C’est la crise, mais pas pour tout le monde

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Xavier Azalbert, France-Soir
Publié le 11 mars 2024 - 14:32
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Malbrough s'en va en guerre, mironton, mironton, mirontaine...
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EDITO - Leur petite entreprise ne connaît pas la crise 

Au contraire. Elle en profite de "la crise." Et pour cause !

Vu sur les réseaux sociaux : "Si vous permettez aux politiciens de violer vos droits en temps de crise, ils créeront des crises pour violer vos droits".

Ce que politiciens et médias nous vendent comme étant "la crise", est en fait le leurre économique utilisé par ceux qui nous dirigent, pour mener à bien le "Parce que c'est notre projet" qu'ils ont pour la population. Après une étatisation des droits entraînant le contrôle des droits, l’exploitation des ressources humaines menant à une servitude volontaire, le projet exterminateur de nos libertés, que j'ai dénommé en titre "leur entreprise", pour coller à la chanson éponyme d'Alain Bashung : « Ma petite entreprise » (ne connaît pas la crise). Et peut-être pire encore, car le président Macron nous amène à la guerre en oubliant que son rôle de président d’un pays signataire de la charte des droits de l’homme de l’ONU est justement de ne pas faire la propagande de la guerre, qui est interdite par la loi. En sus, il balaye d’un revers de la main une de nos principales forces : la diplomatie et l’Art du compromis.

Démonstration.

Cela fait 51 ans non-stop (depuis 1973, l'augmentation du prix du pétrole) que soi-disant "la crise" est la cause de tous les problèmes de la France et des Français, et ceci quels que soient les politiciens au pouvoir, et quels que soient les paramètres avancés fallacieusement par la propagande étatique, comme étant les raisons qui font que "C'est la crise !"

Et à chacune de ces soi-disant "crises", les politiciens rognent les libertés publiques et les libertés privées, augmentent les impôts, et en créent de nouveaux. De quoi asphyxier tous nos degrés de liberté.

C'est parce que « la crise » n'est pas une conséquence du système. Non ! « La crise » est le système. Le système qui a été mis en place, en 1973, par les tenanciers véritables du pouvoir en France que sont les banques et les patrons du CAC40, pour pouvoir, à terme, enfermer le peuple dans une dépendance sociale et économique, qui en d’autres temps se serait appelée "esclavage" afin d’exercer sur lui un contrôle quasi-total sous forme "d’une apparente liberté", et lui voler tout ce qu'il a. (1) Ils s'y livrent petit à petit, lentement mais sûrement, car en faisant plus rapidement, le peuple se révolterait. Une version proche, de la fable de la grenouille plongée dans l’eau tiède, qui ne se rend pas compte que l’eau monte en température et finit ébouillantée.

51 ans plus tard, ce sont toujours les mêmes familles qui tirent les ficelles en coulisses.

Afin que le peuple ne voie pas ce qui se passe, et pense (à tort) toujours être « en démocratie ». Les parrains de cette organisation criminelle, que certains appellent le Cartel Covid, changent régulièrement leurs marionnettes, ces politiciens placés  aux postes stratégiques du pouvoir officiel, et à la tête d’une prétendue opposition.

Sans exception, ces politiciens véreux sont là pour servir le "Parce que c'est notre projet !", politiciens que d’autres n’hésitent pas à appeler "mafia". Et ce projet est en cours de... finalisation.

Hélas pour nous, après Charles de Gaulle, nous avons eu Georges Pompidou, Valéry Giscard d'Estaing, François Mitterrand, Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande. Cette fois-ci, c'est Emmanuel Macron, et il est en train de parfaire le boulot. De mettre le dernier coup de collier à cet ouvrage despotique et mortifère au possible, tant par nature que par destination.

Oui. Emmanuel Macron s'emploie à clôturer cette longue période de crise artificielle ininterrompue, en suivant le plan de route que les "parrains de cette Cosa nostra" donnent à leurs marionnettes, à chaque fin de cycle du système d'exploitation et d'asservissement des peuples qu'ils ont mis en place, et qu'ils utilisent pour asseoir leur domination toujours un peu plus : entraîner le pays dans la guerre militaire, une guerre au terme de laquelle il sera détruit.

