Dans plusieurs pays, les masques tombent ! En même temps !
Les masques tombent tant en France qu’à l’international. À quelques jours de l’élection américaine, aux USA, les médias mainstream aux ordres comparent Donald Trump à Hitler, Mussolini et Staline. Elon Musk, un des soutiens de Trump, est identifié comme « l'ennemi numéro 2 » par les médias (après « l'ennemi numéro 1 » Trump) médias, en ultra majorité démocrates.
Quant à Robert Kennedy Jr, il délivre un discours à charge contre son ancienne famille politique qu’il ne reconnaît plus : le parti de la guerre, des mensonges, de la défense des intérêts des big tech contre ceux du peuple. Dans une trahison des valeurs du parti démocrate, tel que le décrit l’avocat Antony Lacoutre, et qui lui ajoute ceci : « Les démocrates attaquent à tout-va afin de se préparer à pourrir le mandat de Trump. »
📽️Debriefing à 5 jours des élections américaines avec Antony Lacoudre, avocat : « Les médias qui font croire que la course est serrée ne sont pas très honnêtes avec leur public ». https://t.co/ZoEpUxq0q9
— France-Soir (@france_soir) October 31, 2024
À Maurice, à 10 jours des élections, Pravind Jugnauth, le premier ministre sortant, a fait suspendre l’usage des réseaux sociaux du 1ᵉʳ Novembre au 11 novembre (le lendemain des élections) au motif d’un danger à la nation... Avant de revenir en arrière... et d’invoquer une « cyberattaque » sur les services du gouvernement, et d’indiquer que les réseaux sociaux seraient rétablis dès que possible. Les observateurs locaux et internationaux sont unanimes : ceux qui sont au pouvoir sont prêts à tout pour le conserver. Cela fait écho aux paroles de Robert Kennedy Jr, le 19 avril 2022, dans son interview pour France-Soir : « Résistez, résistez, car une fois qu’ils ont le pouvoir, ils ne le rendent jamais. »
MAURICE: le gouvernement a fait basculer le pays dans un no mans land inquiétant en décrétant le blackout sur les réseaux sociaux entre le 1 nov et le 10 novembre jour des élections législatives.
🔹️Les mauriciens ne peuvent plus accéder et échanger des informations sur les rs…— Xavier Azalbert FreeSpeech 🇧🇷 🇫🇷 (@xazalbert) November 1, 2024
Quant à Ursula von der Leyen, il ne fait plus aucun doute qu’elle n’a pas fait allégeance à la transparence ni à l’intégrité telle qu’elle le prétend quand elle n’est que face à des pseudos journalistes qui eux-mêmes trahissent le devoir numéro un de la charte de Munich de dire la vérité quoi qu’il leur en coute. Après avoir parlé en long et en large des RKI files, le Berliner Zeitung n’est plus dupe sur la volonté de ne pas faire la transparence sur les contrats des vaccins covid : « Accord Pfizer, Ursula von der Leyen refuse de fournir des informations au Parlement européen ». L’idéal européen n’est plus de servir le peuple tel que cela se devrait, mais de se servir de sa position comme bon lui semble.
🇩🇪 Dans le @berlinerzeitung on peut lire : Accord Pfizer : Ursula von der Leyen refuse de fournir des informations au Parlement européen
La Commission européenne fait appel de deux décisions qui auraient contraint Ursula von der Leyen à être plus transparente. L’opposition au…— Xavier Azalbert FreeSpeech 🇧🇷 🇫🇷 (@xazalbert) November 1, 2024
Et, en France, dans le petit milieu des observateurs politiques qui sont fans de Star Wars, la ressemblance entre Jean-François Copé et le sénateur Palpatine, alias « Dark Sidious », Seigneur Noir des Sith, est une évidence manifeste. Le personnage de Palpatine et non pas Ian McDiarmid, l'acteur qui l'interprète.
Pourquoi ? Parce que pour Copé la ressemblance est aussi tout d'abord physique. Alors que pour toutes les personnes présentes dans la photo en titre, elle est également politique : stratégie, posture, positionnement, discours et méthode de fonctionnement. Là aussi, la ressemblance est vraiment frappante.
