"Emmanuel Macron est un psychopathe amoral", selon le psychiatre italien Adriano Segatori
Après un quinquennat marqué par deux crises majeures (celles des Gilets jaunes et du Covid-19), le démantèlement du système de santé (5 700 lits d’hôpitaux supprimés en 2020, environ 15 000 soignants suspendus), 600 milliards de dette, un rapport dette/PIB de 120 %, des scandales tels que l'affaire Benalla, McKinsey et Rothschild, et un mépris affiché envers les Français, il est intéressant d'essayer de comprendre qui nous gouverne. Le professeur et psychiatre italien Adriano Segatori s'est attelé à la lourde tâche d'analyser Emmanuel Macron. À travers deux vidéos (la première parue en 2017 et l'autre en 2022), il livre quelques pistes...
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Une enfance difficile ?
Le psychiatre commence par expliquer que pour construire son analyse, il s’est appuyé sur la biographie revendiquée par Emmanuel Macron, ainsi que des photographies du président. Le professeur poursuit avec une déclaration choc : selon lui, Emmanuel Macron aurait été agressé sexuellement à 15 ans, par sa professeure de théâtre de l’époque, qui avait alors 39 ans et qui n’est autre que Brigitte Macron, son épouse actuelle.
Loin de la "romance à l’eau de rose" entre une professeure et son élève, il s’agirait plutôt d’un "mariage réparateur" d’un viol, l'acte en soi ayant empêché Emmanuel Macron de grandir de façon normale et l’aurait transformé en un "enfant dans un corps d’homme". Selon lui, la source de la psychopathie du président français est donc liée à un problème de pédophilie. Et, ce dernier ayant dépassé "les tabous" en se mariant avec sa professeure de théâtre de 24 ans son ainée, il est devenu omnipotent : plus rien ne pouvait l’arrêter. Si bien qu'il ne voit pas de problème à favoriser les personnes qui l’aiment et lui obéissent, tout en détruisant ceux qui lui résistent. "Un narcissisme qu'il n'est pas interdit de définir comme malveillant", avance le professeur.
Ensuite, le psychiatre explique qu'en plus de cela, Emmanuel Macron nourrit depuis sa plus tendre enfance une ambition hors norme, ce qui lui a permis d’atteindre les plus hautes sphères de l’État, notamment grâce à son passage au Forum économique mondial.
Les paradigmes d'Emmanuel Macron
En somme, dès 2017, Adriano Segatori identifiait trois paradigmes qui définissent le personnage :
- L’idée qu’il n’existe pas de limites ;
- Un sentiment d’omnipotence dès l’enfance, encore plus présent chez l’adulte ;
- Un narcissisme malveillant.
Ces trois paradigmes structurent la psychopathie, organisation psychique qui selon le psychiatre, correspond parfaitement à Emmanuel Macron.
Il poursuit sa description en expliquant que le psychopathe "n’est pas digne de confiance, mais réussit à travers la fascination qu’il exerce à convaincre son interlocuteur, il n’a par ailleurs aucun remords". Dans une interview accordée à TF1 à la mi-décembre 2021, Emmanuel Macron a déclaré qu’il aurait pu éviter certaines formules "terriblement blessantes", voire qu’il en regrettait certaines... Aussitôt après, début janvier 2022, il déclarait avoir "envie d’emmerder les non-vaccinés", ajoutant "qu’un irresponsable n’est plus un citoyen". On croit difficilement à ses mea culpa...
Adriano Segatori concluait sa première analyse en donnant les trois raisons principales qui font d’Emmanuel Macron un danger :
- Comme tous les psychopathes, Macron a une haute idée de lui-même ;
- Emmanuel Macron n’aime pas la France et ne lutte pas pour le peuple de France ;
- Emmanuel Macron s’aime énormément et lutte pour maintenir sa fragile identité.
"Évaluation de psychopathie"
Cinq ans plus tard, le psychiatre italien confirme son premier diagnostic en affirmant qu'il s'agit clairement d’une "évaluation de psychopathie".
Selon lui, "Emmanuel Macron dispose d’un QI élevé, d’une grande culture, une capacité de communication incisive, un charisme évident bien que superficiel et une grandeur qui le porte à une absence de limites, une grande capacité de manipulation, une absence totale de sentiment de culpabilité, du cynisme et une grande capacité de mimétisme". En outre, il va plus loin dans son analyse, puisqu’il considère que le "souverain jupitérien" constitue un danger non seulement pour les Français, mais également pour l’Italie et l’Europe tout entière, sachant qu'il préside aujourd'hui le Conseil de l’Union européenne. Adriano Segatori déclare ensuite que "Macron peut réunir ses forces contre la France comme Mario Draghi réunit ses forces contre l’Italie".
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Il prend l’exemple du sommet européen à Versailles des 10 et 11 mars, qui a donné l’occasion au président réélu de faire une démonstration ostensible de son pouvoir, "une autocélébration et une exposition autocratique de son pouvoir". Une amie du psychiatre avait suggéré le néologisme de "syndrome Napoléon" pour désigner Emmanuel Macron à ce moment-là : un narcissique incapable d’admettre qu’il a pu échouer, car cela reviendrait à remettre en cause son moi profond et causerait une blessure narcissique indélébile.
Dans sa seconde vidéo, Adriano Segatori répète que "Macron n’a pas de morale", qu'il est un "prédateur" qui doit réussir à immobiliser une proie. Symboliquement, ce peut être la France, ou les Français... qu'il met justement en garde. Selon lui, un être doué de raison devrait avoir peur quand un président déclare : "Nous limiterons l’accès à la vie sociale des non-vaccinés". Ceux qui ne vont pas dans "le sens du bien", autrement dit les Gilets jaunes, les non-vaccinés ou encore les anti-passes sanitaires, semblent être ses adversaires, ses proies. Emmanuel Macron poursuit un but sans s’embarrasser de considérations morales et éthiques et écrase ceux qui n’adhèrent pas à sa politique.
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