On a tiré sur le Président  !

Auteur(s)
Xavier Azalbert, France-Soir
Publié le 16 juillet 2024 - 15:00
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On a tiré sur le président Trump
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Wikimedia Commons / ChurchPOP
On a tiré sur le Président !
Wikimedia Commons / ChurchPOP

EDITO - C'est sur l’ex-Président américain Donald Trump qu'on a tiré, samedi 13 juillet 2024 dans l’après-midi, lors d’une réunion de campagne en Pennsylvanie.

Prendre pour cible, avec une arme à feu, le Président, est hélas une tradition somme toute logique, aux États-Unis, aucun Président américain n'ayant véritablement œuvré en faveur de la suppression du second amendement : « Une milice bien organisée étant nécessaire à la sécurité d'un État libre, le droit du peuple de détenir et de porter des armes ne doit pas être transgressé. »

Mais, à qui profite le crime ?

Telle est la question qu'il y a obligatoirement lieu de se poser, pour pouvoir déterminer au mieux quels sont les tenants et les aboutissants (les responsabilités et les mobiles) de ces tirs. Les scénarios fusent sur les réseaux sociaux, allant du mépris des médias dans leurs titres (comme Libé qui tente de faire croire que Trump attiserait la violence, ou le New York Times qui évoque de simples égratignures,…). Cependant, en réponse à la question, trois possibilités semblent s'imposer comme pouvant être de bon sens :

  • la version officielle ;
  • la version des partisans de Donald Trump ;
  • la version des complotistes radicalisés dernier échelon (y compris ceux qui comme Tristan Mendes France s’autoproclament chasseur de complots, mais en deviennent complotistes eux-mêmes tel un pompier pyromane).

La version du faux attentat étant celle qui, en l'état, réunit le moins de personnes, tant en nombre qu'en pourcentage des avis formulés, je la traiterai en dernier. Et la version officielle étant à l'opposé concernant ces deux critères de crédibilité, je commence par celle-ci.

En quoi consiste la version officielle ?

Le tireur a agi seul et à sa propre initiative. Le FBI semble même opter pour ce narratif !

Il s'appellerait Thomas Matthew Crooks, même si certains sur les réseaux sociaux questionnent que ce soit bien cette personne. C'est un américain de 20 ans. Il est originaire de Bethel Parc, au nord-est de la Pennsylvanie. On ignore pourquoi il a voulu assassiner l'ex et futur (?) Président américain. Et, sans doute ne le saura-t-on jamais, puisqu'il a été abattu par un tireur d'élite des services secrets américains, l'entité en charge d'assurer la sécurité des ex-Présidents américains. Une entité qui aura bien manqué de diligence à cette occasion, Elon Musk lui-même appelant à des sanctions ou la démission de leur chef.

Il était positionné à environ 140 mètres de la tribune où se trouvait Donald Trump, allongé sur le toit d'un hangar, et il a fait feu à 5 ou 6 reprises avec un fusil automatique de type AR15 (2), touchant Donald Trump à l'oreille, et blessant grièvement trois personnes derrière lui, dont une mortellement.

Cette version des faits a été validée par les médias mainstream, tant américains qu'étrangers, par tous les chefs d'État du monde. Emmanuel Macron ne communiquera à ce sujet que le dimanche matin et sera donc bien plus lent que Viktor Orban, premier ministre de la Hongrie et actuel président de l’Union européenne qui lui twittera un message de soutien peu de temps après l’attentat. Ursula Von der Leyen, Présidente de la Commission européenne et VRP en chef des laboratoires Pfizer pour l'Union européenne si l’on en croit la plainte pénale du lobbyiste Frédéric Baldan, marquera aussi son soutien du bout des lèvres. Il est vrai qu’en Europe l’attention était plutôt à trouver des raisons à réduire la présidence tournante de l’UE de Viktor Orban pour condamner le Tour de la Paix qu’il a entrepris en allant rendre visite à Vladimir Poutine, Xi Jinping et Donald Trump. La paix ne semble pas vue d’un très bon œil par les leaders européens.

Alors, n'y a-t-il pas dès lors matière à s'interroger, à douter de l'authenticité de cette version ?

Oui. La version officielle du Covid, ayant été pareillement validée par tous ces messieurs et dames, je suis enclin à penser qu'il est légitime d'avoir un doute.

Donc, intéressons-nous aux éléments qui vont à l'encontre de la véracité de la version officielle.

Premièrement, l'endroit d'où le tireur aurait fait feu.