En effet, c'est aussi en utilisant la maîtrise de ce que dans Star Wars on appelle « le côté obscur » (manipulations, mensonges, propagandes, inversions accusatoires, organisation des crises et Cie.), leurs talents d'homme ou femme politique et leur connaissance des rouages des Institutions qu'ils sont censés servir, qu'ils en deviennent finalement le chancelier suprême. En France, cela s'appelle « la République » ! Bien sûr, cela s'applique aussi à tous ces politiques qui sont depuis longtemps passés du côté obscur de la force en travestissant la vérité pour lui faire porter les habits de mensonges.
Comment ? En se présentant faussement au peuple comme son sauveur, la seule option possible pour remédier au chaos dans lequel le peuple s'est retrouvé, un chaos qu'ils ont eux-mêmes instauré à cette fin machiavélique, par le truchement de ces viles manœuvres auxquelles ils procèdent en secret. Dans l'ombre. Oublié la transparence et l'intégrité dont ils se revendiquent
Et voici en quoi réside l'essentiel de la difficulté dans ce type d'entreprises diaboliques.
Les traîtres à la confiance du peuple que sont, respectivement, dans « Star Wars » et dans la réalité, les Seigneurs Sith et les dirigeants politiques, ces messieurs dames doivent dissimuler au peuple, à la fois leur identité sociale véritable (1) Ainsi que le véritable « Parce que c'est notre projet ! » qu'ils ont pour le peuple.
Ce projet de domination totale et irréversible du peuple, et qui comporte également, malheureusement pour les huit milliards d'habitants que nous sommes sur la planète Terre, un volet « réduction drastique de l'empreinte humaine sur la planète » qui lui, hélas, ne consiste pas en un film de science-fiction.
Jean-François Copé est parfaitement au fait de cette immixtion tristement bel et bien 100% patente de la science-fiction dans la réalité qui est la nôtre, actuellement, mes chers compatriotes.
Pardi !
Jean-François Copé a hautement œuvré à ce que l'avènement de ce « Parce que c'est notre projet ! » fût possible, tant en tant que député et ministre que haut fonctionnaire, et surtout comme Président de l'UMP. Le parti politique qui a permis l'accession à l’Élysée d'un Nicolas Sarkozy, qui est ensuite devenu le marionnettiste d'Emmanuel Macron : la marionnette politique qui a reçu pour mission « intergalactique », de finaliser la mise en place de ce « Parce que c'est notre projet ! »
Sachant être une des marionnettes politiques qui va retirer un bénéfice éminemment substantiel de la finalisation en cours d'achèvement de ce « Parce que c'est notre projet ! », et pour ce, Jean-François Copé a fait ceci, hier, mardi 29 octobre 2024.
Il s'est invité au Figaro, l'organe de presse officiel du parti « UMP » devenu « Les Républicains » (histoire d'effacer par ce changement de nom et la clémence des juges, l'ardoise que Nicolas Sarkozy a laissée aux Français avec le financement délictuel de ses deux campagnes présidentielles), et a déclaré ceci (2) :
« Comme beaucoup de responsables politiques de ma génération, je suis très préoccupé par la folie qui s’est emparée de l'Assemblée nationale.
Depuis le début de ce triste mois d’octobre, les ménages et les entreprises sont à l’arrêt : il n’y a plus d’investissements, plus de consommation, plus d’embauches. Il faut tirer la sonnette d’alarme. Cette malheureuse dissolution a ouvert un boulevard à 319 députés extrémistes irresponsables qui s’adonnent à un délire fiscal sans aucune baisse des dépenses.
De l’autre côté, il y a une coalition gouvernementale fragile, qui, au lieu de faire bloc, s’autodétruit à force de règlements de comptes. Après la crise politique, il y a désormais le risque d’une crise financière majeure pouvant engendrer une crise sociale et, in fine, institutionnelle. »
Et après son blabla alarmiste style « Il faut sauver le soldat Barnier » de moralisateur à deux balles, il a terminé par un avertissement solennel.
Cet avertissement que Jean-François Copé a formulé en ces mots pour le grand public « si un malheur arrive à ce Gouvernement, le pays sera instantanément plongé dans le chaos » doit donc en réalité se traduire par l'avertissement qu'il a été chargé de transmettre à ses collègues marionnettes politiques, par le Grand Maître des Seigneurs Sith de fait, 100 % authentiques que sont les tenanciers du pouvoir, occultes, mais véritables, qui tirent les ficelles en coulisses.
