Gouvernement d’un vendredi 13, Bayrou y marche du pied gauche
Il attendait ça depuis longtemps, son heure est venue…
Pas si sûr que cela dure. Celui en qui on n'a pas forcément confiance en politique, mais faute de grive on mange des merles, arrive à point nommé, car il paraît que Le Drian n’a pas voulu de la patate chaude. Mais qui en voudrait ?
Plus centre mou, tu meurs… ce n’est pas certain qu’il fasse l’unanimité. Tout comme Barnier, lui n’a jamais rien fait, la politique est son métier et il en a vécu et pas trop mal. Son bâton de maréchal pourrait bien être un bâton merdeux, la conjoncture n’est pas très bonne.
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N’était-ce pas lui qui traitait Macron d’”hologramme, derrière lequel la finance prenait le pouvoir”.
Humiliation suprême, comme pour Darmanin qui affirmait que Macron serait le "poison définitif" d'un "pays malade", ou Philippe qui, de Macron disait, “celui qui n'assume rien, mais promet tout", voire de Le Maire, « “Macron, c'est de la soupe”… Tous seront venus manger dans la main du maître quand celui-ci leur aura ordonné. Perversion suprême du palais dans une jouissance peu retenue…, avec déglutissage d’amour-propre.
Comme le disait l’adage, l’amour propre ne le reste jamais très longtemps. Ils auront été les Kleenex d’un pouvoir qui les a instrumentalisés sur le chemin d‘une Europe de non élus, dictature d’une volonté à la sauce du World Economic Forum.
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