Site de tir

Comment le tireur aurait-il pu voir Donald Trump, alors que des gradins plus hauts que la tribune où il se trouvait, étaient sur la trajectoire ? Et c'est sans lunettes de visée, et avec des lunettes de vue que cet homme dénué d'expérience dans le tir de précision aurait escompté faire mouche à 140 mètres de distance ? C'est un peu présomptueux, même si un tireur d’élite confirme que cela est du domaine du possible.

De plus, il était en contrebas d'une pente de toit le protégeant des tireurs d'élites des services secrets censés l'avoir abattu après qu'il eut tiré. Comment alors ont-ils pu le faire ?

Deux choses sont avérées : il y a eu des coups de feu, 5 ou 6, et outre Donald Trump qui aurait été très légèrement blessé à l'oreille droite par l'un d'eux, deux personnes ont été grièvement blessées, elles, et une personne a été mortellement atteinte, Corey Comperatore, un ancien chef des pompiers.

 

Néanmoins, en l'état actuel des investigations, nulle expertise balistique n'a été effectuée, qui établit formellement que ces blessures ont été causées avec l'arme à feu qui, d'après la version officielle, aurait été utilisée par le tireur désigné. Le présumé tireur avait aussi été vu quelques moments auparavant avec un télémètre. Ce qui alimentera bien sûr les questions sur la responsabilité des services de protection.

Et j'ajoute cette remarque qui m'a été faite par une personne éminemment qualifiée en armes à feu, confirmée par deux autres spécialistes que j'ai contacté à cet effet :

« Vu le bruit des détonations, je pense plutôt à du calibre 22 LR HV (« high velocity »), c'est-à-dire des cartouches ayant quasiment le double de poudre qu'un calibre 22 classique. C'est un projectile non-létal à cette distance, sauf en pleine tête, et surtout on peut l'utiliser uniquement avec une arme au canon long, et non pas un AR15 (2) du type que le tireur utilise sur les images à notre disposition. »

Voilà pour la version officielle. Passons maintenant à la version des partisans de Donald Trump, disons aussi, des opposants déclarés au président Biden qui est à bien des égards considéré comme sénile ou proche de la sénilité.

En gros, elle consiste à soutenir que leur champion est victime d'une tentative d'assassinat qui a été commanditée par ce qu'ils appellent « l'état profond » : les lobbys, tous démocrates, donc favorables à la réélection de Joe Biden, et les fonctionnaires à leur solde, qui ont la main sur la C.I.A., le F.B.I. et les services secrets américains.

Selon eux, le tireur est bien Thomas Matthew Crooks, l'individu abattu par les tireurs d'élite des services secrets américains après avoir tiré sur Donald Trump, mais il n'a pas agi d'initiative : il a été utilisé ou manipulé par la C.I.A., le F.B.I. et les services secrets américains. Cependant, il est bon de rappeler comme le fait le journaliste Michael Shellenberger que l’on ne remet pas en cause la responsabilité des hommes des services qui sont prêts à mettre leur vie en jeu, mais plutôt les « supérieurs » ou technocrates qui n’ont parfois que peu d’expérience du terrain.

 

Pourquoi ? Parce que tuer Donald Trump est la seule façon de l'empêcher d'être élu Président, tellement il est donné ultra favori (ça c'est vrai), face à un Joe Biden qui refuse de laisser la place à un candidat issu lui aussi du camp démocrate. Ou, pire encore, au troisième candidat déclaré : Robert Kennedy Junior. Ce candidat « indépendant » car interdit de primaire par le camp démocrate, est tout de même issu du camp démocrate malgré tout (disons par filiation), et, comme Donald Trump, il assure combattre un « état profond » qu'il dit lui cependant être composé à la fois, par les lobbys démocrates qui soutiennent Joe Biden, et par les lobbys qui soutiennent Donald Trump (et par Donald Trump lui-même).

Et c'est d'ailleurs bien pourquoi, toujours selon les partisans de Donald Trump, le tireur désigné, Thomas Matthew Crooks, a été abattu par les tireurs d'élites des services secrets américains, seulement après qu'il a eu fait feu ; à savoir histoire qu'il ait le temps de le faire ; et immédiatement après qu'il l'ait fait ; afin qu'il ne puisse pas dire pour le compte de qui il a agi.

C'est là que la version des partisans de Donald Trump rejoint celles des « complotistes », à savoir celle qui, rappelez-vous, constitue la troisième hypothèse potentiellement plausible, en l'occurrence, au regard des éléments de fait en notre possession, nonobstant qu'elle peut apparaître complètement loufoque à bien des personnes. Étant donné qu’il y a eu tellement de fausses vérités et de vrais mensonges qu’en l’état actuel des choses toutes les hypothèses sont à considérer.

