"TPMP" : pour Tex, "on ne peut pas renvoyer quelqu'un pour une blague"

Sur le plateau de "Touche pas à mon poste" lundi soir, Tex a évoqué son renvoi de France Télévision confiant que ça lui avait fait de la peine. L'ex-animateur des "Z'amours" a toutefois rassuré ses fans en expliquant qu'il allait bien et qu'il allait de l'avant.

Venu faire la promotion de son nouveau livre sur le plateau de Touche pas à mon poste, lundi 9 au soir, Tex a été interrogé sur son renvoi de France Télévisions, un sujet qu'il n'avait visiblement pas envie d'évoquer. "Je n'ai pas envie de parler de ça", a déclaré l'ex-animateur des Z'amours avant de faire un part brièvement de ses ressentis. "Bien sûr que ça m'a fait de la peine, c'était mon bébé, j'avais le sentiment d'être dans une famille".

Expliquant qu'il avait appris son renvoi "par recommandé", il a laissé entendre qu'il n'avait toujours pas digéré son éviction: "C'est hallucinant cette histoire, je suis venu raconter une blague, je suis encore scotché sur ça, on ne peut pas renvoyer quelqu'un pour une blague. Avec un tel ramdam, faudrait être un abruti pour refaire la même blague (...)", a-t-il expliqué précisant qu'il allait désormais de l'avant: "J'ai pas envie de regarder derrière, je remercie France 2 de m'avoir fait confiance pendant 17 ans (...) Tout va bien".

En novembre dernier, il avait choqué de nombreux internautes en faisant une plaisanterie jugée sexiste et de très mauvais goût. "Les gars, vous savez ce qu’on dit à une femme qui a déjà les deux yeux au beurre noir? On ne lui dit plus rien, on vient déjà de lui expliquer deux fois!", s'était-il exclamé devant Julien Courbet et de nombreux chroniqueurs, provoquant immédiatement une vague d'indignation sur les réseaux sociaux.

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Depuis cette polémique et son renvoi de France Télévisions, Tex a sorti un livre de blagues pour les WC qui visent notamment "les voisins, les voisines, les cousins, les cousines" ou encore "les beaufs en tout genre". Un moyen de faire comprendre qu'aucune personne ne l'empêchera de s'exprimer.