leurs contacts multiples et répétés avec les malades, et que la contagion met en jeu d’autres facteurs mal connus.
3) L’Ordre des médecins, garant des bonnes pratiques médicales basées sur des études scientifiques, devait rappeler que le port du masque, l’isolement des sujets en bonne santé et la distanciation sociale sont des mesures inventées en 2020, qui ne s’appuient sur aucune expérience passée, sur aucune étude scientifique, et ne figurent dans aucun ouvrage de médecine. Le bien fondé de ces mesures ne repose sur aucune évaluation objective du rapport bénéfice/risque, alors que leurs conséquences évidentes sont gravissimes pour la population sur le plan médical, humain et économique. (….). »
« Au service des médecins dans l’intérêt des patients », l’Ordre des médecins devait informer les praticiens d’une façon objective, dénoncer les mesures de prévention non validées scientifiquement et dangereuses, veiller à la formation des médecins dans ce domaine essentiel, la toxicologie, rassurer une population rendue hystérique par les déclarations mensongères des médias.
Au lieu de cela, l’Ordre des médecins garde un silence complice des objectifs occultes d’un pouvoir politique au service d’une oligarchie mondialiste. Sous prétexte d’épidémie, une administration aveugle, des spécialistes dont l’expérience professionnelle reste à prouver, l’ensemble du système de santé est instrumentalisé pour nuire à la population, la terroriser, la priver de liberté, de travail, de relations humaines.
En conclusion, l’Ordre des médecins doit être traduit devant ses propres instances disciplinaires et jugé pour manquements graves aux missions qui lui sont confiées et à l’éthique médicale. Recevez mes meilleures salutations confraternelles et dévouées, Dr Jean-Michel Crabbé”[4]
Tout est dit, merci chez collègue ! A NOUS DE DIFFUSER TOUS CES MESSAGES POUR CEUX QUI NE FREQUENTENT QUE BFM . Je rappelerai ici les humbles conseils publiés sur putsch media il y a quelques jours. [5]
Afin que tous soient concernés sur les marchés ou à la sortie des écoles. La force du PAPIER !
Certains le font déjà évidemment, comme cette militante lyonnaise qui m’a raconté un jour son combat contre le masque, dans les transports ou chez les commerçants, avec à la main la déclaration de Maitre Brusa Alberto qui affirme et le démontre que l’amende contre le refus du port du masque est illégale. Il propose d’avoir sur soi sa déclaration et de la porter dans les commissariats pour les informer. Idem chez les commerçants qui se ruinent en se soumettant car l’exigence du masque décourage souvent les clients hésitants d’entrer.
Et très motivés sur cette idée qu’appliquent déjà certains, nous sommes tombés sur ce papier fort instructif qui va dans le même sens et démontre de plus la logique de l’efficacité de la méthode. Trop forts !
« https://jeminformetv.com/2020/08/18/manifestation-contre-la-desinformation-a-propos-du-covid-19-et-lingenierie-sociale/ Nous sommes une nation de beaux parleurs », dit Gatto dans son livre Dumbling Us Down . Je pense qu’une bien meilleure tactique est d’avoir des documents imprimés prêt à placer sous leurs yeux. Cela peut sembler archaïque. Mais c’est le but. »
Les auteurs de cet article n’ont pas tort, car c’est vraiment ce qu’on ressent, notre plafond de verre de la réinformation par les sites alternatifs de plus en plus censurés (vidéos supprimées par Google de Silvano Trotta et beaucoup d’autres, jusqu’à celle du président américain), ils n’ont aucune limite dans la censure et le mensonge. NO LIMIT comme ils le proclament.
Donc tous à nos imprimantes, aux rames de papier et surtout à nos petits textes courts avec une seule idée à la fois et distribuons nos messages dans les boites aux lettres, à la sortie du métro ou des grands magasins et restons simples dans nos discours.
« Les enfants de moins de 19 ans ne sont pas contagieux, Ils ne passent pas le covid à leurs camarades, ni aux adultes. Les masques à l’école sont inutiles et de la maltraitance »
Ou encore
« Les enfants ne sont qu’exceptionnellement atteints par le covid, moins d’un mort pour un million d’enfants pendant l’épidémie. C’est très inférieur aux décès par la grippe pour laquelle on ne porte pas de masques à l’école. »
« Le Covid devient rare, mais si vous avez des signes cliniques (toux, fièvre, douleurs musculaires ou perte de gout et d’odorat ) faites-vous examiner par un vrai médecin de terrain et s’il confirme, exigez chloroquine et azithromycine. C’est autorisé. Vous serez guéri en 5 jours »
Etc… A chacun de trouver son message avec son cœur et sa détermination et des slogans encore plus courts.
