Photos Hollande-Gayet : "Voici" nie tout recours à un drone ou à une "taupe"

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AS
Publié le 21 novembre 2014 - 16:45
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Julie Gayet et François Hollande font la Une de l'hebdomadaire "Voici"'
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"Voici" publie ce vendredi des photos volées du couple François Hollande-Julie Gayet.
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De nouvelles photos de l'idylle entre François Hollande et l'actrice Julie Gayet ont été dévoilées dans l'hebdomadaire "Voici" ce vendredi. Plusieurs hypothèses sur l'origine des photos sont à l'étude.

Le magazine people Voici a dévoilé ce vendredi 21 des clichés de l'actrice Julie Gayet et de François Hollande dans les jardins privés de l'Elysée. Deux clichés assez flous où on voit le couple assis côte à côte autour d'une table en bois. Alors que ces derniers mois des rumeurs de séparations avaient été évoquées épisodiquement dans la presse, le couple semble toujours tenir, dans la discrétion.

Selon l'écrivain Robert Schneider (Premières dames Ed. Perrin), interviewé par Le Figaro, "si cela ne crée pas de scandales, je crois que les Français sont prêts à accepter" que François Hollande ait une relation plutôt libre avec Julie Gayet, loin de l'image des femmes de président incarnées par Ivonne de Gaulle et Bernadette Chirac.

Après l'effervescence suscitée par la parution des photos est rapidement venu le temps des questions. Comment et d'où ont pu être pris ces clichés volés?

Ces photos n'ont "pas été prises de l'intérieur" du Palais de l'Elysée "ni par un drone" a certifié Marion Alombert, la rédactrice en chef de l'hebdomadaire. "Elles ont été prises par au-dessus mais pas du tout par un drone, on n'utilise absolument pas ce genre de méthodes. C'est vraiment un mythe les drones de paparazzi" a simplement glissé la journaliste sur BFM TV.

L'hypothèse d'une photo prise depuis un balcon voisin a également été émise, au vu de la mauvaise qualité des photos. S'il est établi qu'un objet volant, type drone, a saisi le couple dans un moment d'intimité, la question de la sécurité du président de la République sera abordée. 

Ce vendredi à la mi-journée, aucune expertise n'avait encore permis d'établir précisément l'origine des photos.

 

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