Et ainsi ce système inique et odieux pourra être reconduit, une fois de plus, pour un nouveau cycle, selon sa règle de réitération inchangée depuis 1789 : "Tout détruire pour tout reconstruire."

Tout détruire avec à chaque fois des morts à foison parmi la population, les gueux que nous sommes tous, les Français, pour les membres de cette nouvelle noblesse autoproclamée "La France d'en haut." Celle des élites qui ont progressivement trahi le peuple afin de préserver son petit près carré, faisant la sourde oreille, ne voulant pas voir la souffrance de leurs congénères. Et ces personnes vont même s’en confesser, tellement le mensonge devient difficile à porter. Je connais bon nombre de ces personnes, faisant usage courant du mensonge pour garder leur place dans cette société, allant jusqu’à partir dans le désert avec un prêtre sans raconter à leurs lecteurs qu’ils ne sont pas vaccinés alors qu’ils leur avaient recommandé de le faire. (Illustré dans cet édito : quand tu as tout, tu es prêt à tout pour ne pas tout perdre)

Alors quand il s’agit de la crise, des crises, on peut se rappeler les derniers mots de l’édito le prix du sang le gout du sucre: "cependant à plusieurs reprises, l’histoire a montré qu’il arrive que des peuples se réveillent. Et ce n’est jamais dans un bain de sucre que cela se termine ". Qui n’est pas sans rappeler les derniers mots de l'hymne de "la République" (2) de France, la Marseillaise : "Qu'un sang impur abreuve nos sillons."

Pardi !

Le sang qui est « pur », c'est le sang des nobles, des membres de la noblesse, aujourd’hui de l’élite. Ceux qui cherchent la vie éternelle à travers le transhumanisme nécessitant une inversion des valeurs et l’usage d’inversions accusatoires afin de garder bonne conscience.

Le sang  "impur ", c'est celui du peuple, des gueux.

Voilà ici une interprétation de ce que signifie "qu'un sang impur abreuve nos sillons" que nous font chanter, béats, ceux qui, à cet effet pervers, ont fait de la Marseillaise, l'hymne de la République de France :

"Pour que les nobles puissent continuer de régner sur le pays et de bénéficier de tous les privilèges que leur offre la République, il faut que les gueux se tuent au travail et qu'ils crèvent à la guerre."

Cela semble, malheureusement être la vérité : il s'agit du monde dans lequel nous vivons depuis 235 ans. Et Robert Kennedy Jr, candidat à l’élection américaine de 2024, le rappelle lors d’une interview : « résistez, resistez, résistez car quand ils ont le pouvoir, ils ne le rendent jamais ».

 

 

Toutefois, c'est lorsqu'il est en fin de cycle, "À bout de souffle" (3), que ce système est vulnérable au plus haut point.

Parce que la guerre militaire autodestructrice étant l'étape finale obligatoire pour repartir pour un nouveau cycle de ce système, il suffit au peuple, pour s'extirper de ce système, de refuser la guerre. La refuser par tous les moyens. La seule et unique guerre que peut et doit livrer le peuple, indispensable à sa survie, c'est celle qu'il lui faut mener en permanence et sur tous les fronts, contre ceux qui s'emploient à réduire ce peuple en esclavage, à l'exploiter, le tromper, abuser de lui, traitant la population comme un cheptel, le cheptel humain qu'ils conduisent à l'abattoir chaque fois que cela sert leurs intérêts privés, vils et criminels.

La finalité du cycle que "Guibord Macron s'en va-t'en guerre" s'efforce d'achever présentement, étant notre décimation : peuple de France, c'est le moment ou jamais de réagir. D'agir ! Ayons le courage de la Paix, retrouvons l’Art du compromis.

 

(1) Le Conseil européen, la Commission européenne et l'OMS les y aident beaucoup depuis 2008.

(2)  "La République" est la dénomination que cette mafia criminelle a donnée à ce système.

(3) Titre du film de Jean-Luc Godard qui a lancé ce qu'on a appelé  "la nouvelle vague " du cinéma français. Sachons en créer une, de vague, politique, économique, sociale et idéologique, qui fera triompher les intérêts du peuple, et surfons sur elle jusqu'à la victoire.

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