De l’efficacité du message sur papier
L’article sus-cité explique : Une étude de 2009 a trouvé que les étudiants qui lisaient leurs leçons sur papier avaient de meilleurs scores (+28%) que ceux qui ne faisaient qu’écouter leur leçon sous forme de podcast. Un article dans Scientific America dit qu’au moins 1/3 de notre cerveau s’occupe de la transcription des lettres (des mots) en concepts signifiants. Et le rapport Hechinger dit que « la plupart des études indiquent que la compréhension à la lecture est meilleure à partir de documents imprimés [par rapport à la lecture sur écran]. »
« Étant donné cela, au lieu de réciter à votre voisin masqué une leçon sur l’hypoxie ou d’envoyer à votre oncle un lien par courriel sur lequel il ne cliquera probablement pas, essayez plutôt ceci : Imprimez sur papier au choix : article, flyer, ou study qui décrit l’évidence sur laquelle est basée l’affirmation que les masques (par exemple) ne réduisent pas les infections primaires ou secondaires. Vous pouvez ensuite donnez en mains propres ces papiers en noir et blanc à des amis, à votre famille ou à des étrangers. Vous dites simplement : « Pouvez-vous lire ceci et me dire ce que vous en pensez ? ».
Vous pourriez aussi écrire une courte lettre et envoyer le matériel imprimé à des chefs d’entreprise, des politiciens, des célébrités, des auteurs, des leaders d’actions caritatives, des administrateurs d’hôpitaux, des chefs religieux… La lettre devrait être brève et aller droit au but :
« C’est évident que le port obligatoire du masque nuit aux commerces de détails, à la société et aux enfants. J’ai trouvé cet article à propos de la manière dont les scientifiques ont testé le port du masque. Ils ont mené 7 études contrôlées randomisées pour vérifier si le masque protège réellement les gens contre l’infection. Pourriez-vous le lire et me dire ce que vous en pensez ? »
La même tactique pourrait être appliquée à d’autres domaines spécifiques de l’histoire COVID-19. Distanciation (anti)sociale, taux de mortalité trafiqués, la pandémie de ventilation mécanique. Soyez précis. C’est un bordel énorme rempli de confusion. Présentez juste un morceau de ce puzzle fragile à la fois. Gardez le lecteur concentré et fixé sur l’objectif. Vous pouvez toujours envoyer une autre lettre la semaine suivante ».
La défence juridique des citoyens
Une vidéo du 31 aout 2020 de l’avocat Carlo Brusa sur sa chaine youtube faisant allusion à la missive d’un parent au conseil de l’ordre a lu la réponse tout à fait surprenante pour les citoyens (et pas pour les médecins) Vous écouterez la réponse dans la vidéo, mais le point sur lequel je veux insister ici est le suivant : le conseil de l’ordre dit avoir interpellé l’ars locale, seule instance ayant le droit de trancher.
A quoi sert le conseil de l’ordre soumis à la bureaucratie sans honte ? Voyez le site de son association Reaction 19 et pour toute question et les documents juridiques à télécharger (contestation amende illégale par exemple).[6]
En tous cas et en bref résumé de la vidéo du 31 août 2020 de maitre carlo Brusa, à retrouver aussi sur facedebouc, le directeur d’école ne peut refuser de prendre en charge un enfant non masqué et en tous cas lui fournir un masque.
Le seul texte valable est le décret du 10 juillet qui octroie au premier ministre le pouvoir de décréter en cas d’urgence jusqu’à fin octobre. Néanmoins aucune délégation aux ministres n’est prévue, si bien que le protocole proposé par le ministre Blanquer ne peut être considéré que comme une recommandation simple.
D’après le décret du 10 juillet, le seul légal en vigueur, le masque ne peut être imposé qu’en l’absence de distanciation. Si bien que les profs à leur bureau peuvent parler sans masque afin que les élèves les entendent correctement, et les élèves à distance d’un m les uns des autres ne sont pas non plus soumis au masque. Mais les émissions tv ont bien mis la pression et tout mélanger. Lisez les textes de droit dont nous pouvons encore profiter et leurs interprétations par les avocats de bonne foi. Vous avez tous vu que maitre Krikorian a pu démontré que l’interdiction de la chloroquine n’a jamais été légale et qu’actuellement les médecins sont tout à fait autorisés de prescrire chloroquine et azithromycine sans être mis en cause par le conseil de l’ordre.
Enfin , si votre enfant ne peut supporter le masque, son médecin traitant est en droit de lui rédiger une dispense qu’il doit toujours avoir sur lui. La réponse de l’ARS à cette question ne fait pas état du fait que l’enfant devrait être handicapé. Il vous reste à trouver le médecin qui est trop souvent terrorisé.
Allez écouter vous- même https://profidecatholica.com/2020/08/26/maitre-carlo-brusa-tatonnements-pour-les-masques-lexecutif-et-les-pieds-dans-le-tapis-video/ et les autres.
Cherchez bien car curieusement ces liens disparaissent rapidement sur google au fur et à mesure… Et ne soyez pas complotistes, enfin !
[1] . https://www.lejdd.fr/Societe/les-consequences-psychiatriques-du-covid-19-sont-devant-nous-et-pour-longtemps-3985968
[2] https://covidinfos.net/covid19/il-ny-a-pas-de-seconde-vague-les-nouveaux-cas-sont-benins-les-soignants-doivent-reagir-lappel-dun-collectif-soignant-au-corps-medical/1888/
[3] https://covidinfos.net/covid19/lordre-des-medecins-doit-e%cc%82tre-juge-pour-manquements-graves-a-lethique-medicale-selon-le-dr-crabbe/1893/
[4] Source : Site du Dr Jean-Michel Crabbé
[5] Putsch media nicole delepine 23 AOUT 2020
[6] reaction19fr@gmail.com en cas de question précise sans réponse sur le site
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