" L’OMS n’a pas agi dans l’intérêt des populations, pourquoi donc lui faire confiance en transférant notre souveraineté sanitaire pour de nouvelles pandémies " - Joseph Tritto

La covid, "on en a mangé à toutes les sauces" diront certains, cependant au cours de la dernière année, de nombreuses avancées informationnelles ont été faites et il est toujours bon de faire un point. C’est dans ce but que nous recevons le professeur Joseph Tritto, chirurgien et auteur du livre "La chimère qui a changé le monde". 

Scientifique reconnu internationalement, il préside depuis 2000 la WABT (World Alliance for Biomedecine & Technology) un organisme créé en 1997 sous l'égide de l'Unesco, ayant pour mission de s'occuper du transfert de technologie médicale aux pays en voie de développement. Il s'est donc intéressé au développement des biotechnologies permettant la recherche de traitements médicaux et par extension au développement d'agents bactériologiques à usage militaire à travers les expériences de "gains de fonction". 

Dans cet entretien essentiel, nous revenons sur l’origine du virus de la covid et ce que l’on sait aujourd’hui de manière claire et limpide qui éclaire le narratif plutôt obscur que l’on nous a servi en 2020. Telle la police scientifique qui permet d’éclairer un crime, petit à petit à travers diverses actions aux Etats-Unis comme les fameux FOIA (demande sous la loi de la liberté d’accès à l’information) équivalent de la CADA (commission d’accès aux documents administratifs) en France, mettent à jour l’origine militaire du virus et pointent vers la DARPA (l'Agence pour les projets de recherche avancée de défense aux États-Unis).Tritto explique le rôle de Moderna et de Pfizer dans le déploiement des solutions vaccinales ainsi que les actes géopolitiques qui se sont déroulés. 

Enfin il évoque la volonté de l’OMS de se doter d’un outil de contrôle des pandémies afin de répondre à de futures pandémies. 

Ce samedi 4 mai 2024, de nombreuses associations dont Coalition Européenne (le Pr Tritto en est le président) se retrouvent place Vauban pour demander la suspension et le retrait de ce traité de pandémie qui transfèrerait une grande partie de notre souveraineté à un organisme qui n’a pas montré agir dans l’intérêt des populations au cours de la récente crise sanitaire.