Sylvano Trotta fait état de son positionnement en ce sens :

Une question et un commentaire que l'on peut légitimement se poser. Au même titre que : "que savait Emmanuel Macron au sujet de la vaccination avant de la rendre obligatoire pour quelques professions ?"

À cette interrogation circonstanciée et qui me paraît en cela très compréhensible, il convient d'adjoindre le contenu de cet autre tweet, ceci, bien évidemment, avec toute la réserve journalistique qui s'impose, l'information n'ayant pas été confirmée pour l'instant tel que l’on peut le lire dans la note de la communauté. L’outil d’intelligence collective, mis en place par Elon Musk sur X, permet de rapidement qualifier un post avec des éléments contradictoires. Cependant, comme toute information en période d’incertitude, cela fait parler et demande à être validé avant d’être pris argent comptant. Après tout Macron nous a bien lancé l’obligation vaccinale de certaines personnes en dépit des conventions internationales sur le consentement libre et éclairé en vendant une thérapie expérimentale avec un slogan « Tous vaccinés, tous protégés » alors qu’il devait savoir que la thérapie n’avait pas été testée contre la transmission tel que l’a expliqué l’ex-président du conseil scientifique Jean-François Delfraissy. Et les gens ont pris l’information argent comptant avec toutefois la contrainte de perdre leur liberté ou de devenir un citoyen de seconde catégorie s’ils n’obéissaient pas aux injonctions du chef de l’Etat. Regardez plutôt le message que l’on a pu voir sur X : 

Enfin, d'autres faits, pour le moins troublants également, résultent de la vidéo que j'ai retranscrite dans ce tweet que j'ai posté hier matin :

Cette vidéo reprend d’autres vidéos tournées hier sur le lieu du drame, en les calant. Visiblement, le prétendu tireur sur le toit avait été vu par des spectateurs. Il est clairement filmé, rampant sur le toit, son arme à la main, et des personnes filmées pendant ceci, commentent cela, apparemment une minute et 50 secondes avant le premier coup de feu. Elles alertent les policiers présents et en interpellent les agents des services secrets. En vain, donc, puisque faute d'intervention de ces derniers avant que le tireur désigné ne finisse de tirer, le tireur a eu tout le temps de le faire.

Voilà pour la version des partisans de Donald Trump.

Et voici à présent les éléments qu’ajoutent les complotistes.

D'après eux, Donald Trump, Joe Biden, démocrates et républicains, tout ça, c'est la même équipe. Une seule et même équipe de marionnettes politiciennes, qui tous sans exception bossent pour ce qu'ils appellent l’« Etat profond » qu'ils disent diriger non pas uniquement les États-Unis d'Amérique, mais la plupart des Etats du monde sous influence occidentale. Brics compris ? Cela reste à voir, mais je l’ai entendu.

À ce titre, toujours d'après eux, ce à quoi nous avons assisté hier, n'est pas une tentative d'assassinat contre Donald Trump. C'est une opération militaire qui a été montée et exécutée par les services secrets américains, qui visent à assurer à Donald Trump, la victoire dans les urnes, en novembre, que lui promettent les sondages, et surtout à le légitimer en tant que candidat « anti-système » ; à savoir alors qu'il en fait partie « à deux cents pour cent » disent-ils. Alors que d’autres défendent la candidature de Robert Kennedy Jr dont on ne parle pas dans les médias français.

Si c'est exact, les membres de cette mafia auraient été plus inspirés de procéder non pas le 14 juillet, jour anniversaire de notre Fête Nationale à nous, mes chers compatriotes, mais le 4 juillet, jour anniversaire de la Fête Nationale américaine : The Independance Day. Cela aurait eu davantage d'impact auprès des ressortissants US.

Enfin, et j'insiste exprès, « toujours d'après ces complotistes dernier échelon », premièrement, s'il ne s'agissait pas d'une fausse tentative d'assassinat contre lui dont Donald Trump était parfaitement au courant, d'une part les agents des services secrets présents n'auraient pas attendu pour réagir (tant au moment des coups de feu, c'est-à-dire pour protéger Donald Trump, qu'avant, c'est-à-dire pour abattre le tireur avant qu'il ne tire), et d'autre part jamais, ils n'auraient laissé Donald Trump se relever avant d'être totalement sûr et certain qu'aucun autre tireur n'était en place. Se redresser et s'exposer à d'autres tirs éventuels, comme il l'a fait pour se montrer au monde entier comme jadis le Général Georges Patton, patriote légendaire de référence à qui la croyance populaire prête de s'être tenu debout sous le feu ennemi durant la Seconde Guerre mondiale, chacune des fois où des soldats allemands ou autres l'ont pris pour cible.