Cet avertissement intervient consécutivement au fait qu'à force de les voir se chamailler en public, les marionnettes politiques, autour des différentes recettes et dépenses du projet de loi de finances, les Français commencent à se poser des questions. Des questions sur l'utilisation faite, concrètement, par nos politiciens, de ces centaines de milliards d'euros d'impôts en tous genres auxquels ils nous astreignent, et notamment ces deux questions-ci :
« Où va l'argent ? » et « Dans les poches de qui il atterrit, finalement, en vérité ? »
Entre initiés, les marionnettes politiques pratiquent ce qu'elles dénomment « le langage des oiseaux », à savoir grâce à des métaphores qu'il faut interpréter à l'aune de ce qui les préoccupe.
Ainsi voici ce que donne, en langage de la rue, cet avertissement (je vous le remets pour rappel) « Si un malheur arrive à ce Gouvernement, le pays sera instantanément plongé dans le chaos » que Jean-François Copé a formulé à ces collègues politiciens parasites en langage des oiseaux :
« Voilà ce que nous ferons si les gueux s'aperçoivent qu'on est en train de les dépouiller petit à petit d'absolument tout ce qu'ils possèdent : nous viderons la caisse d'un coup et définitivement. »
Oui. Exactement comme la supplique de Yaël Braun-Pivet (2) « la démocratie est un bien précieux et j'invite chacun à ne pas la fragiliser » était le message d'avertissement qu'elle a adressé à ses collègues députés pareillement en langage des oiseaux :
« Notre caisse est un bien précieux et j'invite chacun de mes complices à la vider discrètement. »
À cette petite différence près néanmoins, que Yaël Braun-Pivet prêchait, elle pour sa propre paroisse et à son initiative. À savoir que, tenant à pouvoir continuer à taper lourdement dans la caisse (comme tous les autres parasites politiques étatiques), elle a rappelé à ses collègues députés qu'il fallait faire cela avec discrétion, sinon les Français allaient finir par s'en apercevoir. Et voici quelle aurait été, en langage de la rue, la précision que Yaël Braun-Pivet aurait ajoutée concernant ce qu'en langage des oiseaux, ils appellent à cet égard « l'apocalypse » (la révélation) :
« Et auquel cas, attention !
Non seulement on ne pourra plus taper dans la caisse, mais de plus ils vont nous couper la tête.
Rappelez-vous comment ont procédé en 1789, ceux qui ont mis en place le système grâce auquel, 235 ans plus tard, nous continuons à nous goinfrer sur le dos des Français, grassement et en toute impunité. Ils ont décapité tous les membres de la caste politique alors au pouvoir. Les Français ne sont pas plus bêtes que nous, ils sont juste ignorants de la réalité. Si jamais ils en prennent conscience, nous sommes morts ! »
Bref, pour Yaël Braun-Pivet et Jean-François Copé... les masques tombent, ainsi que ceux de tous les autres, Kamala Harris et le premier ministre Mauricien Pravind Jugnauth ! Et, ne parlons pas de celui de Macron tombé depuis longtemps. Même si pour Emmanuel macron, on va de surprise en surprise avec sa volonté clairement affichée d’enfreindre la loi sur la séparation de l’église et de l’État en imposant de faire un discours à l’intérieur de la cathédrale. L’article 35-1 de la loi du 9 décembre 1905 indique qu’« il est interdit de tenir des réunions politiques dans les locaux servant habituellement à l'exercice d'un culte ou dans leurs dépendances qui en constituent un accessoire indissociable. » Verra-t-on une plainte émaner de Français, choqués par cet acte ? Même les rois de France n’ont pas osé. C’est bien le même combat.
D'où le titre de mon édito de demain, édito que je vous ai déjà annoncé dans un édito précédent « On veut les comptes » : « Il est l'heure de se réveiller ! »
1) par identité sociale véritable, j'entends la place qui est réellement la leur dans la société, à savoir leur appartenance au complot permanent à l'encontre du peuple, eux qui affirment fallacieusement servir le peuple, œuvrer dans l'intérêt du peuple, etc.
2) et il a récidivé le lendemain sur CNEWS : https://www.europe1.fr/politique/si-le-gouvernement-barnier-est-renverse-il-ny-a-plus-de-solution-institutionnelle-estime-jean-francois-cope-4275843
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