Les jeux sont faits, rien ne va plus
EDITO - Et malheureusement pour nous, citoyens européens en général, et citoyens français en particulier, cette expression a beau être spécifique à la roulette (des casinos et des cercles de jeux), c'est à la roulette... russe que nos dirigeants nous obligent à jouer.
Suicide qu'Emmanuel Macron appelle de ses vœux depuis 2017. Et le Parlement français a à peu près adopté la loi qui nous y conduit. Si si ! Bon, d'accord, pas sous l'intitulé “Loi sur le suicide assisté”. Sous un autre : “Loi de programmation militaire”.
Cette loi n° 2023-703 du 1er août 2023 permet à l'État de nous envoyer “toutes et tous” nous faire étriper en Russie. Or, cela pourrait être effectif très rapidement si l’escalade d’engagements à laquelle la France se livre (fonds et armes envoyées en Ukraine) continue. Et cela paraît de plus en plus acquis depuis ses vœux officiels 2024 : celui qui se voit déjà Empereur de l'Europe a décidé de s'amuser à jouer les Napoléon Ier.
Il faut bien comprendre que nous envoyer “toutes et tous” nous faire étriper en Russie serait, pour Emmanuel Ier, la solution idéale.
Solution ultime, plus exactement. Qui permettrait d’éviter d'avoir, sinon, à expliquer “aux Françaises et aux Français”, la raison pour laquelle nombre d'entre eux, vaccinés, pourraient mourir prochainement (ceci n’ayant aucun rapport possible avec le “vaccin” anti-Covid, bien entendu).
Une raison autre que le "Et c'est donc par le plus grand des hasards” que M. le Président nous sert d'ordinaire pour botter en touche.
Le président a bien déclaré à plusieurs reprises : “Nous sommes en guerre”. Une guerre d’un nouveau genre, sans réelles décisions du Parlement, mais qui nous engage, une guerre que les dirigeants du monde semblent avoir déclaré à l'humanité : une crise Covid créée de toutes pièces pour justifier un objectif génocidaire planétaire en cours, basé sur le contrôle de l’information et le brouillage de la vérité, menant à une inoculation plus ou moins forcée d’un “vaccin” (1).
Il se trouve que l'hécatombe des vaccinés affecte des médias comme l’AFP, qui se garde bien d’en faire état. Pourtant, des sources internes à l’agence France-Presse rapportent une soixantaine de décès ces trois dernières années ainsi que de nombreux arrêts de travail. Les informations des ressources humaines sont directement rapportées au PDG Fabrice Fries, qui maintient l’omerta et, “par le plus grand des hasards”, n’a pas voulu se rendre disponible pour répondre à nos questions...
Si, par exemple, une telle situation concernait les forces de l’ordre, qui dit que les chiens de garde de la République ne se retourneraient pas contre leur maître ? Auquel cas, peu importe où "logeraient" les responsables, ils seraient appréhendés par des “forces de l'ordre" redevenues "gardiens de la paix” (2)...
(1) C'est en tout cas l'avis dont m'a fait part un ami haut placé qui s'y connaît. Si l'on suit l'évolution des chiffres de la mortalité attachée aux personnes plusieurs fois vaccinées, difficile de le contredire...
(2) Policiers, CRS et gendarmes oubliant certains mots qui pourtant accompagnent leur devise de fait : "Protéger et Servir... ceux qui oppriment, exploitent et trahissent le peuple”. Leur mission de service public devrait normalement consister dans une démocratie normale à protéger et servir le peuple.
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