Trump

Deuxièmement, une défaillance du tireur (erreur de tir ou refus de tirer) étant toujours possible quand, tel est le cas de Thomas Matthew Crooks qui n'est pas un professionnel aguerri expert en assassinat ciblé, c'est toujours un homme à eux ayant ces qualités que les services secrets utilisent. Dès lors, d'une part, ce ne serait pas Thomas Matthew Crooks qui aurait tiré hier matin, mais un homme contrôlé par les services, et, d'autre part, c'est délibérément qu'il aurait « manqué » Donald Trump et touché trois spectateurs qui se trouvaient derrière lui. Vous voyez, on ne s’en sort pas des hypothèses.

Et afin que cet agent ne puisse pas en faire état à qui que ce soit, ses collègues tireurs d'élite qui eux n'étaient pas au courant de la cabale (ils n'ont fait qu'obéir à l'ordre d'attendre pour tirer) ont abattu le tireur dès que l'ordre de le faire leur a été donné. D’ailleurs, si l’on en croit la version du tireur des services qui aurait descendu Crooks, il n’a pas attendu l’ordre ! Bon à ce moment-là cela dépasse mon entendement.

Quant à Thomas Matthew Crooks, aperçu rampant sur le toit par des spectateurs, il aurait été vu quelque 26 minutes avant la fusillade et avant d’être descendu. Enfin ceci est la version qui semble tenir la corde et qui alimente une version alternative à ce que l'on peut lire dans les mainstreams.

Mais certains n’hésitent pas à affirmer que lui aurait été tué préalablement. Concernant l'authentification de son corps comme étant celui de la personne abattue sur le toit, on n'en saura jamais rien : ce corps-ci a été amené à la morgue juste après, et sa tête ayant éclaté par les tirs des snipers, il n'est pas identifiable. L'expertise ADN dira que c'était bien le corps de Thomas Matthew Crooks, et donc que c'est bel et bien lui l'auteur des coups de feu. Personne n’ayant été témoin du test ADN. Nous avons ainsi ici juste un déclaratif des autorités.

Troisièmement, ce n'est nullement par balle que Donald Trump a été blessé à l'oreille droite hier. Cette coupure résulte d'une incision qui lui a été faite, au scalpel ou autre, lorsqu'il était caché par les agents des services secrets. Vous voyez, on peut en créer des versions de l’histoire qui permettent de ne pas parler du vrai sujet : on a tiré sur le Président.

Donald Trump, alias « VAN GOY » : traduisez « vendu aux Goys » (1) comme étant « le Messie. » Un messie martyr, qui plus est, donc, depuis hier.

DT van goy

À l'instar d'un Vladimir Poutine que des politiciens répertoriés « opposants au système » et autres « leaders » de la dissidence, nous vendent, à nous Français, comme étant notre sauveur.

Fort heureusement pour nous, on n'est pas obligé de les croire.

Quant à Joe Biden, étant donné qu'il multiplie les interventions qui tendent à valider l'hypothèse qu'il serait complètement sénile, on lui prête d'avoir publié le message de soutien suivant : « J'adresse mes vœux de prompt rétablissement au Président John Fitzgerald Kennedy. »

Mais peut-être s'agit-il en réalité d'une blague.

Mais God Blessed America et tout est bien qui finit bien. Pour l'instant. 

 

1) ce qu'il faut comprendre ici par « goy », encore une fois d'après les complotistes dernier échelon, ce n'est pas le « non-juif » (terme hébreux). C'est le « non-initié. » « L'ignorant » par opposition au « sachant » : l'initié parfaitement au fait de la cabale, lui, puisqu'il en fait partie. D'où le terme « goys » au pluriel, en lieu et place du « goyim » que j'aurais dû utiliser, si par « goy » ils entendaient le « non-juif. »

Diable ! Certes on peut user de certains vocables incriminant à leur endroit. Mais leur slogan étant « Juifs, Chrétiens, Athées et Musulmans : tous unis contre Satan ! », on ne peut décemment les taxer d'être antisémites. 

2 ) Le fusil AR-15 a été développé comme une version allégée, au calibre 5,56 mm

 

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